[Raymond, Midge] Mon dernier continent
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Mon dernier continent
[Raymond, Midge] Mon dernier continent
MON DERNIER CONTINENT
Roman édité chez Stock en novembre 2016
306 pages
Résumé
Ushuaia, la fin du monde, le début de tout.
Deb et Keller se retrouvent chaque année au coeur des eaux froides de l’Antarctique pour étudier les manchots empereurs et les Adélie. Dans ce bout du monde entouré de glaciers et d’icebergs, ils oublient pour un temps les chagrins de leurs vies. Mais l’Antarctique, comme leur amour, est fragile et menacé.
Une nouvelle saison commence. Au moment de lever l’ancre, Keller n’est pas à bord du Cormoran, le bateau qui doit les conduire à la station de recherche. Peu après, le Cormoran reçoit un signal de détresse d’un paquebot de croisière prisonnier des glaces…
Midge Raymond nous entraîne dans un voyage inoubliable aux confins du continent blanc, territoire à la beauté âpre où le moindre faux pas peut s’avérer tragique.
Mon ressenti
Une histoire avec pour décor l’Antartique et je fonds, je fonce. C’est un lieu magique tant par les couleurs, que le son mais aussi par son climat et les animaux qui peuplent ses régions. Et puis, il y a nous, les Hommes. Attirés par les étendues blanches et ce qu’elles cachent, les ONG et chercheurs ont longtemps mis les pieds là-bas. Aujourd’hui, il y a pourtant d’autres personnes qui y passent, sont de plus en plus nombreuses à s’y rendre, ce sont les touristes. Si ces derniers sont une manne financière pour certaines sociétés, de par leur présence, ils amènent pollution, inconscience, modification en profondeur de ces paysages.
Deb est une jeune femme en thèse de géologie, pour vivre, elle fait une saison d’hiver (6 mois) pour une ONG en Antartique. Elle y compte depuis maintenant plusieurs années les pingouins et observent les variations de leur population, en notant la croissance des petits devenus adultes. Elle y découvre l’avancé de la pollution.
Elle fait la connaissance de Keller qui pour d’autres raisons qu’elle, part faire des saisons en Antartique. Lui était avocat de son métier, il plaque tout. L’Antartique est une région dure pour les Hommes, voire inhumaine. La mort peut vous surprendre à tout moment sans vous en rendre compte. La vigilance est de mise pour vous, en ayant en tête que chaque geste que vous faites peut avoir des conséquences pour ceux qui vous accompagnent. Il faut un certain caractère pour vivre pendant 6 mois là-bas. On raconte soit vous allez détester ou soit vous allez aimer énormément et vous demanderez alors d’y retourner.
Les histoires d’amour se font et se défont au fil des saisons. Pourtant, Deb et Keller vont y croire chaque année, jusqu’à construire ensemble des projections en dehors du continent blanc. C’est sans compter ces nouveaux groupes de touristes et de sociétés qui se fient du danger.
Une histoire forte, une écriture fine et évocatrice pour me permettre de partager un tout petit bout de ce dernier continent, de vivre pleinement les émotions de ce couple pour qui ce sera la dernière aventure auprès des pingouins. J’ai pu entendre le choc des icebergs, le cri des pingouins, le vent qui s’engouffre et soulève la glace ou la neige, le froid s’immiscent au travers des protections, le bruit des pas…
Une très belle histoire comptée avec brio et émotions, un grand merci à l’auteur de m’avoir permise d’être un peu là-bas.
Un coup de cœur
A découvrir absolument
Roman édité chez Stock en novembre 2016
306 pages
Résumé
Ushuaia, la fin du monde, le début de tout.
Deb et Keller se retrouvent chaque année au coeur des eaux froides de l’Antarctique pour étudier les manchots empereurs et les Adélie. Dans ce bout du monde entouré de glaciers et d’icebergs, ils oublient pour un temps les chagrins de leurs vies. Mais l’Antarctique, comme leur amour, est fragile et menacé.
Une nouvelle saison commence. Au moment de lever l’ancre, Keller n’est pas à bord du Cormoran, le bateau qui doit les conduire à la station de recherche. Peu après, le Cormoran reçoit un signal de détresse d’un paquebot de croisière prisonnier des glaces…
Midge Raymond nous entraîne dans un voyage inoubliable aux confins du continent blanc, territoire à la beauté âpre où le moindre faux pas peut s’avérer tragique.
Mon ressenti
Une histoire avec pour décor l’Antartique et je fonds, je fonce. C’est un lieu magique tant par les couleurs, que le son mais aussi par son climat et les animaux qui peuplent ses régions. Et puis, il y a nous, les Hommes. Attirés par les étendues blanches et ce qu’elles cachent, les ONG et chercheurs ont longtemps mis les pieds là-bas. Aujourd’hui, il y a pourtant d’autres personnes qui y passent, sont de plus en plus nombreuses à s’y rendre, ce sont les touristes. Si ces derniers sont une manne financière pour certaines sociétés, de par leur présence, ils amènent pollution, inconscience, modification en profondeur de ces paysages.
Deb est une jeune femme en thèse de géologie, pour vivre, elle fait une saison d’hiver (6 mois) pour une ONG en Antartique. Elle y compte depuis maintenant plusieurs années les pingouins et observent les variations de leur population, en notant la croissance des petits devenus adultes. Elle y découvre l’avancé de la pollution.
Elle fait la connaissance de Keller qui pour d’autres raisons qu’elle, part faire des saisons en Antartique. Lui était avocat de son métier, il plaque tout. L’Antartique est une région dure pour les Hommes, voire inhumaine. La mort peut vous surprendre à tout moment sans vous en rendre compte. La vigilance est de mise pour vous, en ayant en tête que chaque geste que vous faites peut avoir des conséquences pour ceux qui vous accompagnent. Il faut un certain caractère pour vivre pendant 6 mois là-bas. On raconte soit vous allez détester ou soit vous allez aimer énormément et vous demanderez alors d’y retourner.
Les histoires d’amour se font et se défont au fil des saisons. Pourtant, Deb et Keller vont y croire chaque année, jusqu’à construire ensemble des projections en dehors du continent blanc. C’est sans compter ces nouveaux groupes de touristes et de sociétés qui se fient du danger.
Une histoire forte, une écriture fine et évocatrice pour me permettre de partager un tout petit bout de ce dernier continent, de vivre pleinement les émotions de ce couple pour qui ce sera la dernière aventure auprès des pingouins. J’ai pu entendre le choc des icebergs, le cri des pingouins, le vent qui s’engouffre et soulève la glace ou la neige, le froid s’immiscent au travers des protections, le bruit des pas…
Une très belle histoire comptée avec brio et émotions, un grand merci à l’auteur de m’avoir permise d’être un peu là-bas.
Un coup de cœur
A découvrir absolument
Pinky- Grand sage du forum
-
Nombre de messages : 8536
Age : 61
Localisation : Les Sables d'Olonne (85)
Emploi/loisirs : Educatrice spécialisée, peinture, dessin, bricolage, ballade, baignade, tricot, couture
Genre littéraire préféré : Je lis de tout en littérature mais j'ai beaucoup de mal avec les policiers... j'en lis 1 ou 2 dans l
Date d'inscription : 04/06/2008
Re: [Raymond, Midge] Mon dernier continent
Merci Pinky pour ta critique, j'ai eus un peu froid en te lisant mais j'ai aimé le voyage
louloute- Grand sage du forum
-
Nombre de messages : 24193
Age : 55
Localisation : Var, Sanary-sur-mer
Emploi/loisirs : mère au foyer
Genre littéraire préféré : thriller, historique, policier
Date d'inscription : 11/12/2009
Re: [Raymond, Midge] Mon dernier continent
merci Louloute pour ta visite, les rapports humains réchauffent toujours le cœur et le corps...
Pinky- Grand sage du forum
-
Nombre de messages : 8536
Age : 61
Localisation : Les Sables d'Olonne (85)
Emploi/loisirs : Educatrice spécialisée, peinture, dessin, bricolage, ballade, baignade, tricot, couture
Genre littéraire préféré : Je lis de tout en littérature mais j'ai beaucoup de mal avec les policiers... j'en lis 1 ou 2 dans l
Date d'inscription : 04/06/2008
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