[Willeford, Charles] Je cherchais une rue
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[Willeford, Charles] Je cherchais une rue
[Willeford, Charles] Je cherchais une rue
[Willeford, Charles]
Je cherchais une rue
Rivages/noir mai 2011
190 pages
4ème de couverture
C'est l'histoire d'un enfant, orphelin de père, qui vit dans une grande maison à Topanga Canyon, entre sa grand-mère, sa mère et son oncle. Sans être riche, la famille jouit d'une certaine aisance. Cet enfant c'est Charles Willeford. Il est heureux, mais les nuages ne tardent pas à s'amonceler : sa mère est emportée par la tuberculose et sa grand-mère est privée d'emploi par la Grande Dépression. Sans ressources, le jeune homme part sur les routes, à l'instar de milliers de garçons de son âge. Commence alors pour lui une vie d'errance, sur fond de voies ferrées, de cafés, de bordels et de soupes populaires.
Lucidité, humour et émotion caractérisent ce récit autobiographique de Willeford. Un poignant voyage au bout de la vie et une quête du père disparu, par le mythique créateur de la série Hoke Moseley.
Résumé et avis
Dans la première partie, c’est l’histoire d’un jeune garçon, le narrateur, vivant heureux chez sa grand-mère, son père est mort de la tuberculose, sa mère contaminée meurt quelque temps plus tard. Tout allait bien pour le jeune garçon jusqu’à ce que sa grand-mère Mattie perde son emploi, oncle Roy aimerait les aider mais il a quelques difficultés pour subvenir aux besoins de sa femme et de ses enfants. Alors Charles décide de faire comme beaucoup d’autres enfants, il va monter dans un train de marchandises pour aller nulle part, c’est le hasard qui décidera......Mais dit-il, ce qui est sûr c’est qu’il a eu une enfance heureuse.
Seconde partie ou l’on retrouve Charles qui a changé de nom et s’est vieilli de trois ans, errant ou le conduisent ses pas , sur des chemins de misère, sur fond très sombre de cafés, de maisons closes, de voies ferrées, de repas populaires, un monde de déshérités et de clochards. Des pages dures et bouleversantes ou le soucis de chaque jour est de se procurer un repas. Devenu un jeune vagabond, ce sont sans doute dans ses errances qu’il a trouvé matière pour ses romans dont je n’ai lu aucun, mais rien que les titres me font penser à des romans noirs. Je ne dirai pas que j’ai aimé cette autobiographie qui heureusement ne comporte pas beaucoup de pages mais c’est une bonne façon de faire la connaissance d’un auteur 4/5
Je cherchais une rue
Rivages/noir mai 2011
190 pages
4ème de couverture
C'est l'histoire d'un enfant, orphelin de père, qui vit dans une grande maison à Topanga Canyon, entre sa grand-mère, sa mère et son oncle. Sans être riche, la famille jouit d'une certaine aisance. Cet enfant c'est Charles Willeford. Il est heureux, mais les nuages ne tardent pas à s'amonceler : sa mère est emportée par la tuberculose et sa grand-mère est privée d'emploi par la Grande Dépression. Sans ressources, le jeune homme part sur les routes, à l'instar de milliers de garçons de son âge. Commence alors pour lui une vie d'errance, sur fond de voies ferrées, de cafés, de bordels et de soupes populaires.
Lucidité, humour et émotion caractérisent ce récit autobiographique de Willeford. Un poignant voyage au bout de la vie et une quête du père disparu, par le mythique créateur de la série Hoke Moseley.
Résumé et avis
Dans la première partie, c’est l’histoire d’un jeune garçon, le narrateur, vivant heureux chez sa grand-mère, son père est mort de la tuberculose, sa mère contaminée meurt quelque temps plus tard. Tout allait bien pour le jeune garçon jusqu’à ce que sa grand-mère Mattie perde son emploi, oncle Roy aimerait les aider mais il a quelques difficultés pour subvenir aux besoins de sa femme et de ses enfants. Alors Charles décide de faire comme beaucoup d’autres enfants, il va monter dans un train de marchandises pour aller nulle part, c’est le hasard qui décidera......Mais dit-il, ce qui est sûr c’est qu’il a eu une enfance heureuse.
Seconde partie ou l’on retrouve Charles qui a changé de nom et s’est vieilli de trois ans, errant ou le conduisent ses pas , sur des chemins de misère, sur fond très sombre de cafés, de maisons closes, de voies ferrées, de repas populaires, un monde de déshérités et de clochards. Des pages dures et bouleversantes ou le soucis de chaque jour est de se procurer un repas. Devenu un jeune vagabond, ce sont sans doute dans ses errances qu’il a trouvé matière pour ses romans dont je n’ai lu aucun, mais rien que les titres me font penser à des romans noirs. Je ne dirai pas que j’ai aimé cette autobiographie qui heureusement ne comporte pas beaucoup de pages mais c’est une bonne façon de faire la connaissance d’un auteur 4/5
lalyre- Grand sage du forum
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