[Zweig, Stefan] Virata
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[Zweig, Stefan] Virata
Auteur : Stephan Zweig
Editeur : Livre de poche
Collection : La pochothèque
Année de parution 1991
Nombre de pages : 1191
Ce récit légendaire est un conte philosophique paru en 1922. Au pays de Birwagha, Virata est nommé "l'Eclair du glaive en raison de ses performances à la chasse et au combat. C'est un homme juste et loyal envers le roi qu'il sert. Il accepte de réprimer une rébellion au sein du royaume. Au cours d'un combat, il tue son frère ainé et après la victoire, il est nommé conducteur suprême des armées par le roi mais il refuse cette charge en raison de l'avertissement que l'Invisible lui a envoyé afin qu'il sache que celui qui ôte la vie à un homme tue son frère. Il accepte de devenir le premier des juges du roi. Il est tellement respecté dans ses fonctions qu'on l'appelle "Source de la justice" d'un bout à l'autre du territoire des Radjpoutes. A la suite d'un jugement rendu pour une faute capitale, il demande au roi de lui accorder une pause, le temps d'une lune afin de ressentir la souffrance de la captivité et de connaitre la portée de ses actes. Dans l'obscurité d'une cellule, il atteint un état de contemplation immobile et, une fois libéré de sa geôle, il demande à être relevé de ses fonctions. Il est alors nommé "le champ du conseil" par les autres, proches et étrangers, qui le sollicitent pour régler leurs litiges. Six ans après le début de sa retraite il est confronté à la souffrance d'un esclave battu pour mauvais services et il ordonne aux siens de libérer les esclaves chez lui. Pour vivre exempt de toute faute, il décide de vivre seul comme un ermite. Il est alors nommé "l'Étoile de la solitude", jusqu'au jour où rencontrant la femme du tisserand Paratika, père de trois enfants, qui avait suivi son exemple et abandonné sa maison, sa fortune et sa famille à la pauvreté, laissant mourir ses trois enfants, il est accusé d'en être responsable par orgueil. il décide de revenir vivre parmi les hommes ; il meurt humblement en qualité de maitre du chenil et tombe dans l'oubli total.
Editeur : Livre de poche
Collection : La pochothèque
Année de parution 1991
Nombre de pages : 1191
Ce récit légendaire est un conte philosophique paru en 1922. Au pays de Birwagha, Virata est nommé "l'Eclair du glaive en raison de ses performances à la chasse et au combat. C'est un homme juste et loyal envers le roi qu'il sert. Il accepte de réprimer une rébellion au sein du royaume. Au cours d'un combat, il tue son frère ainé et après la victoire, il est nommé conducteur suprême des armées par le roi mais il refuse cette charge en raison de l'avertissement que l'Invisible lui a envoyé afin qu'il sache que celui qui ôte la vie à un homme tue son frère. Il accepte de devenir le premier des juges du roi. Il est tellement respecté dans ses fonctions qu'on l'appelle "Source de la justice" d'un bout à l'autre du territoire des Radjpoutes. A la suite d'un jugement rendu pour une faute capitale, il demande au roi de lui accorder une pause, le temps d'une lune afin de ressentir la souffrance de la captivité et de connaitre la portée de ses actes. Dans l'obscurité d'une cellule, il atteint un état de contemplation immobile et, une fois libéré de sa geôle, il demande à être relevé de ses fonctions. Il est alors nommé "le champ du conseil" par les autres, proches et étrangers, qui le sollicitent pour régler leurs litiges. Six ans après le début de sa retraite il est confronté à la souffrance d'un esclave battu pour mauvais services et il ordonne aux siens de libérer les esclaves chez lui. Pour vivre exempt de toute faute, il décide de vivre seul comme un ermite. Il est alors nommé "l'Étoile de la solitude", jusqu'au jour où rencontrant la femme du tisserand Paratika, père de trois enfants, qui avait suivi son exemple et abandonné sa maison, sa fortune et sa famille à la pauvreté, laissant mourir ses trois enfants, il est accusé d'en être responsable par orgueil. il décide de revenir vivre parmi les hommes ; il meurt humblement en qualité de maitre du chenil et tombe dans l'oubli total.
Invité- Invité
Re: [Zweig, Stefan] Virata
1191 pages ? waou pas mal de temps avec l'immense talent de Zweig alors !!! je note aussi !
Invité- Invité
Re: [Zweig, Stefan] Virata
1191 pages c'est le nombre de pages du recueil entier romans et nouvelles de la collection pochothèque qui comprend beaucoup d'autres nouvelles que Virata
Invité- Invité
Re: [Zweig, Stefan] Virata
Bénédicte a écrit:1191 pages c'est le nombre de pages du recueil entier romans et nouvelles de la collection pochothèque qui comprend beaucoup d'autres nouvelles que Virata
c'est ce que je me suis dis après avoir éteind l'ordi j'hésite à acheter ce recueil (en deux tomes je crois) vu que j'ai déjà des romans et nouvelles de Zweig !
Invité- Invité
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