[Preston, Douglas & Child, Lincoln] Pendergast - Trilogie Diogène - Tome 1: Le violon du diable

•  Poche: 697 pages
•  Editeur : J'AI LU - LIBRIO (30 avril 2008)
•  Collection : J'ai lu Thriller
•  Langue : Français
•  ISBN-10: 2290002283
•  ISBN-13: 978-2290002285




4ème de couverture

Qui, sinon le Malin, a tué Jeremy Grove, le critique d'art dont le corps calciné a été retrouvé dans le grenier de sa demeure... fermé de l'intérieur ? Une chaleur suffocante, une insoutenable odeur de soufre et, surtout, reconnaissable entre toutes, cette empreinte de pied fourchu... Lorsqu'un deuxième cas tout aussi mystérieux de combustion spontanée est signalé, le doute n'est plus permis. Sauf pour l'inspecteur Aloysius Pendergast, du FBI, qui ne peut accepter cette hypothèse effrayante.


Mon avis

Je me suis découvert récemment une passion pour les thrillers de Preston et Child. Celui-ci est le quatrième de leurs romans que je lis à la suite. A chaque fois, je trouve les intrigues  excellentes et le suspense est  toujours au rendez-vous. Quant aux  personnages, dont beaucoup sont récurrents, c’est bien simple, je n’attends qu’une seule chose, les retrouver au plus vite. Pendergast est mon nouveau héros (je l’aime presque autant qu’Adamsberg, de Vargas, qui reste malgré tout mon chouchou). J’aime sa classe, son esprit de répartie jamais en défaut, ses costumes noirs, ses yeux bleus et ses cheveux blonds. Même son intelligence extrême et sa fortune personnelle, qui pourraient agacer, il faut bien l’avouer, ne retirent rien à son côté charismatique.

Ses proches sont sympatiques, voir fascinants, comme c’est le cas de Constance. Quant à sa famille, que je découvre un peu plus à chacune de mes lectures, c’est bien simple, je suis envoûtée. Je ne doute pas un instant de lire tous les romans de ce cycle dans un avenir très proche.

J’en viens maintenant au « Violon du diable ». J’ai retrouvé avec grand plaisir tous mes héros dans des aventures toujours aussi trépidantes. Pendergast et d’Agosta, tels Sherlock Holmes et le docteur Watson ne lâchent pas la piste du meurtrier. L’intrigue n’a rien à envier à celles de mes lectures précédentes et je rage de ne pas avoir deviné qui est le meurtrier. Pour ne rien gâcher, comme à leur habitude, les auteurs m’ont emmenée à la découverte d’un lieu que je ne connaissais pas. Cette fois, il s’agit de Florence, en Italie. J’irais volontiers y faire un tour un de ces jours…

C’est à peine si je déplore un petit goût de répétition : par deux fois, nos héros se font capturer par leur ennemi et échappent à la mort de justesse. Enfin… peut-être ? En effet, ce roman est le premier d’une trilogie et la suite est au prochain numéro. Je suis donc dans l’angoisse totale (lol) concernant le sort de l’Inspecteur. Avis aux amateurs, procurez-vous les 3 tomes de si vous souhaitez ne pas vous morfondre en attendant d’acquérir la suite !