[Schmitt, Eric-Emmanuel] La nuit de feu
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[Schmitt, Eric-Emmanuel] La nuit de feu
[Schmitt, Eric-Emmanuel] La nuit de feu
[Schmitt, Eric-Emmanuel]
La nuit de feu
Albin Michel 3 septembr2015
ISBN 978 2 226 31829 9
Quatrième de couverture
Je suis né deux fois, une fois à Lyon en 1960, une fois dans le Sahara en 1989. »
Une nuit peut changer une vie. .. À vingt-huit ans, Éric-Emmanuel Schmitt entreprend une randonnée à pied dans le Sahara en 1989. Parti athée, il en reviendra croyant, dix jours plus tard. .. Loin de ses repères, il découvre une vie réduite à la simplicité, noue des liens avec les Touareg. Mais il va se perdre dans les immenses étendues du Hoggar pendant une trentaine d'heures, sans rien à boire ou à manger, ignorant où il est et si on le retrouvera. Cette nuit-là, sous les étoiles si proches, alors qu'il s'attend à frissonner d'angoisse, une force immense fond sur lui, le rassure, l'éclaire et le conseille…. Cette nuit de feu -ainsi que Pascal nommait sa nuit mystique- va le changer à jamais. Qu'est-il arrivé ? Qu'a-t-il entendu ? Que faire d'une irruption aussi brutale et surprenante quand on est un philosophe formé à l'agnosticisme ?.. Dans ce livre où l'aventure se double d'un immense voyage intérieur, Éric-Emmanuel Schmitt nous dévoile pour la première fois son intimité spirituelle et sentimentale, montrant comment sa vie entière, d'homme autant que d'écrivain, découle de cet instant miraculeux.
Mon avis
Que voilà un livre merveilleux, un récit d’aventures truffé de poésie, que de belles phrases à découvrir. C’est avec beaucoup de lyrisme et de délicatesse que l’auteur nous fait partager une expérience importante d’un moment de sa vie. Un récit magnifique pudique et intime. J’ai ressenti beaucoup d’émotion tout le long de ma lecture, surtout pour les dernières pages tout simplement sublimes. Un tout gros coup de cœur pour ce livre…. 5/5
La nuit de feu
Albin Michel 3 septembr2015
ISBN 978 2 226 31829 9
Quatrième de couverture
Je suis né deux fois, une fois à Lyon en 1960, une fois dans le Sahara en 1989. »
Une nuit peut changer une vie. .. À vingt-huit ans, Éric-Emmanuel Schmitt entreprend une randonnée à pied dans le Sahara en 1989. Parti athée, il en reviendra croyant, dix jours plus tard. .. Loin de ses repères, il découvre une vie réduite à la simplicité, noue des liens avec les Touareg. Mais il va se perdre dans les immenses étendues du Hoggar pendant une trentaine d'heures, sans rien à boire ou à manger, ignorant où il est et si on le retrouvera. Cette nuit-là, sous les étoiles si proches, alors qu'il s'attend à frissonner d'angoisse, une force immense fond sur lui, le rassure, l'éclaire et le conseille…. Cette nuit de feu -ainsi que Pascal nommait sa nuit mystique- va le changer à jamais. Qu'est-il arrivé ? Qu'a-t-il entendu ? Que faire d'une irruption aussi brutale et surprenante quand on est un philosophe formé à l'agnosticisme ?.. Dans ce livre où l'aventure se double d'un immense voyage intérieur, Éric-Emmanuel Schmitt nous dévoile pour la première fois son intimité spirituelle et sentimentale, montrant comment sa vie entière, d'homme autant que d'écrivain, découle de cet instant miraculeux.
Mon avis
Que voilà un livre merveilleux, un récit d’aventures truffé de poésie, que de belles phrases à découvrir. C’est avec beaucoup de lyrisme et de délicatesse que l’auteur nous fait partager une expérience importante d’un moment de sa vie. Un récit magnifique pudique et intime. J’ai ressenti beaucoup d’émotion tout le long de ma lecture, surtout pour les dernières pages tout simplement sublimes. Un tout gros coup de cœur pour ce livre…. 5/5
lalyre- Grand sage du forum
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Re: [Schmitt, Eric-Emmanuel] La nuit de feu
Nom d'un chien, Lalyre, tu ne perds pas de temps... ! Et en plus, tu me donnes envie de lire ce roman !
Pistou 117- Grand sage du forum
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Re: [Schmitt, Eric-Emmanuel] La nuit de feu
Merci Lalyre pour ta critique
louloute- Grand sage du forum
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Re: [Schmitt, Eric-Emmanuel] La nuit de feu
Merci Lalyre pour ta critique, je le lirai car j'aime beaucoup E.E. Schmitt...
Mais tout de même sorti hier je ne le lirai pas demain
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Re: [Schmitt, Eric-Emmanuel] La nuit de feu
Si vous le lisez, je suis certaine que vous ne serez pas déçues
lalyre- Grand sage du forum
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Re: [Schmitt, Eric-Emmanuel] La nuit de feu
Lu dans le cadre de mon challenge "suivi d'auteurs .....".
Merci Lalyre de m'avoir donné envie de lire ce livre magnifique, je n'ai pas de mots pour en parler car du début à la fin il m'a d'abord intéressée, puis ravie et enfin bouleversée tant l'émotion est forte.
Avoir mis tant de tant à nous livrer ce qui anime l'auteur, quelle humilité! j'ai toujours aimé lire Schmitt, maintenant je sais..un peu... ce qui nourrit sa belle écriture.
J'ai beaucoup apprécié qu'il ne nous enferme dans aucun carcan religieux, il ne parle que de spiritualité.
Il y a toutes ces petites phrases qui font réfléchir "Sur terre, ce ne sont pas les occasions de s'émerveiller qui manquent mais les émerveillés" .
Il y a aussi la beauté des paysages, Abayghur le Touareg, la vie dans le désert, il voyage dans le Hoggar (Sahara) sur les traces de Charles de Foucault le mystique.
C'est un voyage immense, doublé d'un immense voyage intérieur, "je vais connaitre mon vrai visage" dit-il au début du voyage, car E.E. Schmitt a 28 ans et en recherche intérieure il dira lui-même " je croyais aller quelque part et j'arrivais ailleurs".
Lisez-le vous ne le regretterez pas.
Un gros coup de cœur et 10/10
Merci Lalyre de m'avoir donné envie de lire ce livre magnifique, je n'ai pas de mots pour en parler car du début à la fin il m'a d'abord intéressée, puis ravie et enfin bouleversée tant l'émotion est forte.
Avoir mis tant de tant à nous livrer ce qui anime l'auteur, quelle humilité! j'ai toujours aimé lire Schmitt, maintenant je sais..un peu... ce qui nourrit sa belle écriture.
J'ai beaucoup apprécié qu'il ne nous enferme dans aucun carcan religieux, il ne parle que de spiritualité.
Il y a toutes ces petites phrases qui font réfléchir "Sur terre, ce ne sont pas les occasions de s'émerveiller qui manquent mais les émerveillés" .
Il y a aussi la beauté des paysages, Abayghur le Touareg, la vie dans le désert, il voyage dans le Hoggar (Sahara) sur les traces de Charles de Foucault le mystique.
C'est un voyage immense, doublé d'un immense voyage intérieur, "je vais connaitre mon vrai visage" dit-il au début du voyage, car E.E. Schmitt a 28 ans et en recherche intérieure il dira lui-même " je croyais aller quelque part et j'arrivais ailleurs".
Lisez-le vous ne le regretterez pas.
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Re: [Schmitt, Eric-Emmanuel] La nuit de feu
je compte le lire.
angele13127- Grand sage du forum
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Re: [Schmitt, Eric-Emmanuel] La nuit de feu
C'est une bonne idée, c'est un livre qui enrichit l'esprit.
J'espère qu'il te plaira.
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Re: [Schmitt, Eric-Emmanuel] La nuit de feu
Step vraiment ravie de ton enthousiasme pour ce livre, quelle belle littérature n'est-ce pas.....
lalyre- Grand sage du forum
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Re: [Schmitt, Eric-Emmanuel] La nuit de feu
Merci Lalyre, je suis certaine qu'il ravira de nombreux amis de Partage Lecture.
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Re: [Schmitt, Eric-Emmanuel] La nuit de feu
«... je présageais qu'un tel récit serait insupportable et incongru aux yeux...»
S'il n'y avait l'Épilogue, ce volume serait insupportable et incongru.
Citations
(Eric-Emmanuel Schmitt, "La nuit de feu")
S'il n'y avait l'Épilogue, ce volume serait insupportable et incongru.
Notre religion nous a obligé à bâtir le réflexe de fuir tout ce qui pouvait toucher ou effleurer l'intimité, que cette dernière soit physique pour spirituelle. L'intimité c'est mal, sauf et seulement pour faire sans plaisir des enfants. Alors, qu'un homme nous décrive ou tente de nous décrire son intimité, c'est l'enfer. Et ce livre devrait également être en enfer.
Pourtant, dans mon for intérieur, je suis frère de cette spiritualité. L'Épilogue de ce récit, c'est moi.
Eric-Emmanuel Schmitt demeure un de mes préférés.
Ma cote: 7/10.
Pourtant, dans mon for intérieur, je suis frère de cette spiritualité. L'Épilogue de ce récit, c'est moi.
Eric-Emmanuel Schmitt demeure un de mes préférés.
Ma cote: 7/10.
Citations
"- ... Ce qui constitue la beauté d'une bataille, ce n'est ni le succès ni la défaite, c'est la raison de la bataille."
"... l'essentiel: l'étonnement joyeux.
Sur terre, ce ne sont pas les occasions de s'émerveiller qui manquent, mais les émerveillés."
Sur terre, ce ne sont pas les occasions de s'émerveiller qui manquent, mais les émerveillés."
"«Peu de science éloigne de Dieu; beaucoup de science en rapproche.»"
"Une étoile filante glissa devant Orion. L'affolement s'accéléra. Mes tempes cuisaient. À quelle distance ce phénomène se produisait-il? Une distance qui me dépassait... Une distance qui me rendait petit, lamentable. J'étais englouti dans un coin de l'univers, un monde en expansion permanente, un cosmos de quatorze milliards d'années qui subsisterait au-delà de moi. Même ce que je voyais, qui me paraissait énorme, s'avérait minuscule: les planètes dissimulaient des planètes, les galaxies s'ajoutaient aux galaxies, des milliards de systèmes occupaient l'infini inaccessible. Je gisais, poussière au milieu de l'immense, futile poussière de matière, négligeable poussière de temps.
Mon cœur sauta dans ma poitrine. Je l'entendis taper à la porte de mon thorax. Il voulait fuir...
Qui suis-je? Une chandelle qui veille au sein des ténèbres et que le vent éteindra. Dérisoire! Pour l'instant, je peux crier «J'existe» mais mon affirmation s'enrobe de terreur car, hurlerais-je, mobiliserais-je en moi une fougue démentielle, je n'existerais pas toujours. Je ne suis qu'une seconde entre deux éternités, l'éternité d'avant moi, l'éternité d'après moi. Je ne suis qu'un bout de vie entre deux néants, le néant qui m'a précédé, le néant qui me succédera. Et si l'éternité me laisse tranquille, les deux néants, eux, me grignotent. Dire «Je suis», c'est dire «Je ne serai plus». Vivant n'a qu'un vrai synonyme: mortel. Ma grandeur devient mon indigence, ma force mon imperfection. Et la fierté se mêle à l'effroi.
Qui m'a mis ici, sur ce caillou rond? Dans quel but? Et pourquoi si brièvement?
Je ne suis pas rien, plutôt presque rien. Un «presque», voilà ma condition. Presque un être. Presque un néant. Ni l'un ni l'autre, mais une angoisse hybride.
L'univers déploie sa puissance sous mes yeux. Alors qu'il pourrait m'émerveiller, il m'écrase. Je suis cloué à vif. J'ai le vertige. Face à lui, je m'amenuise. Je suis; pourtant je suis promis à n'être rien. Je ne fais que passer. Mon existence se révèle finie, inscrite entre deux événements absurdes, ma naissance et ma mort. Une séparation m'attend, brutale, irrémédiable: séparation d'avec le monde, séparation d'avec mes proches, séparation d'avec moi. Rupture. Je n'ai qu'une certitude, celle de tout perdre.
Une voix, au fond de moi, ricane: «Réjouis-toi! Ta crainte de mourir constitue la preuve constante que tu es en vie! Tant que tu penses que tu ne seras rien, tu es encore. En revanche, lorsque tu ne le penseras plus...»
La mort, je n'arrive pas à l'imaginer. L'écroulement? Le noir? Le silence? Trop concrets... LE vide? Il faut du plein pour saisir le vide. L'arrêt du temps? Qu'est-ce que le temps quand il n'est pas vécu? ... Je l'ignore. Penser le rien, c'est ne rien penser. Aucune représentation ne se propose car pour se représenter quelque chose, on doit rester une conscience. Or je n'en serai plus une."
Mon cœur sauta dans ma poitrine. Je l'entendis taper à la porte de mon thorax. Il voulait fuir...
Qui suis-je? Une chandelle qui veille au sein des ténèbres et que le vent éteindra. Dérisoire! Pour l'instant, je peux crier «J'existe» mais mon affirmation s'enrobe de terreur car, hurlerais-je, mobiliserais-je en moi une fougue démentielle, je n'existerais pas toujours. Je ne suis qu'une seconde entre deux éternités, l'éternité d'avant moi, l'éternité d'après moi. Je ne suis qu'un bout de vie entre deux néants, le néant qui m'a précédé, le néant qui me succédera. Et si l'éternité me laisse tranquille, les deux néants, eux, me grignotent. Dire «Je suis», c'est dire «Je ne serai plus». Vivant n'a qu'un vrai synonyme: mortel. Ma grandeur devient mon indigence, ma force mon imperfection. Et la fierté se mêle à l'effroi.
Qui m'a mis ici, sur ce caillou rond? Dans quel but? Et pourquoi si brièvement?
Je ne suis pas rien, plutôt presque rien. Un «presque», voilà ma condition. Presque un être. Presque un néant. Ni l'un ni l'autre, mais une angoisse hybride.
L'univers déploie sa puissance sous mes yeux. Alors qu'il pourrait m'émerveiller, il m'écrase. Je suis cloué à vif. J'ai le vertige. Face à lui, je m'amenuise. Je suis; pourtant je suis promis à n'être rien. Je ne fais que passer. Mon existence se révèle finie, inscrite entre deux événements absurdes, ma naissance et ma mort. Une séparation m'attend, brutale, irrémédiable: séparation d'avec le monde, séparation d'avec mes proches, séparation d'avec moi. Rupture. Je n'ai qu'une certitude, celle de tout perdre.
Une voix, au fond de moi, ricane: «Réjouis-toi! Ta crainte de mourir constitue la preuve constante que tu es en vie! Tant que tu penses que tu ne seras rien, tu es encore. En revanche, lorsque tu ne le penseras plus...»
La mort, je n'arrive pas à l'imaginer. L'écroulement? Le noir? Le silence? Trop concrets... LE vide? Il faut du plein pour saisir le vide. L'arrêt du temps? Qu'est-ce que le temps quand il n'est pas vécu? ... Je l'ignore. Penser le rien, c'est ne rien penser. Aucune représentation ne se propose car pour se représenter quelque chose, on doit rester une conscience. Or je n'en serai plus une."
"Face au questionnement sur l'existence de Dieu, se présentent trois types d'individus honnêtes, le croyant qui dit: «Je ne sais pas mais je crois que oui», l'athée qui dit: «Je ne sais pas mais je crois que non», l'indifférent qui dit: «Je ne sais pas et je m'en moque».
L'escroquerie commence chez celui qui clame: «Je sais!» Qu'il affirme. «Je sais que Dieu existe» ou «Je sais que Dieu n'existe pas», il outrepasse les pouvoirs de la raison, il vire à l'intégrisme, intégrisme religieux ou intégrisme athée, prenant le chemin funeste du fanatisme et de ses horizons de mort. Les certitudes ne créent que des cadavres.
L'escroquerie commence chez celui qui clame: «Je sais!» Qu'il affirme. «Je sais que Dieu existe» ou «Je sais que Dieu n'existe pas», il outrepasse les pouvoirs de la raison, il vire à l'intégrisme, intégrisme religieux ou intégrisme athée, prenant le chemin funeste du fanatisme et de ses horizons de mort. Les certitudes ne créent que des cadavres.
"... les amis de Dieu restent ceux qui Le cherchent, pas ceux qui parlent à Sa place en prétendant L'avoir trouvé."
"Nous devons reconnaître et cultiver notre ignorance. L'humanisme pacifique coûte ce prix-là. Tous, nous ne sommes frères qu'en ignorance, pas en croyance."
"... Dieu n'est pas Celui qui sauve les hommes mais Celui qui leur propose de penser à leur salut."
(Eric-Emmanuel Schmitt, "La nuit de feu")
Moulin-à-Vent- Grand sage du forum
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Re: [Schmitt, Eric-Emmanuel] La nuit de feu
Merci Moulin à vent pour ta critique et les citations
louloute- Grand sage du forum
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Re: [Schmitt, Eric-Emmanuel] La nuit de feu
louloute a écrit:Merci Moulin à vent pour ta critique et les citations
Merci Louloute!
Moulin-à-Vent- Grand sage du forum
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Re: [Schmitt, Eric-Emmanuel] La nuit de feu
Encore une bonne lecture
Triskell- Grand expert du forum
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Re: [Schmitt, Eric-Emmanuel] La nuit de feu
Un des prochains de ma PAL, je pense qu'il va remonter sur le dessus de la pile
Fleurianne- Grand sage du forum
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Re: [Schmitt, Eric-Emmanuel] La nuit de feu
Je vais le commencer.
angele13127- Grand sage du forum
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Re: [Schmitt, Eric-Emmanuel] La nuit de feu
Super! Angèle, tu vas te régaler, EE Schmitt écrit si bien!
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Step- Grand sage du forum
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Re: [Schmitt, Eric-Emmanuel] La nuit de feu
Step:je sais j'aime bien son ecriture et c'est poetique
angele13127- Grand sage du forum
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Re: [Schmitt, Eric-Emmanuel] La nuit de feu
Eric Emmanuel Schmitt est un auteur que j’aime beaucoup, j’aime son style d’écriture, l’humour ou la poésie qu’il peut apporter à ses textes.
Malheureusement, La nuit de feu m’a moins touchée que certaines autres de ces œuvres.
J’ai apprécié le côté « récit de voyage » de ce roman, mais beaucoup moins le côté mystique.
Je suis tout de même contente d’avoir partagé un bout de cette magnifique terre, et de ces habitants, avec l’auteur.
« Même de loin, les dromadaires ont la gueule d’une photo prise de trop près. »
« Les hommes craignent l’ignorance, alors ils inventent des savoirs. »
« Les amis de Dieu restent ceux qui Le cherchent, pas ceux qui parlent à Sa place en prétendant L’avoir trouvé. »
Malheureusement, La nuit de feu m’a moins touchée que certaines autres de ces œuvres.
J’ai apprécié le côté « récit de voyage » de ce roman, mais beaucoup moins le côté mystique.
Je suis tout de même contente d’avoir partagé un bout de cette magnifique terre, et de ces habitants, avec l’auteur.
« Même de loin, les dromadaires ont la gueule d’une photo prise de trop près. »
« Les hommes craignent l’ignorance, alors ils inventent des savoirs. »
« Les amis de Dieu restent ceux qui Le cherchent, pas ceux qui parlent à Sa place en prétendant L’avoir trouvé. »
lili78- Grand sage du forum
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Re: [Schmitt, Eric-Emmanuel] La nuit de feu
Je suis d'accord avec toi Lili78,j'ai moins aimé,c'est pas son style d'écrire,sa poésie mais tout à fait voyager.
angele13127- Grand sage du forum
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Re: [Schmitt, Eric-Emmanuel] La nuit de feu
Merci pour ton avis, j'ai hâte de mettre la main dessus.
Invité- Invité
Re: [Schmitt, Eric-Emmanuel] La nuit de feu
Je l'ai moins apprécié,il manquait son ecriture poetique que j'aime tant.C'est l'histoire de sa vie spiritualité grace ce voyage et ce qui s'est passé.Note:6/10
angele13127- Grand sage du forum
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Re: [Schmitt, Eric-Emmanuel] La nuit de feu
Pour moi c'est un gros coup de coeur. Et c'est vraiment l'expression qui convient parce que les mots d' EE Schmitt me sont allés droit au coeur. Qu'est-ce que j'aime ces paroles de tolérance et de paix ! C'est bien simple, j'ai pris ce livre à la médiathèque, mais je vais l'acheter, maintenant, pour pouvoir le relire autant de fois que j'en aurai envie. Ca fait vraiment beaucoup de bien, un texte pareil ! Je l'apprendrais par coeur si je pouvais.
J'ai bien aimé aussi la description des dromadaires, Lili.
Pistou 117- Grand sage du forum
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Re: [Schmitt, Eric-Emmanuel] La nuit de feu
Je suis entièrement de ton avis Pistou, ce livre est non seulement à lire mais surtout à relire autant de fois que de besoin
Fleurianne- Grand sage du forum
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Re: [Schmitt, Eric-Emmanuel] La nuit de feu
Merci Pistou pour ta critique, il est dans mon challenge Partage Lecture, je me languis de l'acquérir
louloute- Grand sage du forum
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