[Cook, Kenneth] L'ivresse du kangourou
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Qu'avez vous pensé de "L'ivresse du Kangourou" ?
[Cook, Kenneth] L'ivresse du kangourou
Broché: 218 pages
Editeur : J'ai lu (2 janvier 2013)
Collection : J'ai lu Roman
Langue : Français
ISBN-10: 2290042447
ISBN-13: 978-2290042441
Présentation de l'éditeur
"Il y eut une longue pause, durant laquelle Benny émit de
petits bruits de bouche compatissants, et enfin le kangourou
ouvrit ses deux yeux injectés de sang. Je vous jure qu'à cet
instant, il a grimacé... Puis il bondit soudain par-dessus la
palissade et partit comme un bolide vers la brasserie." Que
faire face à un kangourou qui a pris goût à la bière ? Peut-être
pas le poursuivre à travers toute la ville pour le mettre en état
d'arrestation... sauf chez Kenneth Cook dont les mésaventures
trouvent toujours une issue aussi hilarante qu'absurde. Une
simple partie de voile dans la baie de Sydney, un séjour forcé
dans une cabane en compagnie d'un rat, la présence
d'inoffensifs lézards à bord d'un avion, tout devient homérique.
Biographie de l'auteur :
De ses tribulations australiennes, Kenneth Cook (1929-1987) a
tiré trois recueils de nouvelles plébiscités par le public.
L'ivresse du kangourou est le troisième à paraître en France,
après Le koala tueur (Autrement, 2009) et La vengeance du
wombat (Autrement, 2010).
Mon avis :
Dans la même veine que les 2 tomes précédents (Le Koala tueur et , la Vengeance du wombat), ce recueil réunit des histoires "vécues" (?), et peut-être (certainement ?) un peu enjolivées. Enfin, c'est ce que je souhaite à l'auteur. Dans tous les cas, Kenneth Cook manie avec enthousiasme humour et autodérision, pour le plus grand plaisir du lecteur, et pour le mien.
Par la même occasion, il m'a emmenée visiter son Australie, à la rencontre de personnages plus farfelus et exotiques les uns que les autres. Quant aux animaux que j'ai découverts... il sont dignes du meilleur de Disney.
Quelques citations pour vous donner un avant goût :
"Comme la plupart des écrivains, j'oscille en permanence entre la cupidité et la lâcheté."
"Après tout, un homme n'a pas vraiment besoin d'alcool"
"L'autruche n'a qu'une expression : un mépris haineux pour toutes les créatures vivantes en général et pour moi en particulier."
"Tel un tambour primitif, le frappement de ses pattes accompagnait ses cris glouglouteurs, monotones et furieux.
Nous avions affaire à un oiseau très contrarié"
"Je pris la forme frénétique et emplumée pour point de mire"
Editeur : J'ai lu (2 janvier 2013)
Collection : J'ai lu Roman
Langue : Français
ISBN-10: 2290042447
ISBN-13: 978-2290042441
Présentation de l'éditeur
"Il y eut une longue pause, durant laquelle Benny émit de
petits bruits de bouche compatissants, et enfin le kangourou
ouvrit ses deux yeux injectés de sang. Je vous jure qu'à cet
instant, il a grimacé... Puis il bondit soudain par-dessus la
palissade et partit comme un bolide vers la brasserie." Que
faire face à un kangourou qui a pris goût à la bière ? Peut-être
pas le poursuivre à travers toute la ville pour le mettre en état
d'arrestation... sauf chez Kenneth Cook dont les mésaventures
trouvent toujours une issue aussi hilarante qu'absurde. Une
simple partie de voile dans la baie de Sydney, un séjour forcé
dans une cabane en compagnie d'un rat, la présence
d'inoffensifs lézards à bord d'un avion, tout devient homérique.
Biographie de l'auteur :
De ses tribulations australiennes, Kenneth Cook (1929-1987) a
tiré trois recueils de nouvelles plébiscités par le public.
L'ivresse du kangourou est le troisième à paraître en France,
après Le koala tueur (Autrement, 2009) et La vengeance du
wombat (Autrement, 2010).
Mon avis :
Dans la même veine que les 2 tomes précédents (Le Koala tueur et , la Vengeance du wombat), ce recueil réunit des histoires "vécues" (?), et peut-être (certainement ?) un peu enjolivées. Enfin, c'est ce que je souhaite à l'auteur. Dans tous les cas, Kenneth Cook manie avec enthousiasme humour et autodérision, pour le plus grand plaisir du lecteur, et pour le mien.
Par la même occasion, il m'a emmenée visiter son Australie, à la rencontre de personnages plus farfelus et exotiques les uns que les autres. Quant aux animaux que j'ai découverts... il sont dignes du meilleur de Disney.
Quelques citations pour vous donner un avant goût :
"Comme la plupart des écrivains, j'oscille en permanence entre la cupidité et la lâcheté."
"Après tout, un homme n'a pas vraiment besoin d'alcool"
"L'autruche n'a qu'une expression : un mépris haineux pour toutes les créatures vivantes en général et pour moi en particulier."
"Tel un tambour primitif, le frappement de ses pattes accompagnait ses cris glouglouteurs, monotones et furieux.
Nous avions affaire à un oiseau très contrarié"
"Je pris la forme frénétique et emplumée pour point de mire"
Pistou 117- Grand sage du forum
-
Nombre de messages : 4075
Age : 59
Localisation : LILLE
Genre littéraire préféré : De tout, partout...
Date d'inscription : 09/06/2010
Re: [Cook, Kenneth] L'ivresse du kangourou
J'ai lu "le koala tueur" de cet auteur, amusant. J'avais peur que les autres soient un peu répétitifs .... Ce n'est pas le cas, Pistou ?
marie do- Grand sage du forum
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Nombre de messages : 4624
Age : 58
Localisation : corse
Genre littéraire préféré : Assez varié : thriller, roman historique, contemporain, bd .....
Date d'inscription : 01/03/2012
Re: [Cook, Kenneth] L'ivresse du kangourou
C'est le même genre, disons qu'il ne faut pas lire les 3 à la suite. (Il y a aussi La revanche du Wombat)
Des livres détente... et bien agréables. Je ne regrette pas d'avoir lu les trois.
Pistou 117- Grand sage du forum
-
Nombre de messages : 4075
Age : 59
Localisation : LILLE
Genre littéraire préféré : De tout, partout...
Date d'inscription : 09/06/2010
Re: [Cook, Kenneth] L'ivresse du kangourou
Lorsque vous invitez Miss Marple chez vous, vous êtes certains d’assister à un meurtre, voire plusieurs. Si vous optez pour Kenneth Cook ce seront une myriade d’animaux au comportement plus improbables les uns que les autres. Dans le bestiaire, vous assisterez aux libations d’un kangourou, Les de son petit nom, dans une mare emplie de drêches de houblon qu’un policier de ses amis voulut placer en cellule de dégrisement, mais… Vous pourrez voir des animaux bizarre, mais peut-être était-ce dû aux bouteilles de whiskies et champagne ingurgitées par Mister Cook. Si vous voulez vous protéger d’une grosse tempête de neige avec blizzard et compagnie, attention lorsque vous entrez dans une cabane isolée !!! Un rat, trop solitaire ??? peut avoir pour vous un « amour » dévorant. Ne dérobez surtout pas un œuf d’autruche avec votre copine naturaliste ou alors, soyez bon tireur !!!
Assurez-vous que vous montez bien dans votre propre voiture et non dans celle du voisin. Soyez rassurés, avec des pintes de bière, tout rentre dans l’ordre. Si vous promenez le chien d’une amie, surtout tenez-le bien en laisse, sinon, vous vous retrouvez, bien vivant, avec un apprenti sauveteur en mer qui vous fera du bouche à bouche (celle-ci vaut son pesant de cacahuètes, mais les Kangourous mangent-ils des arachides ?)
Toutes les nouvelles tombent dans l’ironie, la dérision. L’auteur a une vie aussi burlesque que son imagination ou l’inverse. Kenneth Cook nous assure que ces nouvelles sont vraies, mais… bon je n’y crois pas trop. En fait, cela n’a aucune importance.
Lecture détente que ce livre. Je vous conseille toutefois de déguster les nouvelles une à une et de ne pas dévorer le livre en une seule bouchée : ce serait l’indigestion assurée et des cauchemars avec lézards assurés et risque de retours de boomerang !
Assurez-vous que vous montez bien dans votre propre voiture et non dans celle du voisin. Soyez rassurés, avec des pintes de bière, tout rentre dans l’ordre. Si vous promenez le chien d’une amie, surtout tenez-le bien en laisse, sinon, vous vous retrouvez, bien vivant, avec un apprenti sauveteur en mer qui vous fera du bouche à bouche (celle-ci vaut son pesant de cacahuètes, mais les Kangourous mangent-ils des arachides ?)
Toutes les nouvelles tombent dans l’ironie, la dérision. L’auteur a une vie aussi burlesque que son imagination ou l’inverse. Kenneth Cook nous assure que ces nouvelles sont vraies, mais… bon je n’y crois pas trop. En fait, cela n’a aucune importance.
Lecture détente que ce livre. Je vous conseille toutefois de déguster les nouvelles une à une et de ne pas dévorer le livre en une seule bouchée : ce serait l’indigestion assurée et des cauchemars avec lézards assurés et risque de retours de boomerang !
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