[Atta, Séfi] L'ombre d'une différence
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[Atta, Sefi] L'ombre d'une différence
[Atta, Séfi] L'ombre d'une différence
[Atta, Sefi]
L’ombre de la différence
Actes Sud 14 mai 2014
ISBN 978 2 330 03194 7
368 pages
Quatrième de couverture
Soucieuse de son confort et de son indépendance, Deola vit à Londres, tenant ainsi à distance son pays, le Nigeria, et sa famille installée à Lagos. Marquée par une jeunesse ballottée entre deux mondes, elle manoeuvre, dans ses relations professionnelles et amicales, pour éviter de s’exposer, de cristalliser sa différence. Sous ses dehors impassibles, rires, indignations, espoirs, affections et doutes se bousculent en une émouvante effervescence. De retour au Nigeria dans le cadre d’une mission, elle retrouve sa famille, qui commémore le décès de son père, et elle cède à la tentation d’une aventure amoureuse. Cette rencontre, véritable grain de sable dans la vie bien rodée de Deola, l’amène à se libérer du carcan qu’elle s’était imposé, à dépasser son insidieuse frustration pour s’engager dans une voie risquée, mais choisie.
Avec une sobriété ciselée, une tenue remarquable, un humour incisif, une vraie tendresse pour ses personnages et pour les villes de Lagos et de Londres, Sefi Atta explore les questions de l’exil, de la famille, de l’amitié, de la féminité, de l’altérité, restant au plus près du bruissement entêtant de la vie.
Mon avis
Dans ce roman on fait face à la vie des nigérians, on écoute leur musique, on compatit à leurs peines de coeur, on assiste à leurs mariages et adultères et leurs problèmes de travail, on peut imaginer une Afrique que l’on trouve dans la littérature et les médias. Deola ne se sent nulle part chez elle, elle aspire à quelque chose d’un peu différent, elle aimerait vivre une transformation intérieure, n’arrive pas à décider ou elle veut vivre, on la sent distante et désabusée sur sa propre vie. Je n’ai pas trop aimé ce roman malgré la multitude d’intrigues, de personnages accompagnant Deola pendant son cheminement, tous attachants, les conversations frivoles sur un chanteur de rap. Je dirais que c’est la chronique d’une communauté de Nigérians de Lagos ou d’ailleurs, cela écrit d’une belle plume sobre et efficace. Je me suis cependant ennuyée pendant ma lecture mais peut-être que d’autres lecteurs aimeront, qui sait ??
L’ombre de la différence
Actes Sud 14 mai 2014
ISBN 978 2 330 03194 7
368 pages
Quatrième de couverture
Soucieuse de son confort et de son indépendance, Deola vit à Londres, tenant ainsi à distance son pays, le Nigeria, et sa famille installée à Lagos. Marquée par une jeunesse ballottée entre deux mondes, elle manoeuvre, dans ses relations professionnelles et amicales, pour éviter de s’exposer, de cristalliser sa différence. Sous ses dehors impassibles, rires, indignations, espoirs, affections et doutes se bousculent en une émouvante effervescence. De retour au Nigeria dans le cadre d’une mission, elle retrouve sa famille, qui commémore le décès de son père, et elle cède à la tentation d’une aventure amoureuse. Cette rencontre, véritable grain de sable dans la vie bien rodée de Deola, l’amène à se libérer du carcan qu’elle s’était imposé, à dépasser son insidieuse frustration pour s’engager dans une voie risquée, mais choisie.
Avec une sobriété ciselée, une tenue remarquable, un humour incisif, une vraie tendresse pour ses personnages et pour les villes de Lagos et de Londres, Sefi Atta explore les questions de l’exil, de la famille, de l’amitié, de la féminité, de l’altérité, restant au plus près du bruissement entêtant de la vie.
Mon avis
Dans ce roman on fait face à la vie des nigérians, on écoute leur musique, on compatit à leurs peines de coeur, on assiste à leurs mariages et adultères et leurs problèmes de travail, on peut imaginer une Afrique que l’on trouve dans la littérature et les médias. Deola ne se sent nulle part chez elle, elle aspire à quelque chose d’un peu différent, elle aimerait vivre une transformation intérieure, n’arrive pas à décider ou elle veut vivre, on la sent distante et désabusée sur sa propre vie. Je n’ai pas trop aimé ce roman malgré la multitude d’intrigues, de personnages accompagnant Deola pendant son cheminement, tous attachants, les conversations frivoles sur un chanteur de rap. Je dirais que c’est la chronique d’une communauté de Nigérians de Lagos ou d’ailleurs, cela écrit d’une belle plume sobre et efficace. Je me suis cependant ennuyée pendant ma lecture mais peut-être que d’autres lecteurs aimeront, qui sait ??
lalyre- Grand sage du forum
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