[Gosemick, Marie Eve] Poutine pour emporter
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[Gosemick, Marie Eve] Poutine pour emporter
[Gosemick, Marie Eve] Poutine pour emporter
https://i.servimg.com/u/f86/19/17/48/79/poutin12.jpg
Titre: Poutine pour emporter
Auteure: Marie Eve Gosemick https://i.servimg.com/u/f86/19/17/48/79/marie_11.jpg
Édition: Les Éditions internationales Alain Stanké
Roman
Époque contemporaine
236 pages
ISBN 978-2-7604-1173-9
Quatrième de couverture
Mon avis
Un petit livre qui se lit bien avec des passages intéressants. L'écriture, moderne, pose quelquefois problème à la compréhension de ma différence générationnelle. Le voyage en Colombie apporte des points intéressants.
Malgré l'intérêt présent, le personnage principal n'est pas des plus attachants. Sa façon de régler certains de ses problèmes consiste à abuser de substances illicites ou alcooliques, ce qui n'était pas notre lot. Ce remède ne résout pas ces turbulences. Plusieurs personnages secondaires apportent un intérêt vite délaissé par cette poursuite d'un rêve qui s'étiole à chaque page.
Il semble qu'il soit facile de constater qu'il s'agit d'un premier roman.
Ma cote: 5,5/10.
Citations
Titre: Poutine pour emporter
Auteure: Marie Eve Gosemick https://i.servimg.com/u/f86/19/17/48/79/marie_11.jpg
Édition: Les Éditions internationales Alain Stanké
Roman
Époque contemporaine
236 pages
ISBN 978-2-7604-1173-9
Quatrième de couverture
« J'ai servi des poutines pendant quatre ans de ma vie, quatre années à sentir la cantine. Toute bonne soirée se terminait inlassablement par une poutine au bacon ou un combo Déro de la propriété familiale. À l'instar de la poutine qui semblait un mélange improbable pour les touristes en visite au Québec, ma vie était un chaos pour plusieurs autour de moi. »
Fred Proulx en a son voyage. Désillusionné par un quotidien qu'il juge insipide, il décide d'affronter son insomnie chronique en partant en Colombie, où il se défoulera contre l'incompétence des figures d'autorité et se pétera la gueule à trop vouloir exister.
Road movie à la poésie métissée, ce roman raconte la crise du quart de vie d'un éternel chokeux dont les cicatrices de voyage cachent une mélancolie aussi douce que profonde.
Fred Proulx en a son voyage. Désillusionné par un quotidien qu'il juge insipide, il décide d'affronter son insomnie chronique en partant en Colombie, où il se défoulera contre l'incompétence des figures d'autorité et se pétera la gueule à trop vouloir exister.
Road movie à la poésie métissée, ce roman raconte la crise du quart de vie d'un éternel chokeux dont les cicatrices de voyage cachent une mélancolie aussi douce que profonde.
Initiée tôt à l'adaptation culturelle, Marie Eve Gosemick a parcouru plus de trente pays et parle presque cinq langues. Professionnelle de l'administration des affaires, elle a eu l'occasion de travailler au Mexique, en France, en Suisse, au Ghana, au Cameroun, en Côte d'Ivoire et aux États-Unis. Lorsqu'elle n'écrit pas, elle voyage, travaille à son compte, danse et court. Poutine pour emporter est son premier roman.
Mon avis
Un petit livre qui se lit bien avec des passages intéressants. L'écriture, moderne, pose quelquefois problème à la compréhension de ma différence générationnelle. Le voyage en Colombie apporte des points intéressants.
Malgré l'intérêt présent, le personnage principal n'est pas des plus attachants. Sa façon de régler certains de ses problèmes consiste à abuser de substances illicites ou alcooliques, ce qui n'était pas notre lot. Ce remède ne résout pas ces turbulences. Plusieurs personnages secondaires apportent un intérêt vite délaissé par cette poursuite d'un rêve qui s'étiole à chaque page.
Il semble qu'il soit facile de constater qu'il s'agit d'un premier roman.
Ma cote: 5,5/10.
Citations
"... mes parents ne m'avaient pas inculqué le moindre esprit critique. Il fallait accepter n'importe quoi sous prétexte que, sinon, il n'y aurait plus rien."
"... j'ai appris à mes dépens que, s'il y avait une reine qui sommeillait en chaque fille, il y avait aussi une crisse de folle. L'inverse était aussi vrai, chaque gars était capable d'agir en trou d'cul. On avait tous le potentiel de devenir fou."
"«Quand le pourcentage d'alcool d'une bouteille dépasse tes notes à l'école, c'est préférable de t'en tenir loin»"
"- Une cicatrice n'est pas tant le résultat d'une blessure que le signe d'une réparation..."
"- Paraîtrait que, en voyage, on sait ce qu'on fuit, mais on ne sait pas ce qu'on cherche."
"Je n'avais rien et j'étais prêt à tout quitter."
Moulin-à-Vent- Grand sage du forum
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