[Nooteboom, Cees] l'histoire suivante
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[Nooteboom, Cees] l'histoire suivante
L'HISTOIRE SUIVANTE
Roman édité chez Acte sud en août 1993
140 pages
Résumé
Misanthrope de pure race, myope légendaire, roué compilateur de guides touristiques, mais apôtre intransigeant d'Ovide et de l'hexamètre latin, l'ex-professeur Herman Mussert s'éveille un beau jour avec la sensation... de n'être plus. Et comme s'il lui était permis de retourner une dernière fois le sablier du temps, le voilà qui s'interroge sur son aventure, et nous confesse à quelles amours défuntes l'a conduit son goût immodéré pour les langues mortes. Sous nos yeux débute alors son ultime voyage... C'est avec une gaieté irrésistible que Cees Nooteboom appareille pour l'au-delà, en compagnie de ce nouveau Socrate qui, enfin, se voit mourir de sa belle mort. Sur l'éternelle sagesse des Métamorphoses, sur les mystères cosmiques ou les éblouissements métaphysiques, le romancier improvise une méditation au ton inimitable.
Mon ressenti
Herbert Mussert est un professeur de langue morte comme on dit qui se prépare à faire son dernier voyage, un peu comme la traversée du Styx. C’est au travers de ses souvenirs, de ses rencontres et de passage dans la capitale de Lisbonne, qu’il nous amène à réfléchir sur les grandes questions de la vie, sur l’amour des étoiles, des textes, et de l’amour tout court…
Ses pensées l’entraînent dans la capitale où il a laissé l’amour lui filer entre les doigts.
Un petit texte qui se lit rapidement et qui se déguste à plusieurs niveaux, à relire sans modération…
A découvrir
Roman édité chez Acte sud en août 1993
140 pages
Résumé
Misanthrope de pure race, myope légendaire, roué compilateur de guides touristiques, mais apôtre intransigeant d'Ovide et de l'hexamètre latin, l'ex-professeur Herman Mussert s'éveille un beau jour avec la sensation... de n'être plus. Et comme s'il lui était permis de retourner une dernière fois le sablier du temps, le voilà qui s'interroge sur son aventure, et nous confesse à quelles amours défuntes l'a conduit son goût immodéré pour les langues mortes. Sous nos yeux débute alors son ultime voyage... C'est avec une gaieté irrésistible que Cees Nooteboom appareille pour l'au-delà, en compagnie de ce nouveau Socrate qui, enfin, se voit mourir de sa belle mort. Sur l'éternelle sagesse des Métamorphoses, sur les mystères cosmiques ou les éblouissements métaphysiques, le romancier improvise une méditation au ton inimitable.
Mon ressenti
Herbert Mussert est un professeur de langue morte comme on dit qui se prépare à faire son dernier voyage, un peu comme la traversée du Styx. C’est au travers de ses souvenirs, de ses rencontres et de passage dans la capitale de Lisbonne, qu’il nous amène à réfléchir sur les grandes questions de la vie, sur l’amour des étoiles, des textes, et de l’amour tout court…
Ses pensées l’entraînent dans la capitale où il a laissé l’amour lui filer entre les doigts.
Un petit texte qui se lit rapidement et qui se déguste à plusieurs niveaux, à relire sans modération…
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Pinky- Grand sage du forum
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Age : 61
Localisation : Les Sables d'Olonne (85)
Emploi/loisirs : Educatrice spécialisée, peinture, dessin, bricolage, ballade, baignade, tricot, couture
Genre littéraire préféré : Je lis de tout en littérature mais j'ai beaucoup de mal avec les policiers... j'en lis 1 ou 2 dans l
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