[McCoy, Sarah] Un goût de cannelle et d'espoir
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Re: [McCoy, Sarah] Un goût de cannelle et d'espoir
Je suis embêtante mais tu voulais dire quoi en fait? Tu en as détesté certains?Nisa a écrit:Je me suis attachée aux personnages, j'en ai détesté chacun?.
_________________
Lecture en cours : "La sage-femme d'Auschwitz" Anna Stuart
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plume44- Grand expert du forum
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Re: [McCoy, Sarah] Un goût de cannelle et d'espoir
Oui c'est ça, je me suis mal relueplume44 a écrit:Je suis embêtante mais tu voulais dire quoi en fait? Tu en as détesté certains?Nisa a écrit:Je me suis attachée aux personnages, j'en ai détesté chacun?.
J'ai modifié
Re: [McCoy, Sarah] Un goût de cannelle et d'espoir
Livre lu dans le cadre du challenge PartageLecture.
Ce livre nous raconte la vie d’une jeune fille allemande pendant la seconde guerre mondiale. Nous revivons donc cette période douloureuse du côté « ennemi ».
C’est livre nous permet de nous rendre compte que la vie de l’autre côté du Rhin n’était guère mieux qu’en France. On découvre aussi le patriotisme des Allemands.
Elsie est une toute jeune fille lors que la guerre éclate, elle vit avec ces parents qui tiennent une boulangerie. Elle va découvrir les horreurs de la guerre, l’extermination des juifs …
Un très beau roman. J’ai beaucoup apprécié
Ce livre nous raconte la vie d’une jeune fille allemande pendant la seconde guerre mondiale. Nous revivons donc cette période douloureuse du côté « ennemi ».
C’est livre nous permet de nous rendre compte que la vie de l’autre côté du Rhin n’était guère mieux qu’en France. On découvre aussi le patriotisme des Allemands.
Elsie est une toute jeune fille lors que la guerre éclate, elle vit avec ces parents qui tiennent une boulangerie. Elle va découvrir les horreurs de la guerre, l’extermination des juifs …
Un très beau roman. J’ai beaucoup apprécié
Invité- Invité
Re: [McCoy, Sarah] Un goût de cannelle et d'espoir
Je l'avazis depuis un bon moment celui-là mais le titre "sirupeux" racoleur me génait. La critique de Step donnait pourtant envie et venait appuyer la quatrième de couverture
J'ai fini par le commencer ... et je ne l'ai lâché qu'à la fin
Vous l'aurez compris c'est un coup de cœur pour cette pépite d'humanité. C'est écrit sans artifices ni effets d'écriture. C'est plein d'humanité et d'intelligence et les personnages bien campés ne sont pas manichéens comme souvent dans les romans traitant de cette époque.
Il y a du sucre bien sûr mais uniquement dans les pâtisseries de la famille Schmidt et en aucun cas dans l'écriture de ce livre.
Une nouvelle fois l'éditeur a travesti l'intention de l'auteure en nous servant un titre "bricolé". "The baker's daughter", titre original, est parfait dans sa traduction française: "la fille du boulanger". Il aurait parfaitement reflété la simplicité, l'humanité ordinaire mais magnifique de l'histoire.
09/10 et un vrai coup de coeur
J'ai fini par le commencer ... et je ne l'ai lâché qu'à la fin
Vous l'aurez compris c'est un coup de cœur pour cette pépite d'humanité. C'est écrit sans artifices ni effets d'écriture. C'est plein d'humanité et d'intelligence et les personnages bien campés ne sont pas manichéens comme souvent dans les romans traitant de cette époque.
Il y a du sucre bien sûr mais uniquement dans les pâtisseries de la famille Schmidt et en aucun cas dans l'écriture de ce livre.
Une nouvelle fois l'éditeur a travesti l'intention de l'auteure en nous servant un titre "bricolé". "The baker's daughter", titre original, est parfait dans sa traduction française: "la fille du boulanger". Il aurait parfaitement reflété la simplicité, l'humanité ordinaire mais magnifique de l'histoire.
09/10 et un vrai coup de coeur
Crockyx- Grand expert du forum
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Re: [McCoy, Sarah] Un goût de cannelle et d'espoir
Mais "La fille du boulanger" est déjà pris, Crockyx...
Pistou 117- Grand sage du forum
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Re: [McCoy, Sarah] Un goût de cannelle et d'espoir
Oui et même deux fois en édition française (je viens de chercher...). Je me suis arrêté à cinq pour les éditions anglophones ...
Ceci dit le choix effectué ne me paraît pas à la hauteur de ce très beau roman
Ceci dit le choix effectué ne me paraît pas à la hauteur de ce très beau roman
Dernière édition par Crockyx le Dim 19 Juin - 8:01, édité 1 fois
Crockyx- Grand expert du forum
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Re: [McCoy, Sarah] Un goût de cannelle et d'espoir
Ce qui est certain, c'est qu'il ne reflète pas même l'ombre de l'ombre du titre original...
Pistou 117- Grand sage du forum
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Re: [McCoy, Sarah] Un goût de cannelle et d'espoir
Mon avis : J'ai lu ce livre dans le cadre de mon challenge partage lecture 2016/2017. J'en avais beaucoup entendue parlé, le sujet abordé m’intéresse particulièrement mais il y a aussi ce titre, si original, si gourmand...
Une boulangerie qui, malgré la guerre, malgré la peur et les restrictions continuent de fabriquer du pain et de délicieuses pâtisseries. Délicieuse ? Comment je peux le savoir ? C'est n'est qu'un livre, ce ne sont que des mots... Pourtant je les ai vu ces gâteaux. J'ai senti leur parfum délicat. Et attention ! Je les ai même goûté, croquer, déguster. Impressionnant n'est ce pas ? C'est fou ce que l'on peut faire ressentir et faire vivre avec simplement un assemblage de lettres. Quand on lit ce roman, on prend des kilos rien qu'en imaginant ces petits pains sucrés à la cannelle... On ne fait pas que les regarder, bien sur, la tentation est bien trop forte...
Il n'est pas uniquement question de pâtisserie et de sucrerie dans ce roman. L’atmosphère que dégage cette petite boulangerie allemande s'oppose au climat de guerre, de souffrance et de terreur dans lequel celle-ci tente de survivre. Comme la majorité des allemands, les propriétaires de la boulangerie adhère à l'idéologie nazi. Comment est ce possible ? Ce sont pourtant des gens simples et généreux pourvu d'aucune haine ou de cruauté. Alors pourquoi ? Par patriotisme, pour voir leur pays plus fort et avoir une vie meilleure, plus sécurisante. Une fois de plus, ce roman nous montre à quelle point la manipulation et l'embrigadement du régime nazi était importante. Mais il y a cet enfant, qui demande de l'aide et qui inconsciemment va détruire l’insouciance de la jeune Elsie. On fait constamment des allés retours dans le passé et dans le présent, tantôt au côté de la famille Schmidt et leur attachante fille, tantôt dans le présent en compagnie de Reba. J'ai moins aimé la partie « présent » que j'ai trouvé beaucoup moins intéressante que la partie « passé » par rapport aux personnages. Le personnage de Reba ne m'a pas beaucoup plus et j'ai trouvé dommage qu'elle ne se passionne pas plus pour l'histoire d'Elsie. En revanche, j'ai admiré la force de caractère de celle ci ainsi que son courage. L'évolution de sa pensée est très intéressante.
C'est un petit coup de cœur que j'ai pour les magnifiques valeurs que ce roman communique et surtout pour les délicieuses odeurs qui s'en échappent... On referme le livre sur un carnet de recette allemande, à expérimenter, qui nous laisse un petit goût sucré dans la bouche et le sourire au lèvres... Un livre qui fait du bien, malgré la dureté du thème traité, et que je recommande vivement !
Une boulangerie qui, malgré la guerre, malgré la peur et les restrictions continuent de fabriquer du pain et de délicieuses pâtisseries. Délicieuse ? Comment je peux le savoir ? C'est n'est qu'un livre, ce ne sont que des mots... Pourtant je les ai vu ces gâteaux. J'ai senti leur parfum délicat. Et attention ! Je les ai même goûté, croquer, déguster. Impressionnant n'est ce pas ? C'est fou ce que l'on peut faire ressentir et faire vivre avec simplement un assemblage de lettres. Quand on lit ce roman, on prend des kilos rien qu'en imaginant ces petits pains sucrés à la cannelle... On ne fait pas que les regarder, bien sur, la tentation est bien trop forte...
Il n'est pas uniquement question de pâtisserie et de sucrerie dans ce roman. L’atmosphère que dégage cette petite boulangerie allemande s'oppose au climat de guerre, de souffrance et de terreur dans lequel celle-ci tente de survivre. Comme la majorité des allemands, les propriétaires de la boulangerie adhère à l'idéologie nazi. Comment est ce possible ? Ce sont pourtant des gens simples et généreux pourvu d'aucune haine ou de cruauté. Alors pourquoi ? Par patriotisme, pour voir leur pays plus fort et avoir une vie meilleure, plus sécurisante. Une fois de plus, ce roman nous montre à quelle point la manipulation et l'embrigadement du régime nazi était importante. Mais il y a cet enfant, qui demande de l'aide et qui inconsciemment va détruire l’insouciance de la jeune Elsie. On fait constamment des allés retours dans le passé et dans le présent, tantôt au côté de la famille Schmidt et leur attachante fille, tantôt dans le présent en compagnie de Reba. J'ai moins aimé la partie « présent » que j'ai trouvé beaucoup moins intéressante que la partie « passé » par rapport aux personnages. Le personnage de Reba ne m'a pas beaucoup plus et j'ai trouvé dommage qu'elle ne se passionne pas plus pour l'histoire d'Elsie. En revanche, j'ai admiré la force de caractère de celle ci ainsi que son courage. L'évolution de sa pensée est très intéressante.
C'est un petit coup de cœur que j'ai pour les magnifiques valeurs que ce roman communique et surtout pour les délicieuses odeurs qui s'en échappent... On referme le livre sur un carnet de recette allemande, à expérimenter, qui nous laisse un petit goût sucré dans la bouche et le sourire au lèvres... Un livre qui fait du bien, malgré la dureté du thème traité, et que je recommande vivement !
nouka2000- Grand expert du forum
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Re: [McCoy, Sarah] Un goût de cannelle et d'espoir
Merci Nouka, ta très belle chronique me donne l'envie de lire ce roman
lalyre- Grand sage du forum
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Re: [McCoy, Sarah] Un goût de cannelle et d'espoir
Mon ressenti
Que faire face à l’innommable ? Quel choix faire sans se mettre en danger ou pire sans mettre les autres en danger ? Elsie n’a pas eu à se poser la question longtemps, les réponses l’ont poursuivi longtemps.
Apaisée aujourd’hui, certainement, c’est au travers de sa philosophie de la vie et de son art de la pâtisserie, de sa joie de vie, qu’elle raconte son histoire. En parallèle, sa fille et une journaliste vont grandir et se nourrir pour faire leurs propres choix de vie.
Un livre qui sent bon la cannelle et qui donne envie de réaliser toutes ces merveilleuses recettes de gâteaux. Il ne faut pas se priver, Elsie nous donne ses recettes à la fin de son histoire.
Un livre qui fait du bien sur la convivialité, le respect de l’autre, le partage, la gentillesse et la rencontre à l’autre. Un lieu chaleureux où tout un chacun est le bienvenu.
Une chose quand même à signaler, pour une fois, la guerre est vue du côté allemand, d’une famille allemande qui vit la guerre au travers de ses hommes qui partent au combat, des informations et de la propagande transmise à la radio. Ils vont petit à petit découvrir l’horrible vérité…
Un coup de cœur
Je vous invite à le lire
Pinky- Grand sage du forum
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Emploi/loisirs : Educatrice spécialisée, peinture, dessin, bricolage, ballade, baignade, tricot, couture
Genre littéraire préféré : Je lis de tout en littérature mais j'ai beaucoup de mal avec les policiers... j'en lis 1 ou 2 dans l
Date d'inscription : 04/06/2008
Re: [McCoy, Sarah] Un goût de cannelle et d'espoir
découverte du challenge PL 2016/2017 et une lecture que j'ai beaucoup appréciée.
Reba est journaliste : elle est un peu perdue dans sa vie et dans son couple, et doit écrire un article pour son journal sur Elsie Schmidt qui tient la seule boulangerie allemande d'El Paso, Texas.Elle rencontre Elsie et sa fille, se lie d'amitié avec elles et déroule peu à peu les fils de la vie mouvementée d'Elsie en Allemagne. Car cette dernière vient d'un petit village allemand et travaillait à la boulangerie familiale sous le régime nazi. Ses parents, modestes travailleurs, soutenaient comme tous les allemands, le fuhrer. Aussi, au fil des pages, on ressent toute la complexité de la vie à cette époque et on découvre les choix difficiles qu'aura à faire Elsie.
Je lis difficilement des ouvrages sur la seconde guerre mondiale et pourtant j'ai aimé ce point de vue différent adopté par l'auteur : celui de ces allemands, patriotes, qui peu à peu prennent conscience de la violence nazie, du rationnement, des voisins qui disparaissent ; celui de ces travailleurs qui mettent un point d'honneur à continuer chaque jour la fabrication du pain et des petits gâteaux, par tous les moyens, comme une façon de conserver une certaine normalité. J'ai adoré l'amour et la beauté de ce travail, les odeurs qui s'en dégagent. J'ai été enfin très touchée par l'amour entre les membres de cette famille, que ce soit les parents, les filles Elsie et sa soeur Hazel, partie rejoindre un Lebensborn pour perpétuer la race aryenne et pour laquelle toute la famille vit au rythme erratique des lettres reçues.
Si j'ai été nettement moins emballée par le personnage de Reba, j'ai beaucoup aimé cette femme forte qu'est Elsie Schmidt, l'amour avec lequel elle perpétue le travail de la pâte. Une belle histoire, bien écrite et touchante, que je recommande donc vivement.
Ma note : 9/10.
Reba est journaliste : elle est un peu perdue dans sa vie et dans son couple, et doit écrire un article pour son journal sur Elsie Schmidt qui tient la seule boulangerie allemande d'El Paso, Texas.Elle rencontre Elsie et sa fille, se lie d'amitié avec elles et déroule peu à peu les fils de la vie mouvementée d'Elsie en Allemagne. Car cette dernière vient d'un petit village allemand et travaillait à la boulangerie familiale sous le régime nazi. Ses parents, modestes travailleurs, soutenaient comme tous les allemands, le fuhrer. Aussi, au fil des pages, on ressent toute la complexité de la vie à cette époque et on découvre les choix difficiles qu'aura à faire Elsie.
Je lis difficilement des ouvrages sur la seconde guerre mondiale et pourtant j'ai aimé ce point de vue différent adopté par l'auteur : celui de ces allemands, patriotes, qui peu à peu prennent conscience de la violence nazie, du rationnement, des voisins qui disparaissent ; celui de ces travailleurs qui mettent un point d'honneur à continuer chaque jour la fabrication du pain et des petits gâteaux, par tous les moyens, comme une façon de conserver une certaine normalité. J'ai adoré l'amour et la beauté de ce travail, les odeurs qui s'en dégagent. J'ai été enfin très touchée par l'amour entre les membres de cette famille, que ce soit les parents, les filles Elsie et sa soeur Hazel, partie rejoindre un Lebensborn pour perpétuer la race aryenne et pour laquelle toute la famille vit au rythme erratique des lettres reçues.
Si j'ai été nettement moins emballée par le personnage de Reba, j'ai beaucoup aimé cette femme forte qu'est Elsie Schmidt, l'amour avec lequel elle perpétue le travail de la pâte. Une belle histoire, bien écrite et touchante, que je recommande donc vivement.
Ma note : 9/10.
Dernière édition par Fleya le Sam 21 Jan - 9:52, édité 1 fois
Fleya- Grand expert du forum
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Re: [McCoy, Sarah] Un goût de cannelle et d'espoir
J'ai lu vos critiques et comme j'aime les romans sur guerre, j'ai tres envie de lire ce livre.
Invité- Invité
Re: [McCoy, Sarah] Un goût de cannelle et d'espoir
Le titre de ce roman a la saveur des desserts de notre enfance, des tartes aux pommes, des pommes au four, auxquels on ajoute une pincée de cannelle. L’espoir aussi appartient à notre jeunesse, à nos désirs de grandir.
C’est pourtant dans l’Allemagne du führer que commance cette histoire, dans une petite boulangerie qui n’a de nazi que l’époque. Elsie sait très tôt qu’elle veut devenir boulangère.
Nous vivons à ses côtés les drames, mais aussi les joies d’une jeunesse que la politique intéresse peu.
C’est pendant deux époques que nous suivons Elsie, pendant la guerre, en Allemagne, puis plus tard, alors qu’elle a déjà immigré aux États-Unis et créé une boulangerie, utilisant les recettes de son père.
Elle se cherche cette jeunesse allemande, et parfois se sacrifie sans même bien comprendre pourquoi.
C’est le cas de le dire, j’ai dégusté ce roman. Parfois un sourire, un bonheur, parfois une larme, une tristesse, un malheur.
Les lectures de Joëlle.
C’est pourtant dans l’Allemagne du führer que commance cette histoire, dans une petite boulangerie qui n’a de nazi que l’époque. Elsie sait très tôt qu’elle veut devenir boulangère.
Nous vivons à ses côtés les drames, mais aussi les joies d’une jeunesse que la politique intéresse peu.
C’est pendant deux époques que nous suivons Elsie, pendant la guerre, en Allemagne, puis plus tard, alors qu’elle a déjà immigré aux États-Unis et créé une boulangerie, utilisant les recettes de son père.
Elle se cherche cette jeunesse allemande, et parfois se sacrifie sans même bien comprendre pourquoi.
C’est le cas de le dire, j’ai dégusté ce roman. Parfois un sourire, un bonheur, parfois une larme, une tristesse, un malheur.
Les lectures de Joëlle.
joëlle- Modérateur
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