[Raymond Bock, Maxime] Morel
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[Maxime Raymond Bock] Morel
[Raymond Bock, Maxime] Morel
Titre: Morel
Auteur: Maxime Raymond Bock
Éditions: Le Cheval d'août
Genre: Roman
Époque: XXe siècle
326 pages
ISBN 978-2-924491-52-2
Quatrième de couverture
Ouvrier anonyme, Jean-Claude Morel s'est consacré aux grands chantiers de Montréal. Il a creusé le métro, fait surgir des îles et s’entrelacer des autoroutes. Mais les tours qu’il a construites au centre-ville allongent leurs ombres jusqu’en bas de la track : le Faubourg à m’lasse est détruit, la rue Notre-Dame rasée, et la famille Morel expropriée. Le vieux Jean-Claude jongle avec ses souvenirs dont il ne sait que faire jusqu’à l’entrée en scène de sa petite-fille Catherine qui réveille les mémoires et retricote les liens décousus.
Fresque grouillante de vie, Morel raconte de l’intérieur la métamorphose de Montréal au 20e siècle, où le génie n’est ni civil ni industriel, mais profondément humain : c’est celui d’une communauté têtue, désordonnée, qui trouvera toujours le moyen de fleurir à travers la rouille et le béton.
Mon avis
J'ai beaucoup aimé.
Ce roman est une fresque de Montréal au XXe siècle.
Pas facile le travail d'ouvrier avant «Les Unions qu'ossa donne». Blessé à l'ouvrage, tu étais sacré dehors et tu devais déménager car la plupart des logements étaient propriété de l'entreprise qui t'engageait.
As it used to be, le pauvre travaillait et le riche profitait de ce travail. Avec la pauvreté qui n'était jamais loin, la vie familiale n'était pas facile, la religion s'impliquant dans les lits pour que les femmes enfantent encore et encore, peu importe le revenu du pourvoyeur. Mais l'amour pouvait quelquefois s'incruster dans les craques du trottoir.
Livre intéressant qui laisse place à la fuite du temps et aux générations qui se succèdent.
Les liens entre les chapitres sont parfois difficiles tant on peut sauter d'une génération à une autre.
Ma cote: 7/10.
Ce roman est une fresque de Montréal au XXe siècle.
Pas facile le travail d'ouvrier avant «Les Unions qu'ossa donne». Blessé à l'ouvrage, tu étais sacré dehors et tu devais déménager car la plupart des logements étaient propriété de l'entreprise qui t'engageait.
As it used to be, le pauvre travaillait et le riche profitait de ce travail. Avec la pauvreté qui n'était jamais loin, la vie familiale n'était pas facile, la religion s'impliquant dans les lits pour que les femmes enfantent encore et encore, peu importe le revenu du pourvoyeur. Mais l'amour pouvait quelquefois s'incruster dans les craques du trottoir.
Livre intéressant qui laisse place à la fuite du temps et aux générations qui se succèdent.
Les liens entre les chapitres sont parfois difficiles tant on peut sauter d'une génération à une autre.
Ma cote: 7/10.
Moulin-à-Vent- Grand sage du forum
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