[Larsen, Reif] Je m'appelle Radar
Page 1 sur 1
[Larsen,Reif] Je m'appelle Radar
[Larsen, Reif] Je m'appelle Radar
[Larsen, Reif]
Je m’appelle Radar
Nil Editions 10 mars 2016
ISBN 978 284111 866 3
725 pages
Quatrième de couverture
L'histoire est un cercle, et la vie un spectacle de marionnettes... Au commencement, Radar. Il naît dans le New Jersey en 1975 alors qu'une panne d'électricité plonge l'hôpital dans le noir. Le petit garçon vient au monde avec une peau d'un « noir d'aubergine » tandis que ses parents, Charlene et Kermin, sont blancs et que Charlene est une femme fidèle. Déboussolée, elle le soumet à une batterie de tests. Après des années de vaine quête auprès de différents médecins, Charlene et Kermin tentent un ultime essai : ils acceptent la bizarre invitation de Kirkenesferda, un groupe d'artistes-scientifiques du Grand Nord norvégien...
Un roman-kaléidoscope foisonnant, jubilatoire, culotté et mordant, qui joue de tous les genres et de toutes les traditions pour bousculer le lecteur, le conquérir... et l'enchanter.
Ma petite chronique
Ce roman comporte de multiples histoires qui s’entremêlent en cinq parties, parlant tout d’abord de Radar, il est noir, né de parents blancs, sa mère frôle la dépression, le fait soumettre à toutes sortes de tests médicaux qui ne donnent rien, jusqu’à ce qu’elle rencontre un groupe d’artistes-scientifiques du grand Nord norvégien. A la suite d’un ultime test, Radar ne sera plus le même. Dans une autre partie, on fait la connaissance d’autres personnages qui semblerait n’avoir rien à voir avec Radar, et pourtant…. Bien sûr je vous en présente d’autres, il s’agit de Danilot, de sa femme et de leurs deux fils dont l’un va s’engager pour se battre contre les musulmans, le second deviendra sans doute marionnettiste.. Mais voilà, très vite on retrouve Radar sensible et timide, curieusement pris dans des affolements d’ondes aux conséquences invraisemblables. Et voici un groupe d’artistes fous de la robotique, voudraient organiser des spectacles de marionnettes dans des villes en guerre de la planète. Et c’est grâce au travail d’Otik, qu’ils ont atteint un niveau de complexité technique inimaginable jusque-là, un travail de miniature époustouflant. Je n’en dirai pas plus car d’autres personnages viennent s’ajouter avec leurs curieuses et inquiétantes expériences en robotique, ils utilisent les phénomènes de la physique quantique pour faire voler des oiseaux mécaniques que l’on pourrait imaginer vivants. Les habitants du roman communiquent en plusieurs langues, que ce soit en morse, avec des signes et même avec des tams-tams. Des articles, des lettres, des photos et des dessins agrémentent l’histoire…..
Mon avis
Certains personnages ainsi que des faits réels sont évoqués dans le roman tels l’horreur au Cambodge, de Sarajevo, des camps pendant la seconde guerre mondiale les massacres pendant la guerre du Viêt-Nam sous l’égide de Pol Pot, sans oublier de parler de la musique classique, de physique et bien sûr de littérature, à ce propos j’ai aimé cette phrase (Une bibliothèque meurt si personne n’ouvre les livres) Bref ce superbe livre difficile à lire est inclassable et je pense que l’auteur l’a écrit après maintes recherches pour nous édifier sur ce monde de chercheurs et de rêveurs…..4,5/5
Je m’appelle Radar
Nil Editions 10 mars 2016
ISBN 978 284111 866 3
725 pages
Quatrième de couverture
L'histoire est un cercle, et la vie un spectacle de marionnettes... Au commencement, Radar. Il naît dans le New Jersey en 1975 alors qu'une panne d'électricité plonge l'hôpital dans le noir. Le petit garçon vient au monde avec une peau d'un « noir d'aubergine » tandis que ses parents, Charlene et Kermin, sont blancs et que Charlene est une femme fidèle. Déboussolée, elle le soumet à une batterie de tests. Après des années de vaine quête auprès de différents médecins, Charlene et Kermin tentent un ultime essai : ils acceptent la bizarre invitation de Kirkenesferda, un groupe d'artistes-scientifiques du Grand Nord norvégien...
Un roman-kaléidoscope foisonnant, jubilatoire, culotté et mordant, qui joue de tous les genres et de toutes les traditions pour bousculer le lecteur, le conquérir... et l'enchanter.
Ma petite chronique
Ce roman comporte de multiples histoires qui s’entremêlent en cinq parties, parlant tout d’abord de Radar, il est noir, né de parents blancs, sa mère frôle la dépression, le fait soumettre à toutes sortes de tests médicaux qui ne donnent rien, jusqu’à ce qu’elle rencontre un groupe d’artistes-scientifiques du grand Nord norvégien. A la suite d’un ultime test, Radar ne sera plus le même. Dans une autre partie, on fait la connaissance d’autres personnages qui semblerait n’avoir rien à voir avec Radar, et pourtant…. Bien sûr je vous en présente d’autres, il s’agit de Danilot, de sa femme et de leurs deux fils dont l’un va s’engager pour se battre contre les musulmans, le second deviendra sans doute marionnettiste.. Mais voilà, très vite on retrouve Radar sensible et timide, curieusement pris dans des affolements d’ondes aux conséquences invraisemblables. Et voici un groupe d’artistes fous de la robotique, voudraient organiser des spectacles de marionnettes dans des villes en guerre de la planète. Et c’est grâce au travail d’Otik, qu’ils ont atteint un niveau de complexité technique inimaginable jusque-là, un travail de miniature époustouflant. Je n’en dirai pas plus car d’autres personnages viennent s’ajouter avec leurs curieuses et inquiétantes expériences en robotique, ils utilisent les phénomènes de la physique quantique pour faire voler des oiseaux mécaniques que l’on pourrait imaginer vivants. Les habitants du roman communiquent en plusieurs langues, que ce soit en morse, avec des signes et même avec des tams-tams. Des articles, des lettres, des photos et des dessins agrémentent l’histoire…..
Mon avis
Certains personnages ainsi que des faits réels sont évoqués dans le roman tels l’horreur au Cambodge, de Sarajevo, des camps pendant la seconde guerre mondiale les massacres pendant la guerre du Viêt-Nam sous l’égide de Pol Pot, sans oublier de parler de la musique classique, de physique et bien sûr de littérature, à ce propos j’ai aimé cette phrase (Une bibliothèque meurt si personne n’ouvre les livres) Bref ce superbe livre difficile à lire est inclassable et je pense que l’auteur l’a écrit après maintes recherches pour nous édifier sur ce monde de chercheurs et de rêveurs…..4,5/5
lalyre- Grand sage du forum
-
Nombre de messages : 9618
Age : 92
Localisation : Liège (Belgique )
Emploi/loisirs : jardinage,lecture
Genre littéraire préféré : un peu de tout,sauf fantasy et fantastique
Date d'inscription : 07/04/2010
Sujets similaires
» [Larsen, Reif] L'extravagant voyage du jeune et prodigieux T.S. Spivet
» [Bertholon, Delphine] L'effet Larsen
» [Larsen, Nella] Clair-obscur
» [Nielsen, Susin] Le journal malgré lui de Henry K. Larsen
» [Bertholon, Delphine] L'effet Larsen
» [Larsen, Nella] Clair-obscur
» [Nielsen, Susin] Le journal malgré lui de Henry K. Larsen
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum