[Hustvedt, Siri] Un été sans les hommes
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[Hustvedt, Siri] Un été sans les hommes
[Hustvedt, Siri] Un été sans les hommes
[Hustvedt, Siri]
Un été sans les hommes
Actes Sud mai 2011
215 pages
]Mon résumé
]Une histoire de femme pendant un seul été, Mia la narratrice, poètesse de son état, vient de recevoir un terrible coup au coeur, Boris son mari lui a annoncé qu’il voulait faire une pause.....Hé oui, parce que pour lui cette pause est une jolie fille française, plus jeune que Mia. Celle-ci en devient folle de douleur et va devoir passer quelque temps à l’hopital, fragilisée, ayant perdu toute confiance en elle, elle part rejoindre sa mère dans son pays natal, sa mère âgée vit dans une maison de retraite, elle a trois amies plus âgées qu’elle, des liens d’amitié vont se nouer entre Mia et les vieilles dames, elle a loué un petit appartement et s’est engagée à animer un atelier de poésie, auquel participent sept jeunes adolescentes, elle nous parle de ce qu’elle découvre chez ces filles, jalousie, moqueries qui ont failli provoquer un drame à l’une d’entre elles, ce qui lui fait revenir à sa propre enfance....Une nouvelle solitude, la colère et la déception que doit affronter Mia, vont la faire regarder autour d’elle, et particulièrement les femmes, c’est comme cela que son attention se tourne vers Lola, sa jeune voisine, mère de deux bébés, supportant un mari instable. Il y a aussi Daisy, sa fille comédienne, les travaux manuels que créent les vieilles dames, leur envie de vivre, tout cela lui fait découvrir la complexité de l’existence. Cet été qu’elle va passer sans son bonhomme Boris pourrait sans doute lui faire comprendre les questions essentielles de la vie. Et Boris dans ce roman, que devient-il ? Y a t-il encore de l’espoir pour Mia ? Daisy accepte t-elle la défaillance de son père ? Saura t-il reconquérir Mia ? Cela, c’est aux lecteurs de le découvrir.....
.[Mon avis
Quelques thèmes intéressants tels que la solitude, l’adolescence, la jalousie, l’amour, la volonté de vivre, la vieillesse et la mort. Un roman ou se retrouvent des femmes de plusieurs générations, j’ai beaucoup aimé les moments d’intimité entre Mia et sa mère, férue de lecture, l’amour de Daisy pour sa mère, les conversations avec les vieilles dames, toutes sont des personnages fascinants. Il y a aussi une certaine ironie et de l’humour dans la construction du roman ou l’auteure tisse des fragments de vie page à page et l’on peut se poser la question...Quand une personne devient-elle une autre ?? Quatre dessins naïfs agrémentent ce roman, nous laissant deviner les états d’âme de Mia, je ne parlerai que du premier on l’on voit une femme enfermée dans une boite, ce qui définit très bien la dépression de MIa.....Un très gros coup de coeur pour moi 5/5
Un passage que j'ai aimé
Un été sans les hommes
Actes Sud mai 2011
215 pages
]Mon résumé
]Une histoire de femme pendant un seul été, Mia la narratrice, poètesse de son état, vient de recevoir un terrible coup au coeur, Boris son mari lui a annoncé qu’il voulait faire une pause.....Hé oui, parce que pour lui cette pause est une jolie fille française, plus jeune que Mia. Celle-ci en devient folle de douleur et va devoir passer quelque temps à l’hopital, fragilisée, ayant perdu toute confiance en elle, elle part rejoindre sa mère dans son pays natal, sa mère âgée vit dans une maison de retraite, elle a trois amies plus âgées qu’elle, des liens d’amitié vont se nouer entre Mia et les vieilles dames, elle a loué un petit appartement et s’est engagée à animer un atelier de poésie, auquel participent sept jeunes adolescentes, elle nous parle de ce qu’elle découvre chez ces filles, jalousie, moqueries qui ont failli provoquer un drame à l’une d’entre elles, ce qui lui fait revenir à sa propre enfance....Une nouvelle solitude, la colère et la déception que doit affronter Mia, vont la faire regarder autour d’elle, et particulièrement les femmes, c’est comme cela que son attention se tourne vers Lola, sa jeune voisine, mère de deux bébés, supportant un mari instable. Il y a aussi Daisy, sa fille comédienne, les travaux manuels que créent les vieilles dames, leur envie de vivre, tout cela lui fait découvrir la complexité de l’existence. Cet été qu’elle va passer sans son bonhomme Boris pourrait sans doute lui faire comprendre les questions essentielles de la vie. Et Boris dans ce roman, que devient-il ? Y a t-il encore de l’espoir pour Mia ? Daisy accepte t-elle la défaillance de son père ? Saura t-il reconquérir Mia ? Cela, c’est aux lecteurs de le découvrir.....
.[Mon avis
Quelques thèmes intéressants tels que la solitude, l’adolescence, la jalousie, l’amour, la volonté de vivre, la vieillesse et la mort. Un roman ou se retrouvent des femmes de plusieurs générations, j’ai beaucoup aimé les moments d’intimité entre Mia et sa mère, férue de lecture, l’amour de Daisy pour sa mère, les conversations avec les vieilles dames, toutes sont des personnages fascinants. Il y a aussi une certaine ironie et de l’humour dans la construction du roman ou l’auteure tisse des fragments de vie page à page et l’on peut se poser la question...Quand une personne devient-elle une autre ?? Quatre dessins naïfs agrémentent ce roman, nous laissant deviner les états d’âme de Mia, je ne parlerai que du premier on l’on voit une femme enfermée dans une boite, ce qui définit très bien la dépression de MIa.....Un très gros coup de coeur pour moi 5/5
Un passage que j'ai aimé
- Spoiler:
- Mais avant d'en arriver là, je veux vous dire, Gentil Lecteur, que si vous êtes ici avec moi maintenant, sur cette page, je veux dire : si vous avez atteint ce paragraphe, si vous n'avez pas renoncé, ne m'avez pas envoyée, moi, Mia, valdinguer à l'autre bout de la pièce ou même si vous l'avez fait, mais vous êtes demandé s'il ne se pourrait pas que quelque chose se passe bientôt et vous m'avez reprise et êtes encore en train de me lire, je voudrais tendre les bras vers vous et prendre votre visage à deux mains et vous couvrir de baisers, des baisers sur vos joues et sur votre menton et partout sur votre front et un sur l'arête de votre nez, parce que je suis à vous, tout à vous
Je voulais juste que vous le sachiez P.112
Dernière édition par lalyre le Mer 20 Juil 2011 - 19:05, édité 2 fois (Raison : Correction)
lalyre- Grand sage du forum
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Emploi/loisirs : jardinage,lecture
Genre littéraire préféré : un peu de tout,sauf fantasy et fantastique
Date d'inscription : 07/04/2010
Re: [Hustvedt, Siri] Un été sans les hommes
J'avais très envie de le lire. En lisant ton avis, je vais me dépêcher de le trouver.
Invité- Invité
Re: [Hustvedt, Siri] Un été sans les hommes
jostein a écrit:J'avais très envie de le lire. En lisant ton avis, je vais me dépêcher de le trouver.
Je serai ravie de lire ton avis
lalyre- Grand sage du forum
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Re: [Hustvedt, Siri] Un été sans les hommes
Les critiques de ce livres sont bonnes !! Merci pour cette critique !!
Invité- Invité
Re: [Hustvedt, Siri] Un été sans les hommes
Mon avis :
Un été sans les hommes est le premier roman de Siri Hustvedt que je lis. C'est une écrivaine que j'ai envie de découvrir depuis longtemps et elle appartient indéniablement au groupe d'auteurs intellectuels new-yorkais.
Ce roman est dense, bien mené et très riche. L'auteur traite élégamment des différences homme/femme tant au niveau psychologique (différence cérébrale, de perception) , social ( impact de l'éducation sexiste, statut) que sexuel. Le texte est parfois grivois mais jamais vulgaire.
Abandonnée par son mari Boris qui souhaite faire une "pause" avec une jeune française après 30 ans de vie commune, Mia part dans sa ville natale pour les vacances.
Là, elle va se ressourcer auprès de sa mère et de ses vieilles amies de la maison de retraite. Mais, elle va aussi se remémorer son adolescence avec un groupe de jeunes teen-agers auxquelles elle donne des cours de poésie. Puis, elle pourra réfléchir au mariage avec sa jeune voisine Lola, jeune mère qui vit quelques années difficiles.
Cette analyse se trouvera facilitée par le soutien du Dr S, qui l'aide à comprendre ses états d'âme, puis par sa soeur Béa et sa fille Daisy. Les hommes (Boris, Stefan son frère ou Harry, le frère de sa mère) sont absents physiquement mais ils sont bien le centre des agissements.
Le récit est nostalgique, tendre, parfois drôle ou coquin et très documenté (poésie, littérature, théories). Beaucoup de sujets sont évoqués comme la vieillesse, la découverte adolescente, les problèmes de couple, l'inévitable connivence d'un couple mature, la famille, le suicide...)
L'auteur interpelle souvent le lecteur, ce qui est une manière agréable de nous inclure dans l'histoire.
C'est vraiment un livre qui trouve sa force dans sa globalité. Toutes les histoires se construisent pour élaborer la personnalité et la puissance émotionnelle du personnage de Mia.
Je n'ai vraiment ressenti tout l'intérêt de ce livre qu'en fin de lecture, voire le lendemain. Je crois que c'est la caractéristique des romans bien construits.
Je relirai très probablement cet auteur.
Un été sans les hommes est le premier roman de Siri Hustvedt que je lis. C'est une écrivaine que j'ai envie de découvrir depuis longtemps et elle appartient indéniablement au groupe d'auteurs intellectuels new-yorkais.
Ce roman est dense, bien mené et très riche. L'auteur traite élégamment des différences homme/femme tant au niveau psychologique (différence cérébrale, de perception) , social ( impact de l'éducation sexiste, statut) que sexuel. Le texte est parfois grivois mais jamais vulgaire.
Abandonnée par son mari Boris qui souhaite faire une "pause" avec une jeune française après 30 ans de vie commune, Mia part dans sa ville natale pour les vacances.
Là, elle va se ressourcer auprès de sa mère et de ses vieilles amies de la maison de retraite. Mais, elle va aussi se remémorer son adolescence avec un groupe de jeunes teen-agers auxquelles elle donne des cours de poésie. Puis, elle pourra réfléchir au mariage avec sa jeune voisine Lola, jeune mère qui vit quelques années difficiles.
Cette analyse se trouvera facilitée par le soutien du Dr S, qui l'aide à comprendre ses états d'âme, puis par sa soeur Béa et sa fille Daisy. Les hommes (Boris, Stefan son frère ou Harry, le frère de sa mère) sont absents physiquement mais ils sont bien le centre des agissements.
Le récit est nostalgique, tendre, parfois drôle ou coquin et très documenté (poésie, littérature, théories). Beaucoup de sujets sont évoqués comme la vieillesse, la découverte adolescente, les problèmes de couple, l'inévitable connivence d'un couple mature, la famille, le suicide...)
L'auteur interpelle souvent le lecteur, ce qui est une manière agréable de nous inclure dans l'histoire.
C'est vraiment un livre qui trouve sa force dans sa globalité. Toutes les histoires se construisent pour élaborer la personnalité et la puissance émotionnelle du personnage de Mia.
Je n'ai vraiment ressenti tout l'intérêt de ce livre qu'en fin de lecture, voire le lendemain. Je crois que c'est la caractéristique des romans bien construits.
Je relirai très probablement cet auteur.
Invité- Invité
Re: [Hustvedt, Siri] Un été sans les hommes
J’ai déjà découvert l’auteur avec « tout ce que j’aimais », il fut un coup de cœur pour beaucoup ; pas pour moi, j’ai aimé sans plus ; j’ai quand eu envie de relire cet auteur,le titre de ce livre m’a plu, ainsi que la couverture.
J’ai pour ce roman le même ressenti : j’ai bien aimé mais je déplore sa construction chaotique; Mia le personnage principal nous dévoile son histoire et trois autres histoires gravitent autour d’elle, mais cela n’est pas raconté de façon linéaire et c’est ce qui me chagrine.
Comme un puzzle, on découvre un bout d’une histoire puis, un autre vient se greffer, quand ce n’est pas une anecdote d’ordre philosophique ; bref, il faut être patient pour suivre et assembler tout cela. Certains passages, trop courts, sont intéressants et d’autres inutiles et barbants.
J’ai pour ce roman le même ressenti : j’ai bien aimé mais je déplore sa construction chaotique; Mia le personnage principal nous dévoile son histoire et trois autres histoires gravitent autour d’elle, mais cela n’est pas raconté de façon linéaire et c’est ce qui me chagrine.
Comme un puzzle, on découvre un bout d’une histoire puis, un autre vient se greffer, quand ce n’est pas une anecdote d’ordre philosophique ; bref, il faut être patient pour suivre et assembler tout cela. Certains passages, trop courts, sont intéressants et d’autres inutiles et barbants.
Re: [Hustvedt, Siri] Un été sans les hommes
Mon avis:
Quand elle apprend la liaison de son mari avec une jeunette, Mia, poétesse, la cinquantaine, "pète les plombs" et se retrouve internée en psychiatrie. Après une période de thérapie, elle part, le temps de l'été, dans sa ville natale, se réfugier auprès de sa mère qui vit dans sa maison de retraite.
Mia va peu à peu reprendre le contrôle d'elle-même et de sa vie. L'atelier d'écriture qu'elle accepte d'animer et les 7 adolescentes qui y participent, ainsi que la fameuse équipe formée par sa mère et ses copines lui permettront de redonner un brin de sens à son existence. Elle sera aidée aussi, à distance cette fois, par sa fille et sa thérapeute. Elle soutiendra à son tour sa jeune voisine, débordée par ses deux petits enfants et son mari instable.
Le roman nous décrit Mia qui observe ces générations de femmes, et qui s'observe elle-même.
Un point commun entre toutes: la vulnérabilité. La fragilité physique des plus âgées est souvent à la mesure de leurs regrets et souvenirs, le psycho-drame qui se joue entre les ados montre que cet âge-là peut être cruel, stupide mais aussi pur et tellement fragile.
Le récit n'est pas déprimant pour autant: paradoxalement ce sont les vaillantes octogénaires qui montrent l'exemple et ne se laissent pas abattre par les misères de l'âge. Et la fin de l'été apaisera les tensions...
Soyons clairs, ce roman n'est pas un coup de coeur pour moi, et je ne l'ai pas dévoré. Mais je l'ai bien apprécié: certains personnages sont touchants, amusants, agaçants (ah ces ados!), et l'auto-dérision de la narratrice est plutôt drôle. Les hommes sont effectivement absents, mais tout compte fait on ne peut s'empêcher de parler d'eux
Le récit n'est pas toujours chronologique, alterne narration classique et échanges d'e-mails, considérations philosophiques et phrases lestes, s'adresse parfois au lecteur, et superpose les épisodes entre Mia et chaque "catégorie" de personnages.
A conseiller à tout qui s'intéresse un tant soit peu à la psychologie des femmes...
Quand elle apprend la liaison de son mari avec une jeunette, Mia, poétesse, la cinquantaine, "pète les plombs" et se retrouve internée en psychiatrie. Après une période de thérapie, elle part, le temps de l'été, dans sa ville natale, se réfugier auprès de sa mère qui vit dans sa maison de retraite.
Mia va peu à peu reprendre le contrôle d'elle-même et de sa vie. L'atelier d'écriture qu'elle accepte d'animer et les 7 adolescentes qui y participent, ainsi que la fameuse équipe formée par sa mère et ses copines lui permettront de redonner un brin de sens à son existence. Elle sera aidée aussi, à distance cette fois, par sa fille et sa thérapeute. Elle soutiendra à son tour sa jeune voisine, débordée par ses deux petits enfants et son mari instable.
Le roman nous décrit Mia qui observe ces générations de femmes, et qui s'observe elle-même.
Un point commun entre toutes: la vulnérabilité. La fragilité physique des plus âgées est souvent à la mesure de leurs regrets et souvenirs, le psycho-drame qui se joue entre les ados montre que cet âge-là peut être cruel, stupide mais aussi pur et tellement fragile.
Le récit n'est pas déprimant pour autant: paradoxalement ce sont les vaillantes octogénaires qui montrent l'exemple et ne se laissent pas abattre par les misères de l'âge. Et la fin de l'été apaisera les tensions...
Soyons clairs, ce roman n'est pas un coup de coeur pour moi, et je ne l'ai pas dévoré. Mais je l'ai bien apprécié: certains personnages sont touchants, amusants, agaçants (ah ces ados!), et l'auto-dérision de la narratrice est plutôt drôle. Les hommes sont effectivement absents, mais tout compte fait on ne peut s'empêcher de parler d'eux
Le récit n'est pas toujours chronologique, alterne narration classique et échanges d'e-mails, considérations philosophiques et phrases lestes, s'adresse parfois au lecteur, et superpose les épisodes entre Mia et chaque "catégorie" de personnages.
A conseiller à tout qui s'intéresse un tant soit peu à la psychologie des femmes...
Invité- Invité
Re: [Hustvedt, Siri] Un été sans les hommes
je lis actuellement "l'envoûtement de Lily Dahl" du même auteur. Vos critiques me donnent très envi de lire celui ci. prochainement peut être...
Invité- Invité
Re: [Hustvedt, Siri] Un été sans les hommes
un coup de cœur sans conteste!
ce roman qui coule lentement comme la blessure d'amour qui peu à peu cicatrise et se referme... presque
une exploration intimiste du cœur des femmes à travers plusieurs âges de la vie : l'enfance, l'adolescence, la maternité, l'aube de la vieillesse, l'aube de la mort.
c'est un tourbillon, on sombre et on est rattrapés au bord du gouffre, telle fut Mia.
une écriture fine et sensible, précise et libre place à l'imagination.
j'ai hâte de lire d'autres livres de cette auteure...
ce roman qui coule lentement comme la blessure d'amour qui peu à peu cicatrise et se referme... presque
une exploration intimiste du cœur des femmes à travers plusieurs âges de la vie : l'enfance, l'adolescence, la maternité, l'aube de la vieillesse, l'aube de la mort.
c'est un tourbillon, on sombre et on est rattrapés au bord du gouffre, telle fut Mia.
une écriture fine et sensible, précise et libre place à l'imagination.
j'ai hâte de lire d'autres livres de cette auteure...
fred7469- Membre assidu
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Emploi/loisirs : en voie d'amélioration
Genre littéraire préféré : la qualité de l'écriture avant tout
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Re: [Hustvedt, Siri] Un été sans les hommes
Mon ressenti
Je suis partagée avec ce livre : à la fois véritable introspection autour de Mia avec ses humeurs, ses tourments, ses émotions et ses réflexions suite à sa séparation et sa rencontre avec le groupe d’amies de sa mère et celui d’adolescentes. Le cocktail s’avère merveilleux ou très lent car rythmé par l’introspection de Mia.
Entre l’une qui essaye de reprendre goût à la vie et les autres qui attendent de passer dans un autre monde, les rencontres s’avèrent épiques. Comment enseigner la poésie à sept adolescentes et donner l’envie ?
Plusieurs femmes se répondent en résonnance à des stades différents de leur évolution : être une femme « libérée » n’est pas si facile… qu’est-ce qu’une femme en fin de compte ?
L’auteure s’attache à nous livrer des portraits touchant de femmes prises dans leur contradiction mais révèlent au mieux leur humanité.
A découvrir
Je suis partagée avec ce livre : à la fois véritable introspection autour de Mia avec ses humeurs, ses tourments, ses émotions et ses réflexions suite à sa séparation et sa rencontre avec le groupe d’amies de sa mère et celui d’adolescentes. Le cocktail s’avère merveilleux ou très lent car rythmé par l’introspection de Mia.
Entre l’une qui essaye de reprendre goût à la vie et les autres qui attendent de passer dans un autre monde, les rencontres s’avèrent épiques. Comment enseigner la poésie à sept adolescentes et donner l’envie ?
Plusieurs femmes se répondent en résonnance à des stades différents de leur évolution : être une femme « libérée » n’est pas si facile… qu’est-ce qu’une femme en fin de compte ?
L’auteure s’attache à nous livrer des portraits touchant de femmes prises dans leur contradiction mais révèlent au mieux leur humanité.
A découvrir
Pinky- Grand sage du forum
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