[Prior, Lily] La cucina seconda

[Prior, Lily]
La cucina seconda
Grasset mai 2013
ISBN 978 2 246 79135 5
350 pages

Quatrième de couverture
Les drames et les réjouissances alternent dans le petit village sicilien où la famille de Rosa Fiore a toujours vécu et quelquefois, ils coexistent. Car l'Inglese est de retour...
Entre deux enterrements, un accouchement et les nombreuses célébrations de leurs retrouvailles, Rosa essaie en vain de faire participer son amant à la cueillette des cerises, des courges, du jasmin, des asperges sauvages. Mais les scorpions guettent, les abeilles s'en mêlent et les frères de Rosa ne doivent pas y être étrangers... D'autant que, lors de la fête du village, l'Inglese vient de plumer aux cartes le pire de ses bandits.

Sexe et gastronomie, passion et désillusion, un soupçon de mafia sicilienne : on retrouve tous les ingrédients de La Cucina, un chant d'amour sensuel et envoutant pour la Sicile.

Lily Prior est née à Londres. Son premier roman, La Cucina, lui a été inspiré par sa passion pour l'Italie. Elle a ensuite publié chez Grasset Nectar (2003), Ardente (2006) et Cabaret (2005). Avec La Cucina seconda, elle nous offre le récit enlevé et pétillant d'une Sicile gourmande, savoureuse et pittoresque.


Mon avis
Que voila un roman délassant ou passion, sexe, désillusion et gastronomie, cela avec un zeste de maffia sicilienne. Rosa Fiore mène tout son monde tambour battant mais le sexe et sa cuisine sont ses principales activités entre les mariages, les enterrements, les naissances et les éruptions du volcan. J’ai aimé sa manière de cuisiner, nous décrivant les ingrédients et sa façon de faire, si bien qu’elle nous donne l’envie de faire de même. Je l’ai imaginée souffrant d’insomnie, se lever la nuit pour faire du pain, cela la calme. Beaucoup d’humour dans ce roman bien mené qui célèbre l’amour, la cuisine, la famille, un roman que j’ai vraiment apprécié même si certains passages pourraient être choquant, j’ai aussi aimé cette galerie tapageuse de personnages hilarants, telle Rosa, cette vieille fille qui ne trouve sa consolation que dans le sexe et sa cucina. Un roman exubérant, porteur d’espoir et de bonheur de vivre, vraiment un beau moment de lecture ou je me suis amusée…5/5

Nous avions passé la nuit à faire l’amour et la journée aussi, dès que nous le pouvions, tantôt dans le cellier, dans la grange, sur le tas de foin fraîchement coupé qui embaumait le soleil mais piquait beaucoup. Bref, partout ou n’importe ou. P.41

Merci Lalyre, en effet ça a l'air très amusant et coquin également!!!!

Merci Lalyre pour ta critique