[Goby, Valentine] Je me promets d'éclatantes revanches
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[Goby, Valentine] Je me promets d'éclatantes revanches
[Goby, Valentine] Je me promets d'éclatantes revanches
[Goby, Valentine]
Je me promets d’éclatantes revanches
Editions L’Iconoclaste 30 août 2017
ISBN 979-1095438380
175 pages
Quatrième de couverture
L’une, Valentine Goby, est romancière. L’autre, c’est Charlotte Delbo, amoureuse, déportée, résistante, poète ; elle a laissé une oeuvre foudroyante. Voici deux femmes engagées, la littérature chevillée au corps. Au sortir d’Auschwitz, Charlotte Delbo invente une écriture radicale, puissante, suggestive pour continuer de vivre, envers et contre tout.
Lorsqu’elle la découvre, Valentine Goby, éblouie, plonge dans son oeuvre et déroule lentement le fil qui la relie à cette femme hors du commun. Pour que d’autres risquent l’aventure magnifique de sa lecture, mais aussi pour lancer un grand cri d’amour à la littérature. Celle qui change la vie, qui console, qui sauve.
Mon avis
Je lis rarement des essais, mais celui-ci est historique et Valentine Goby parle avec une telle délicatesse de Charlotte Delbo (1913-1985). Comme elle nous dit en première page, c’est une ancienne résistante et déportée à Ravensbrück qui a prononcé le nom de Charlotte Selbo. Faisant des recherches et fréquentant deux bibliothèques pour découvrir les livres, Valentine découvre que Charlotte a écrit Auschwitz et après en trois tomes, ou toujours les deux camps s’absorbent l’un dans l’autre, à peine séparés par un train, qui à la fin forment un seul catalogue de la vie concentrationnaire. Cependant Valentine Goby s’émeut que Charlotte ait aussi désiré être l’auteure de chroniques de la vie ordinaire, du temps de paix, de l’amitié solide et franche, du débat intellectuel et de l’émerveillement de la nature en métamorphose. Charlotte grâce aux écrits perspicaces et bienveillants de l’auteure, m’a semblé redevenir femme, une femme toujours amoureuse de Georges fusillé en 1943, elle qui malgré l’incompréhension de ses contemporains nous dit; Je me promets d'éclatantes revanches . Je ne sais rien dire de plus, sinon que Valentine Goby termine son livre en disant qu’elle voudrait par ce livre susciter par contagion irrésistible, le désir de connaître Charlotte Delbo et de l’aimer. 4,5/5
Je me promets d’éclatantes revanches
Editions L’Iconoclaste 30 août 2017
ISBN 979-1095438380
175 pages
Quatrième de couverture
L’une, Valentine Goby, est romancière. L’autre, c’est Charlotte Delbo, amoureuse, déportée, résistante, poète ; elle a laissé une oeuvre foudroyante. Voici deux femmes engagées, la littérature chevillée au corps. Au sortir d’Auschwitz, Charlotte Delbo invente une écriture radicale, puissante, suggestive pour continuer de vivre, envers et contre tout.
Lorsqu’elle la découvre, Valentine Goby, éblouie, plonge dans son oeuvre et déroule lentement le fil qui la relie à cette femme hors du commun. Pour que d’autres risquent l’aventure magnifique de sa lecture, mais aussi pour lancer un grand cri d’amour à la littérature. Celle qui change la vie, qui console, qui sauve.
Mon avis
Je lis rarement des essais, mais celui-ci est historique et Valentine Goby parle avec une telle délicatesse de Charlotte Delbo (1913-1985). Comme elle nous dit en première page, c’est une ancienne résistante et déportée à Ravensbrück qui a prononcé le nom de Charlotte Selbo. Faisant des recherches et fréquentant deux bibliothèques pour découvrir les livres, Valentine découvre que Charlotte a écrit Auschwitz et après en trois tomes, ou toujours les deux camps s’absorbent l’un dans l’autre, à peine séparés par un train, qui à la fin forment un seul catalogue de la vie concentrationnaire. Cependant Valentine Goby s’émeut que Charlotte ait aussi désiré être l’auteure de chroniques de la vie ordinaire, du temps de paix, de l’amitié solide et franche, du débat intellectuel et de l’émerveillement de la nature en métamorphose. Charlotte grâce aux écrits perspicaces et bienveillants de l’auteure, m’a semblé redevenir femme, une femme toujours amoureuse de Georges fusillé en 1943, elle qui malgré l’incompréhension de ses contemporains nous dit; Je me promets d'éclatantes revanches . Je ne sais rien dire de plus, sinon que Valentine Goby termine son livre en disant qu’elle voudrait par ce livre susciter par contagion irrésistible, le désir de connaître Charlotte Delbo et de l’aimer. 4,5/5
lalyre- Grand sage du forum
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