[Peylin, Diane] Même les pêcheurs ont le mal de mer
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[Peylin, Diane] Même les pêcheurs ont le mal de mer
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[Peylin, Diane]
Même les pêcheurs ont le mal de mer
Editions Les Escales 2 juin 2016
ISBN 978 2 36569 190 1
215 pages
Quatrième de couverture
Quel héritage transmettent les pères à leurs fils ? Quelle part de chagrin, de culpabilité et d'amour ?
C'est une petite île de sable et de volcans, aux couleurs méditerranéennes. Là, trois hommes d'une même famille, trois pêcheurs, doivent affronter le passé, les regrets, le silence.
Il y a Valente Orozco, le père, sauvage et taciturne, qui n'a jamais pu surmonter la mort de sa femme Rocio. Il y a Rafa, le grand-père, ce géant au regard d'acier, inflexible avec Valente, et qui, inexplicablement, s'est métamorphosé un beau matin pour ne plus jamais cesser de sourire. Et puis il y a Salvi, le fils, qui a quitté l'île pour le continent, fuyant un destin tout tracé. Salvi qui déteste la mer, les éternels filets, l'odeur des poissons et les valeurs patriarcales d'une société dans laquelle il ne se reconnaît pas.
Derrière ces trois hommes, surtout, il y a des secrets, des non-dits portés de génération en génération comme un fardeau, et bien sûr des femmes – qui sont des soleils ou des poignards.
Voici, tissées délicatement, les trajectoires émouvantes de trois fils en quête d'un père.
Mon avis
Sur une île battue par les vents, entourée par l’océan Atlantique se trouve un petit hameau, c’est là que cette famille de pêcheurs vit, trois générations d’hommes, le grand-père Rafa, le père Valente et Salvi. Un silence plane entre ces hommes cependant unis par les liens du sang, affrontant le passé un peu comme des ombres qui se frôlent. Ils s’aiment pourtant mais ne le disent pas, à peine si de temps en temps un semblant de sourire apparaît sur leurs lèvres emprisonnant les non-dits et les regrets. Et puis il y a Salvi fuyant la mer qu’il déteste et a quitté l’île pour le continent, chacun de ces trois hommes portent leur secret comme un fardeau alors qu’une simple étreinte ou une parole d’amitié pourraient les rapprocher, simplement chacun des personnages est émouvant dans sa quête de père et c’est cela le thème principal de ce très beau roman ou j’ai imaginé l’atmosphère de ce lieu isolé, le sable, les embruns, la mer et les volcans sommeillant. Un roman coup de cœur pour le ressenti éprouvé…5/5
Même les pêcheurs ont le mal de mer
Editions Les Escales 2 juin 2016
ISBN 978 2 36569 190 1
215 pages
Quatrième de couverture
Quel héritage transmettent les pères à leurs fils ? Quelle part de chagrin, de culpabilité et d'amour ?
C'est une petite île de sable et de volcans, aux couleurs méditerranéennes. Là, trois hommes d'une même famille, trois pêcheurs, doivent affronter le passé, les regrets, le silence.
Il y a Valente Orozco, le père, sauvage et taciturne, qui n'a jamais pu surmonter la mort de sa femme Rocio. Il y a Rafa, le grand-père, ce géant au regard d'acier, inflexible avec Valente, et qui, inexplicablement, s'est métamorphosé un beau matin pour ne plus jamais cesser de sourire. Et puis il y a Salvi, le fils, qui a quitté l'île pour le continent, fuyant un destin tout tracé. Salvi qui déteste la mer, les éternels filets, l'odeur des poissons et les valeurs patriarcales d'une société dans laquelle il ne se reconnaît pas.
Derrière ces trois hommes, surtout, il y a des secrets, des non-dits portés de génération en génération comme un fardeau, et bien sûr des femmes – qui sont des soleils ou des poignards.
Voici, tissées délicatement, les trajectoires émouvantes de trois fils en quête d'un père.
Mon avis
Sur une île battue par les vents, entourée par l’océan Atlantique se trouve un petit hameau, c’est là que cette famille de pêcheurs vit, trois générations d’hommes, le grand-père Rafa, le père Valente et Salvi. Un silence plane entre ces hommes cependant unis par les liens du sang, affrontant le passé un peu comme des ombres qui se frôlent. Ils s’aiment pourtant mais ne le disent pas, à peine si de temps en temps un semblant de sourire apparaît sur leurs lèvres emprisonnant les non-dits et les regrets. Et puis il y a Salvi fuyant la mer qu’il déteste et a quitté l’île pour le continent, chacun de ces trois hommes portent leur secret comme un fardeau alors qu’une simple étreinte ou une parole d’amitié pourraient les rapprocher, simplement chacun des personnages est émouvant dans sa quête de père et c’est cela le thème principal de ce très beau roman ou j’ai imaginé l’atmosphère de ce lieu isolé, le sable, les embruns, la mer et les volcans sommeillant. Un roman coup de cœur pour le ressenti éprouvé…5/5
lalyre- Grand sage du forum
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