[Jackson, Lisa] Ce que cachent les murs

Jackson Lisa - Ce que cachent les murs
Harper Collins (2017) – 608 pages
Lu en version numérique

Quatrième de couverture : Depuis le meurtre tragique de son père, Julia Farentino s’est juré de veiller sur sa jeune demi-sœur, Shaylee. Celle-ci, enfermée dans une spirale autodestructrice, vient d’intégrer un pensionnat pour adolescents difficiles. Mais cet établissement a des méthodes controversées et les bruits alarmants qui courent sur la disparition d’une des internes inquiètent Julia. Aussi, quand Shaylee l’appelle à l’aide, convaincue d’être en danger, se fait-elle engager comme enseignante à Blue Rock. A peine arrivée, elle apprend qu’une élève vient d’être retrouvée morte.
Tandis que la menace se précise – et que personne ne semble vouloir l’affronter – une violente tempête de neige s’abat sur la région, isolant l’Academy du reste du monde…

L’auteur : Lisa Jackson, née en 1952, est américaine. Elle écrit des thrillers romantiques ou des romans historico-romantiques. Elle a obtenu le prix « Reviewer's Choice Award » pour son roman : Un danger dans la nuit (2001).

Julia est une jeune femme fraichement divorcée. Elle est serveuse en attendant de trouver un emploi dans l’enseignement. Elle a été traumatisée par la mort tragique de son père. Quand sa jeune sœur, Shaylee, est envoyée en pension dans un institut pour jeune délinquant, Julia a un mauvais pressentiment et décide de tout mettre en œuvre pour la faire sortir. Elle s’y fait engagée comme enseignante pour enquêter sur le fonctionnement controversé de l’établissement. Sur place, elle a la surprise de retrouver son premier amour…

En ouvrant ce livre, je pensais lire un thriller, je n’avais pas noté que l’auteure était très portée sur le côté romantique de ses histoires.

J’ai beaucoup apprécié : le côté huis clos, rendu encore plus glaçant par la tempête de neige ; le récit mené par plusieurs personnes (dont le psychopathe qui rode…) ; et la fin : la découverte du tueur !

Malheureusement j’ai été très désappointé par de multiples répétitions, et du bavardage, du verbiage inutile.
Ce sera donc une lecture moyennement appréciée.