[Usdin, Elène ; Haski, Pierre] Ma Yan qui voulait aller à l'école

Ma Yan qui voulait aller à l'école

Enfant 3-6 ans

Auteurs : Elène Usdin , Pierre Haski
Editeur : Ramsay
ISBN : 2-84114-678-2
Nb. de pages : 120 pages

4ème de couverture :

Ma Yan, une petite Chinoise de treize ans, apprend un jour que ses parents n'ont plus les moyens de l'envoyer à l'école.
Elle est fille de paysans pauvres, et tous ses rêves s'effondrent. Mais Ma Yan est volontaire et rayonnante. Elle tient son journal. Elle raconte avec des mots simples sa vie de tous les jours, en classe ou dans son village. Elle dit son espoir fou d'aider toute sa famille à connaître un jour le bonheur grâce à l'instruction. L'histoire vraie de Ma Yan, la petite écolière chinoise, se termine merveilleusement.
Presque comme dans un conte de fées. Des pages-documents et de nombreuses illustrations nous aident à comprendre la vie de Ma Yan : les marchands ambulants, les mets épicés, les maisons traditionnelles, les jeux des enfants et les fêtes, le destin des petites filles, l'histoire de la Chine ancienne et moderne sont représentés avec exactitude et sensibilité. Le cri du cœur de Ma Yan a été entendu. Une association s'est créée en France pour permettre à Ma Yan et à d'autres enfants de reprendre le chemin du collège.

Mon avis :

Il est important, à mon avis, de savoir qu’il ne s’agit pas d’un journal fictif mais du véritable journal d’une petite chinoise. Ses parents sont pauvres et ils ont du mal à payer les études de leurs enfants. Un jour, sa mère confie son journal à un journaliste français qui le publie. Les recettes engendrées par la vente de ce livre à permis à Ma Yan de poursuivre ses études.
En tant qu’adulte, je n’ai rien appris de la vie quotidienne en Chine. Par contre, je pense que pour les enfants, les pages-documents offrent une bonne initiation à la vie en Chine et que ce livre peut leur permettre de se rendre compte de la chance qu’ils ont de pouvoir aller à l’école dans de bonnes conditions.
De plus, le style est celui d'une enfant de 10 ans, ce qui, à mon avis, parlera plus aux enfants qu'à moi.