[Duborgel, Véronique] Dans l'enfer de l'Opus Dei
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Re: [Duborgel, Véronique] Dans l'enfer de l'Opus Dei
Je ne m'emporte pas Agathe, je partage et donne mon opinion, sans plus. Je n'aime pas les affirmations incontrôlables, c'est tout, maintenant tu as raison, autant refermer la parenthèse.
Disons Nephtys que cette dame fait preuve d'un manque de caractère dès le départ et que tout découle de cette absence. Il y a une porte de sortie inutilisée pendant 13 ans, donc gémissements et jérémiades sont inutiles.
Merci de ton passage François, je pense qu'il y a à boire et à manger dans cette association, sans connaître de l'intérieur il est bien difficile de juger.
B
Disons Nephtys que cette dame fait preuve d'un manque de caractère dès le départ et que tout découle de cette absence. Il y a une porte de sortie inutilisée pendant 13 ans, donc gémissements et jérémiades sont inutiles.
Merci de ton passage François, je pense qu'il y a à boire et à manger dans cette association, sans connaître de l'intérieur il est bien difficile de juger.
B
Invité- Invité
Re: [Duborgel, Véronique] Dans l'enfer de l'Opus Dei
Ce livre est le témoignage de son auteur sur sa vie au sein de l’œuvre comme l’appelle ses adeptes. Il s’agit de la communauté de l’Opus Dei, communauté dérivative de la communauté catholique. Elle y raconte les habitudes parfois extrêmes de ses membres et les pressions qu’exercent les responsables sur les membres. Son récit est construit sous forme de séquences où chaque chapitre représente un thème.
Véronique DUBORGEL a su se sortir de ce qu’elle qualifie d’enfer grâce à un courage exemplaire puisque quitter cette communauté n’est pas chose aisée et a également eu pour conséquence un divorce.
On sent à travers ce récit toute la naïveté de la jeunesse et l’aveuglement induit par l’amour puisque c’est son futur mari, jeune recrue zélée qui a fait « enrôler » Véronique.
Ce témoignage est une main tendue à toutes les personnes dans le doute, toutes les personnes qui sentent que leur vie dérape et leur échappe car loin d’être un discours moralisateur ce récit se veut simple autant dans les idées que dans l’écriture. En effet l’auteur aurait pu écrire un livre beaucoup plus long mais elle semble plutôt vouloir faire passer un message et le faire en toute simplicité afin de s’adresser au plus grand nombre. Cette envie de simplicité est aussi exprimée dans le livre par des idées globales : Véronique DUBORGEL n’entre pas dans les détails hormis pour illustrer ses propos, on reste ici dans une impression globale du mouvement.
Après cette lecture j’ai ressenti le besoin d’aller voir plus loin sur cette communauté qui est reconnue par l’Eglise catholique puisque qu’elle a été approuvée par le Vatican en 1950 et nommée par le pape Jean Paul II prélature personnelle en 1982 (ce qui signifie que l’Opus Dei ne dépend que de son prélat et est indépendant de l’église catholique). Cette organisation compte aujourd’hui environ 84000 membre de par le monde et est classée comme secte par certains états. Ces chiffres démontrent l’ampleur du phénomène et dès lors nous interrogent sur sa puissance.
Un grand merci à Partage lecture et aux éditions J’ai Lu qui m’ont permis de découvrir ce livre.
Véronique DUBORGEL a su se sortir de ce qu’elle qualifie d’enfer grâce à un courage exemplaire puisque quitter cette communauté n’est pas chose aisée et a également eu pour conséquence un divorce.
On sent à travers ce récit toute la naïveté de la jeunesse et l’aveuglement induit par l’amour puisque c’est son futur mari, jeune recrue zélée qui a fait « enrôler » Véronique.
Ce témoignage est une main tendue à toutes les personnes dans le doute, toutes les personnes qui sentent que leur vie dérape et leur échappe car loin d’être un discours moralisateur ce récit se veut simple autant dans les idées que dans l’écriture. En effet l’auteur aurait pu écrire un livre beaucoup plus long mais elle semble plutôt vouloir faire passer un message et le faire en toute simplicité afin de s’adresser au plus grand nombre. Cette envie de simplicité est aussi exprimée dans le livre par des idées globales : Véronique DUBORGEL n’entre pas dans les détails hormis pour illustrer ses propos, on reste ici dans une impression globale du mouvement.
Après cette lecture j’ai ressenti le besoin d’aller voir plus loin sur cette communauté qui est reconnue par l’Eglise catholique puisque qu’elle a été approuvée par le Vatican en 1950 et nommée par le pape Jean Paul II prélature personnelle en 1982 (ce qui signifie que l’Opus Dei ne dépend que de son prélat et est indépendant de l’église catholique). Cette organisation compte aujourd’hui environ 84000 membre de par le monde et est classée comme secte par certains états. Ces chiffres démontrent l’ampleur du phénomène et dès lors nous interrogent sur sa puissance.
Un grand merci à Partage lecture et aux éditions J’ai Lu qui m’ont permis de découvrir ce livre.
Invité- Invité
Re: [Duborgel, Véronique] Dans l'enfer de l'Opus Dei
Pour réagir aux propos de Bernard (qui je pense réagira aux miens) je pense que tout ceci est une histoire de conditionnement! Ce conditionnement est fait à la base sous couvert de l'amouir que Véronique portait à son futur mari.
Je pense que qualifier cette personne de faible est plausible en revanche porter un jugement aussi grave que "dénuée d'intelligence" me parait exagéré! Nous sommes ici pour donner notre avis sur un livre et non sur une personne...
Je pense que qualifier cette personne de faible est plausible en revanche porter un jugement aussi grave que "dénuée d'intelligence" me parait exagéré! Nous sommes ici pour donner notre avis sur un livre et non sur une personne...
Invité- Invité
Re: [Duborgel, Véronique] Dans l'enfer de l'Opus Dei
FrançoisG a écrit:Je viens de lire tous les messages.
Je n'ai pas lu le livre.
Je peux cependant vous dire ce que je sais des activités de l'Opus Dei, ici, en Espagne.
En Espagne, ils repèrent les enfants/ados/étudiants catholiques les plus intelligents, les font étudier quasi gratuitement dans leurs universités privées, leur demandent de reverser une partie de leur salaire une fois le poste décroché.
Grâce à l'Opus Dei, des fils d'ouvriers ont pu devenir Notaires par exemple.
Je crois savoir que les juifs appliquent la même logique par le biais des synagogues pour les juifs.
Je regrette François, mais je connais bien le milieu juif, et il n'y absolument aucun analogie à faire avec l'Opus Dei. Les élèves jeunes, ados et adultes étudient en Yéchiva, et les études concernent la religion, l'étude du Talmud, de la Thora avec des cours sur l'Histoire et l'Ethique juive. Les études ne sont pas gratuites, seuls ceux dont les parents n'ont pas les moyens, peuvent avoir une prise en charge. De plus, la finalité des études n'est pas de rentrer dans la vie civile, mais de se diriger vers des écoles rabbiniques. Donc, aucune similitude, ni aucun point commun.
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Re: [Duborgel, Véronique] Dans l'enfer de l'Opus Dei
Snoopinette a écrit:Pour réagir aux propos de Bernard (qui je pense réagira aux miens) je pense que tout ceci est une histoire de conditionnement! Ce conditionnement est fait à la base sous couvert de l'amouir que Véronique portait à son futur mari.
Je pense que qualifier cette personne de faible est plausible en revanche porter un jugement aussi grave que "dénuée d'intelligence" me parait exagéré! Nous sommes ici pour donner notre avis sur un livre et non sur une personne...
Je ne porte aucun jugement!! En aucun cas j'ai dit qu'elle était stupide, j'ai juste voulu dire que par moment on a vraiment l'impression qu'elle a eu un lavage de cerveau!! je n'ai peut-être pas employé les bons mots.
Maintenant dans la mesure où elle était consciente de ce qui se passait, que son mari la maltraitait et qu'elle était seule, je pense effectivement qu'on peut se poser ce genre de question!
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Re: [Duborgel, Véronique] Dans l'enfer de l'Opus Dei
Merci Snoopinette de ton commentaire.
Je réitère qu'il ne faut pas treize ans pour s'apercevoir de ce dont il est question dans le livre, ni accepter treize ans de sévices corporels pour quitter un conjoint (avec 9 enfants qui plus est). C'est mon reproche et je l'assume en mon nom, ce que je dis dans mon commentaire, il n'y a aucune généralisation dans mes propos ni d'évaluation personnelle de l'intelligence de Madame Duborgel. J'attendais autre chose, tant pis, je n'en fais pas une affaire. Je regrette l'apitoiement continuel et sa rengaine ennuyeuse et, pour ma part, je n'ai pas aimé du tout cette histoire.
Voilà, je m'en suis expliqué dans mon commentaire et, pour ce qui me concerne, il faudrait se lever de bonne heure pour m'abuser de la sorte, avec ou sans amour. Je ne suis pas membre de cette association, je l'ai été d'autres et je n'ai pas connu de telle mésaventure du fait que les statuts ou le règlement m'étaient connus ou que je les avais demandés.
Je confirme mes remerciements à J'ai Lu et au forum, j'ai donné mon avis avec honnêteté, j'ai débattu et je reste sur mes positions.
B
Je réitère qu'il ne faut pas treize ans pour s'apercevoir de ce dont il est question dans le livre, ni accepter treize ans de sévices corporels pour quitter un conjoint (avec 9 enfants qui plus est). C'est mon reproche et je l'assume en mon nom, ce que je dis dans mon commentaire, il n'y a aucune généralisation dans mes propos ni d'évaluation personnelle de l'intelligence de Madame Duborgel. J'attendais autre chose, tant pis, je n'en fais pas une affaire. Je regrette l'apitoiement continuel et sa rengaine ennuyeuse et, pour ma part, je n'ai pas aimé du tout cette histoire.
Voilà, je m'en suis expliqué dans mon commentaire et, pour ce qui me concerne, il faudrait se lever de bonne heure pour m'abuser de la sorte, avec ou sans amour. Je ne suis pas membre de cette association, je l'ai été d'autres et je n'ai pas connu de telle mésaventure du fait que les statuts ou le règlement m'étaient connus ou que je les avais demandés.
Je confirme mes remerciements à J'ai Lu et au forum, j'ai donné mon avis avec honnêteté, j'ai débattu et je reste sur mes positions.
B
Invité- Invité
Re: [Duborgel, Véronique] Dans l'enfer de l'Opus Dei
Tout comme Bernard, j'ai beaucoup de mal à comprendre que l'on puisse" accepter de subir" aussi longtemps, que l'on mette autant de temps à se réveiller, mais surtout que l'on puisse se faire embarquer de la sorte quelle que fut la destination d'ailleurs.
Mais bon, chacun est comme il est.
Je crois qu'il n'est pas encore né celui ou celle qui arriverait à ses fins avec moi....question de caractère
Mais bon, chacun est comme il est.
Je crois qu'il n'est pas encore né celui ou celle qui arriverait à ses fins avec moi....question de caractère
Invité- Invité
Re: [Duborgel, Véronique] Dans l'enfer de l'Opus Dei
Ce que je pense c'est que lorsqu'on est conditionné depuis son enfance et qu'à la sortie de cette enfance on continue le conditionnement toute personne peut perdre son discernement... Il ne s'agit ici que de conditionnement et de représailles lorsqu'un membre de la communauté trangresse.
Invité- Invité
Re: [Duborgel, Véronique] Dans l'enfer de l'Opus Dei
N'oublions point que l'objectif ici n'est point de donner notre avis sur l'opus dei ni sur la personne qui témoigne.
Il s'agit d'apprécier ou pas un livre tel qu'il a été écrit.
On se demande d'ailleurs pourquoi il suscite autant d'émotion...
Il s'agit d'apprécier ou pas un livre tel qu'il a été écrit.
On se demande d'ailleurs pourquoi il suscite autant d'émotion...
Thot- Admin
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Genre littéraire préféré : Je lis de tout, mais j'aime moins la science-fiction.
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Re: [Duborgel, Véronique] Dans l'enfer de l'Opus Dei
J'ai lu ce livre il y a 2 ans lors de sa sortie chez Albin Michel: ce témoignage m'a intéressé et touché.
Je suis ulcérée par les propos de Bernard. Ce monsieur n'est peut-être dénué d'intelligence mais à coup sûr il n'a pas de coeur. Il faut sortir la tête de vos livres, regarder un peu la vraie vie et vous intéresser aux vrais gens.
Les femmes battues, les personnes sous l'emprise d'une secte, de l'alcool, de la drogue, du jeu ne sont pas des faibles et des imbéciles.
Lorsqu'on prend un mauvais chemin, il est parfois difficile d'en sortir. Comment imaginer une seconde qu'il est facile de se révolter quand on a la charge de plusieurs enfants en bas âge?
A mon avis, Véronique Duborgel n'est pas faible. Au contraire, c'est une femme très forte pour avoir réussi à se sortir de la situation dans laquelle elle se trouvait.
Je suis ulcérée par les propos de Bernard. Ce monsieur n'est peut-être dénué d'intelligence mais à coup sûr il n'a pas de coeur. Il faut sortir la tête de vos livres, regarder un peu la vraie vie et vous intéresser aux vrais gens.
Les femmes battues, les personnes sous l'emprise d'une secte, de l'alcool, de la drogue, du jeu ne sont pas des faibles et des imbéciles.
Lorsqu'on prend un mauvais chemin, il est parfois difficile d'en sortir. Comment imaginer une seconde qu'il est facile de se révolter quand on a la charge de plusieurs enfants en bas âge?
A mon avis, Véronique Duborgel n'est pas faible. Au contraire, c'est une femme très forte pour avoir réussi à se sortir de la situation dans laquelle elle se trouvait.
Invité- Invité
Re: [Duborgel, Véronique] Dans l'enfer de l'Opus Dei
Mon avis
Un petit livre ou l’on apprend comment on peut se faire piéger par l’opus dei qui pour moi est une secte comme les autres, Ce que je n’ai pas aimé c’est la naïveté de Véronique car je pense qu’elle était apte à réfléchir à ses actes, personnellement je pensais que c’étaient les personnes fragilisées qui se laissaient pièger. Il est vrai que la façon de faire de ce monde de l’opus dei est assez trouble, mais ce que je ne comprends pas non plus c’est comment elle a pu rester treize dans cette enfer comme dit le titre du livre, car elle y a souffert sans aucun secours de son mari, ni même des prêtres de ce groupe. Ce qui m’a choquée c’est aussi ce qu’on leur enseigne, je reprends ici le point 597 de l’Oeuvre “ Si tu agissais suivant les impulsions de ton coeur et celles que la raison te dicte , tu serais continuellement face contre terre, prosterné comme un ver sale, laid et misèrable......devant ce Dieu qui te supporte ainsi “ Et toujours la menace de la condamnation éternelle car Satan est souvent cité dans ce livre qui m’a mise en colère face à ce récit ....et pourtant j’ai réalisé que Véronique a tout de même trouvé le courage de quitter cette secte en pensant à l’avenir de ses enfants......4/5
Un petit livre ou l’on apprend comment on peut se faire piéger par l’opus dei qui pour moi est une secte comme les autres, Ce que je n’ai pas aimé c’est la naïveté de Véronique car je pense qu’elle était apte à réfléchir à ses actes, personnellement je pensais que c’étaient les personnes fragilisées qui se laissaient pièger. Il est vrai que la façon de faire de ce monde de l’opus dei est assez trouble, mais ce que je ne comprends pas non plus c’est comment elle a pu rester treize dans cette enfer comme dit le titre du livre, car elle y a souffert sans aucun secours de son mari, ni même des prêtres de ce groupe. Ce qui m’a choquée c’est aussi ce qu’on leur enseigne, je reprends ici le point 597 de l’Oeuvre “ Si tu agissais suivant les impulsions de ton coeur et celles que la raison te dicte , tu serais continuellement face contre terre, prosterné comme un ver sale, laid et misèrable......devant ce Dieu qui te supporte ainsi “ Et toujours la menace de la condamnation éternelle car Satan est souvent cité dans ce livre qui m’a mise en colère face à ce récit ....et pourtant j’ai réalisé que Véronique a tout de même trouvé le courage de quitter cette secte en pensant à l’avenir de ses enfants......4/5
lalyre- Grand sage du forum
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Re: [Duborgel, Véronique] Dans l'enfer de l'Opus Dei
Un peu déçue de ce livre, ça n'a pas vraiment répondu à mes questions mais ça aussi répondu à des questions que je ne me posais pas!
Je pensais avant que l'Opus Dei était une "secte" de l'Eglise Catholique mais uniquement ouverte aux prêtres, évêques, etc. Alors j'ai été étonnée que des gens "lambda" entrent dans cette secte.
Si j'avais été attirée par ce livre c'est simplement car après avoir lu le Da Vinci Code, j'ai été curieuse de savoir ce que c'était que l'Opus Dei. Mais ce livre n'a pas vraiment répondu à mes questions. Ca m'a juste appris quel est le quotidien d'une surnuméraire, comment se passait l'adhésion à cette secte.
J'ai été déçue du livre dans le sens, où je trouve qu'il y a énormément de répétition, à la moitié du livre, je sautais des paragraphes entier. J'ai trouvé aussi le livre mal structuré, en tout cas pour par ma part. J'aurais peut-être préféré une écriture plus chronologique que par thème, je pense que ça aurait pu éviter les répétitions. Ensuite, j'aurais aussi préféré plus d'éclaircissement sur sa situation familiale, parce qu'elle n'en parle pas beaucoup. On ne sait pas vraiment quelles sont ses relations avec son mari, elle en parle mais ce n'est pas détaillé à mon goût et parle peu de ses enfants. Qu'on pensé ses enfants de l'Opus Dei?
Je dirais que le livre est à lire, mais vraiment dans les grandes lignes, car en lisant un chapitre sur deux, voir le 1er chapitre et le dernier, vous aurez tout lu!
Je pensais avant que l'Opus Dei était une "secte" de l'Eglise Catholique mais uniquement ouverte aux prêtres, évêques, etc. Alors j'ai été étonnée que des gens "lambda" entrent dans cette secte.
Si j'avais été attirée par ce livre c'est simplement car après avoir lu le Da Vinci Code, j'ai été curieuse de savoir ce que c'était que l'Opus Dei. Mais ce livre n'a pas vraiment répondu à mes questions. Ca m'a juste appris quel est le quotidien d'une surnuméraire, comment se passait l'adhésion à cette secte.
J'ai été déçue du livre dans le sens, où je trouve qu'il y a énormément de répétition, à la moitié du livre, je sautais des paragraphes entier. J'ai trouvé aussi le livre mal structuré, en tout cas pour par ma part. J'aurais peut-être préféré une écriture plus chronologique que par thème, je pense que ça aurait pu éviter les répétitions. Ensuite, j'aurais aussi préféré plus d'éclaircissement sur sa situation familiale, parce qu'elle n'en parle pas beaucoup. On ne sait pas vraiment quelles sont ses relations avec son mari, elle en parle mais ce n'est pas détaillé à mon goût et parle peu de ses enfants. Qu'on pensé ses enfants de l'Opus Dei?
Je dirais que le livre est à lire, mais vraiment dans les grandes lignes, car en lisant un chapitre sur deux, voir le 1er chapitre et le dernier, vous aurez tout lu!
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