[Munzer, Hanni] Au nom de ma mère
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[Munzer, Hanni] Au nom de ma mère
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[Munzer, Hanni]
Au nom de ma mère
Editions L’Archipel 7 novembre 2017
ISBN 978 2 8098 2316 5/H 13-0224-5
395 pages
Quatrième de couverture
JUSQU’OÙ UNE MÈRE PEUT-ELLE ALLER POUR SAUVER SES ENFANTS ?
Étudiante à Seattle, Felicity reçoit un appel : Martha, sa mère, a disparu... Felicity la retrouve à Rome,-oùMarthas’estenfuieavecdesarchivesfamiliales.
Martha a en effet découvert une longue lettre écrite par sa propre mère, Deborah, fille d’une diva qui connut son heure de gloire aux débuts du IIIe Reich. Une lettre qui va plonger Felicity dans une quêtedouloureuse.
Alternant passé et présent, ce roman mêle amour et trahison, colère et culpabilité, péché et expiation, autour d’un secret de famille courant sur quatre générations.
Mon avis
Ce roman est une histoire qui couvre le temps entre les années 1923/2012, c’est une véritable saga nous dévoilant le vécu d’Elisabeth, de Deborah, de Martha et Marlène, l’amie de Deborah, mais aussi le nazisme vu de l’intérieur. Heureusement Martha qui s’est réfugiée à Rome est retrouvée par Félicity sa fille. Lors des retrouvailles Martha est plongée dans l’histoire de sa famille, des documents venant de sa mère qui vient de décéder. Ce sont d’anciens manuscrits qui étaient destinés à Martha, c’est alors que l’on baigne dans le passé de deux générations de femmes sous le troisième Reich, des femmes courageuses que le nazisme ne saura jamais briser, plusieurs autres personnages dont Marlène, le petit frère de Deborah tous deux marqués par ce qu’ils ont vu et vécu. Des faits connus jalonnent ce roman, en le premier autodafé de Munich ou les livres furent brûlés ceux de Thomas Mann qui a reçu le prix Nobel de littérature, aussi la nuit des longs couteaux qui fit plus de deux victimes, les arrestations, tortures et camps de concentration, des personnages connus comme Hitler et toute sa clique dont font partie des hommes qui ont partagé la vie de ces femmes. L’auteure à certains moments est parvenue à mettre une note légère dans cette histoire et cela d’une écriture réaliste et remarquable. J’ai suivi cette histoire remarquable avec émotion même si l’on connaît les horreurs de cette époque, j’ai aimé le courage mais aussi la détermination de ces femmes allant jusqu’au sacrifice par amitié et amour maternelle. Bref une histoire de générations de femmes admirables qui une fois le livre fermé ne se laisseront pas oublier…4,5/5
Au nom de ma mère
Editions L’Archipel 7 novembre 2017
ISBN 978 2 8098 2316 5/H 13-0224-5
395 pages
Quatrième de couverture
JUSQU’OÙ UNE MÈRE PEUT-ELLE ALLER POUR SAUVER SES ENFANTS ?
Étudiante à Seattle, Felicity reçoit un appel : Martha, sa mère, a disparu... Felicity la retrouve à Rome,-oùMarthas’estenfuieavecdesarchivesfamiliales.
Martha a en effet découvert une longue lettre écrite par sa propre mère, Deborah, fille d’une diva qui connut son heure de gloire aux débuts du IIIe Reich. Une lettre qui va plonger Felicity dans une quêtedouloureuse.
Alternant passé et présent, ce roman mêle amour et trahison, colère et culpabilité, péché et expiation, autour d’un secret de famille courant sur quatre générations.
Mon avis
Ce roman est une histoire qui couvre le temps entre les années 1923/2012, c’est une véritable saga nous dévoilant le vécu d’Elisabeth, de Deborah, de Martha et Marlène, l’amie de Deborah, mais aussi le nazisme vu de l’intérieur. Heureusement Martha qui s’est réfugiée à Rome est retrouvée par Félicity sa fille. Lors des retrouvailles Martha est plongée dans l’histoire de sa famille, des documents venant de sa mère qui vient de décéder. Ce sont d’anciens manuscrits qui étaient destinés à Martha, c’est alors que l’on baigne dans le passé de deux générations de femmes sous le troisième Reich, des femmes courageuses que le nazisme ne saura jamais briser, plusieurs autres personnages dont Marlène, le petit frère de Deborah tous deux marqués par ce qu’ils ont vu et vécu. Des faits connus jalonnent ce roman, en le premier autodafé de Munich ou les livres furent brûlés ceux de Thomas Mann qui a reçu le prix Nobel de littérature, aussi la nuit des longs couteaux qui fit plus de deux victimes, les arrestations, tortures et camps de concentration, des personnages connus comme Hitler et toute sa clique dont font partie des hommes qui ont partagé la vie de ces femmes. L’auteure à certains moments est parvenue à mettre une note légère dans cette histoire et cela d’une écriture réaliste et remarquable. J’ai suivi cette histoire remarquable avec émotion même si l’on connaît les horreurs de cette époque, j’ai aimé le courage mais aussi la détermination de ces femmes allant jusqu’au sacrifice par amitié et amour maternelle. Bref une histoire de générations de femmes admirables qui une fois le livre fermé ne se laisseront pas oublier…4,5/5
lalyre- Grand sage du forum
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