[Connelly, Michael] Harry Bosh - Tome 5 : Le cadavre dans la rolls
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[Connelly, Michael] Harry Bosh - Tome 5 : Le cadavre dans la rolls
Auteur: Michael Connelly
Année de parution:1998
ISBN-10: 2757843249
ISBN-13: 978-2757843246
Editions Points
Nombres de pages: 493
Note de l'éditeur: Un producteur véreux est retrouvé mort dans le coffre d'une Rolls. La veuve semble indifférente à la nouvelle et la mafia constitue un coupable un peu trop évident. Et si des policiers haut placés étaient impliqués ? De Los Angeles à Las Vegas, personne ne semble pressé d'aider Harry Bosch dans son enquête....
Mon avis:
Un bon polar comme je les aime, avec ce qu'il faut de suspense, Harry Bosh se démène comme d'habitude, heureux de reprendre du service et ce cadavre dans cette voiture abandonnée est une véritable aubaine pour notre héros border-line, il a des ennuis bien sur, mais pas de peines de cœur, juste la police des polices, ce qui est normal!
L'auteur nous promène tout au long du récit et on comprend dans les dernières pages après avoir cru comprendre bien souvent!
La veuve est belle et glaciale, la mafia est partout, les policiers sont véreux (enfin pas tous!) mais on est à Los Angeles et Las Végas, on fait des aller-retours très agréables, et Harry bouclera rondement son enquête.
Ce n'est peut-être pas son meilleur livre, c'est ce qui se dit, mais moi j'ai bien aimé, sortir des policiers avec tortures fait du bien au moral!!!
Je vote 7/10 apprécié
Année de parution:1998
ISBN-10: 2757843249
ISBN-13: 978-2757843246
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Nombres de pages: 493
Note de l'éditeur: Un producteur véreux est retrouvé mort dans le coffre d'une Rolls. La veuve semble indifférente à la nouvelle et la mafia constitue un coupable un peu trop évident. Et si des policiers haut placés étaient impliqués ? De Los Angeles à Las Vegas, personne ne semble pressé d'aider Harry Bosch dans son enquête....
Mon avis:
Un bon polar comme je les aime, avec ce qu'il faut de suspense, Harry Bosh se démène comme d'habitude, heureux de reprendre du service et ce cadavre dans cette voiture abandonnée est une véritable aubaine pour notre héros border-line, il a des ennuis bien sur, mais pas de peines de cœur, juste la police des polices, ce qui est normal!
L'auteur nous promène tout au long du récit et on comprend dans les dernières pages après avoir cru comprendre bien souvent!
La veuve est belle et glaciale, la mafia est partout, les policiers sont véreux (enfin pas tous!) mais on est à Los Angeles et Las Végas, on fait des aller-retours très agréables, et Harry bouclera rondement son enquête.
Ce n'est peut-être pas son meilleur livre, c'est ce qui se dit, mais moi j'ai bien aimé, sortir des policiers avec tortures fait du bien au moral!!!
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Une toute petite minute de Laurence Peyrin en cours ...
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Nombre de messages : 11339
Localisation : France
Emploi/loisirs : Lecture, cinéma, animaux, ....
Genre littéraire préféré : Romans contemporains ou non, policiers/thrillers, un peu tout. Pas de BD
Date d'inscription : 12/04/2012
Re: [Connelly, Michael] Harry Bosh - Tome 5 : Le cadavre dans la rolls
J'avais beaucoup aimé aussi.....
Invité- Invité
Re: [Connelly, Michael] Harry Bosh - Tome 5 : Le cadavre dans la rolls
Brigit d'être passée!
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Re: [Connelly, Michael] Harry Bosh - Tome 5 : Le cadavre dans la rolls
Mon avis :
Il est des gens qui sont peu soigneux. Si, si, je vous assure. Laisser un cadavre dans le coffre d’une rolls, tout près d’un lieu où se déroule un concert classique, c’est vraiment du grand n’importe quoi. Heureusement, un policier passait par là, a eu des doutes, et a ouvert le coffre. Il a un peu salopé la scène de crime, ce que ne manquera pas de lui dire le chef des enquêteurs dépêché sur les lieux, un certain Harry Bosch. Entre deux réorganisations de la police, le voici à la tête d’un groupe comportant deux autres enquêteurs, parce qu’il est le plus gradé. Il s’entend bien avec eux, il apprécie sa nouvelle chef, bref, tout pourrait aller pour le mieux, si cette enquête ne l’emmenait sur des chemins de traverse.
En effet, la victime semble liée à la mafia locale. Le groupe d’enquêteurs qui s’occupe de ce genre d’affaires la refuse pourtant, arguant l’absence de lien entre le producteur pas très doué et la mafia. Cela ne les empêche bizarrement pas de se renseigner sur le développement de l’enquête, cherchant des informations par-ci, par-là. Vous avez dit bizarre ? Vous avez parfaitement raison.
Harry et les siens enquêtent. Ils constatent que la veuve est indifférente au sort de son mari, qui était passé à autre chose depuis des années. On s’habitue à vivre dans le luxe, dans une résidence qui n’est pas une prison dorée, plutôt une solitude dorée et sécurisée. Ils cherchent dans le passé proche de la victime, ils s’appuient aussi sur le rapport d’autopsie, sur les résultats d’analyse, qui prennent du temps. Oui, vingt-sept meurtres ont eu lieu le même week-end à L.A. donc si tu veux ton rapport d’autopsie et des analyses, tu fais comme tout le monde, tu attends ton tour ! Les services sont débordés et font de leur mieux.
En revanche, il est des personnes qui ont tout sauf envie que les choses avancent. Et si j’ai parlé de l’OCID plus haut, il est d’autres services qui n’ont pas envie de dire tout ce qu’ils font. La communication ? Ce n’est pas forcément ce qui domine entre les services. Puis, Harry va voir quelqu’un issu de son passé ressurgir devant lui. Cela entravera-t-il l’enquête ? Peut-être.
Sérieux, solide, bien construit, Un cadavre dans la rolls est un modèle dans la manière dont les interrogatoires sont menés – interroger ne veut pas dire torturer, ou jouer avec les droits des personnes interrogées. La ligne est fine, parfois, et Harry Bosch ne la franchit pas. Oui, lire des policiers classiques, des policiers qui pourraient aussi ne pas s’en sortir indemnes, cela fait du bien aussi.
Il est des gens qui sont peu soigneux. Si, si, je vous assure. Laisser un cadavre dans le coffre d’une rolls, tout près d’un lieu où se déroule un concert classique, c’est vraiment du grand n’importe quoi. Heureusement, un policier passait par là, a eu des doutes, et a ouvert le coffre. Il a un peu salopé la scène de crime, ce que ne manquera pas de lui dire le chef des enquêteurs dépêché sur les lieux, un certain Harry Bosch. Entre deux réorganisations de la police, le voici à la tête d’un groupe comportant deux autres enquêteurs, parce qu’il est le plus gradé. Il s’entend bien avec eux, il apprécie sa nouvelle chef, bref, tout pourrait aller pour le mieux, si cette enquête ne l’emmenait sur des chemins de traverse.
En effet, la victime semble liée à la mafia locale. Le groupe d’enquêteurs qui s’occupe de ce genre d’affaires la refuse pourtant, arguant l’absence de lien entre le producteur pas très doué et la mafia. Cela ne les empêche bizarrement pas de se renseigner sur le développement de l’enquête, cherchant des informations par-ci, par-là. Vous avez dit bizarre ? Vous avez parfaitement raison.
Harry et les siens enquêtent. Ils constatent que la veuve est indifférente au sort de son mari, qui était passé à autre chose depuis des années. On s’habitue à vivre dans le luxe, dans une résidence qui n’est pas une prison dorée, plutôt une solitude dorée et sécurisée. Ils cherchent dans le passé proche de la victime, ils s’appuient aussi sur le rapport d’autopsie, sur les résultats d’analyse, qui prennent du temps. Oui, vingt-sept meurtres ont eu lieu le même week-end à L.A. donc si tu veux ton rapport d’autopsie et des analyses, tu fais comme tout le monde, tu attends ton tour ! Les services sont débordés et font de leur mieux.
En revanche, il est des personnes qui ont tout sauf envie que les choses avancent. Et si j’ai parlé de l’OCID plus haut, il est d’autres services qui n’ont pas envie de dire tout ce qu’ils font. La communication ? Ce n’est pas forcément ce qui domine entre les services. Puis, Harry va voir quelqu’un issu de son passé ressurgir devant lui. Cela entravera-t-il l’enquête ? Peut-être.
Sérieux, solide, bien construit, Un cadavre dans la rolls est un modèle dans la manière dont les interrogatoires sont menés – interroger ne veut pas dire torturer, ou jouer avec les droits des personnes interrogées. La ligne est fine, parfois, et Harry Bosch ne la franchit pas. Oui, lire des policiers classiques, des policiers qui pourraient aussi ne pas s’en sortir indemnes, cela fait du bien aussi.
Sharon- Modérateur
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