[Boileau-Narcejac] Le mauvais oeil / Au bois dormant
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[Boileau-Narcejac] Le mauvais oeil
[Boileau-Narcejac] Le mauvais oeil / Au bois dormant
Auteurs : "Boileau-Narcejac"
* Pierre Boileau : 1906-1989
* Pierre Ayraud dit Thomas Narcejac : 1908-1998
Titres :
Le mauvais œil
suivi de
Au bois dormant
Éditions Denoël, 1956
Collection : folio policier
ISBN : 978-2-07-045533
Nombre de pages : 263
Quatrième de couverture :
A la suite d'une chute, Rémy est resté paralysé. Puis soudain, miracle ; un jour, il se lève et décide de se rendre sur la tombe de sa mère. Mais au cimetière du Père-Lachaise, nulle trace d'elle dans le caveau familial. Le jeune homme comprend peu à peu qu'il a oublié de nombreux évènements depuis son accident et que son entourage ne lui a peut-être pas dit toute la vérité.
Mon avis :
Livre contenant deux nouvelles !
Première nouvelle : "Le mauvais œil"
C'est cette nouvelle qui est résumée dans le quatrième de couverture. C'est tout ce que vous en saurez car je n'en dirai pas plus vu que je n'ai pas du tout aimé et j'ai abandonné (abandonné avec plaisir et soulagement )
Habituellement, j'apprécie les livres de "Boileau-Narcejac" mais là, cette histoire de m'a pas intéressé du tout. Des personnages antipathiques et une intrigue qui ne m'a pas emballé.
Mon vote : "Pas terminé"
- 3/10 - (pour ce que j'en ai lu... environ, la moitié de la nouvelle)
Deuxième nouvelle : "Au bois dormant"
Excellent ! J'ai adoré !
L'histoire se déroule en Bretagne au début du 19ème siècle. Le Comte Pierre Aurélien de Muzillac du Quilly, nous raconte que enfant, pendant la révolution, il a quitté la France pour l’Angleterre avec sa mère. Ils ont été les seuls à se sauver car tous les autres sont passés par la guillotine et les biens de la famille ont été confisqué par les révolutionnaires. Sur son lit de mort, sa mère lui a fait promettre de récupérer le château familial en rentrant au pays.
Le problème, c'est que durant toutes ces longues années, le château de Muzillac a été acheté et vendu plusieurs fois et tous les propriétaires qui se sont succédé sont morts de manières étranges.
Avec l'aide du notaire, Monsieur le Comte propose aux actuels habitants de leurs racheter le château à un bon prix. Le père et la mère sont heureux de cette offre car ils ne se sentent pas à l'aise dans ce château mais leur fille au tempérament très mélancolique en est très peinée. Pendant les transactions, le Comte de Musillac a l'occasion de rencontrer Claire, la fille de l'actuel propriétaire et il en tombe amoureux.
Résidant à l'auberge du village, une nuit où il ne peut pas dormir, notre jeune Comte va roder autour du château de son enfance en espérant y apercevoir sa belle ou du moins aller soupirer sous sa fenêtre tel un Roméo. Quelle n'est pas sa terreur d'apercevoir dans une pièce éclairée, Claire, ainsi que son père et sa mère, morts tous les trois (déjà avec des mouches). Pour être sur qu'ils sont bien morts, il pique même la main du père avec l'aiguille de l'ouvrage que la mère a encore tout près d'elle. Ivre de terreur et de désespoir, il s'enfuit et se réfugie dans le bois où quelle n'est pas sa stupéfaction de voir un peu plus tard, le landau passer avec à son bord, Claire et ses parents "bien vivants"!
Le lendemain, est le jour où la transaction doit avoir lieu au château et il doit s'y rendre avec le notaire. Ne sachant que faire, il est désespéré.
Que doit-il faire ? Les actuels habitants du château, sont-ils vivants ou morts ? A-t-il rêvé tous les évènements de la nuit passée ? Est-il en train de devenir fou ?
Ayant peur qu'on l'accuse de meurtre, il préfère ne rien dire et faire comme si de rien n'était.
Arrivé sur place, quelle n'est pas sa stupéfaction de trouver Claire et ses parents en excellente forme.
Seul fait troublant, le père porte un pansement à la main, exactement à l'endroit où pendant la nuit, le Comte de Muzillac l'a piqué avec une aiguille afin de s'assurer qu'il était bien mort.
Je ne dévoilerai rien de plus de l'intrigue. Je vous laisse volontairement en plein suspense, c'est le but !
Contrairement à ce que l'on pourrait croire, ce n'est pas du fantastique mais un très bon suspense avec un complot diabolique mené de main de maître.
Mon vote : "Beaucoup apprécié"
- 9/10 -
(Dans ces cas là, le problème, c'est pour voter sur la fiche du livre sur le forum ?! Comment faire quand les nouvelles sont très inégales et qu'en plus, il y en a que deux ? ... l'une très aimée et l'autre détestée. On dirait même pas que ce sont les deux mêmes personnes qui en sont les auteurs)
* Pierre Boileau : 1906-1989
* Pierre Ayraud dit Thomas Narcejac : 1908-1998
Titres :
Le mauvais œil
suivi de
Au bois dormant
Éditions Denoël, 1956
Collection : folio policier
ISBN : 978-2-07-045533
Nombre de pages : 263
Quatrième de couverture :
A la suite d'une chute, Rémy est resté paralysé. Puis soudain, miracle ; un jour, il se lève et décide de se rendre sur la tombe de sa mère. Mais au cimetière du Père-Lachaise, nulle trace d'elle dans le caveau familial. Le jeune homme comprend peu à peu qu'il a oublié de nombreux évènements depuis son accident et que son entourage ne lui a peut-être pas dit toute la vérité.
Mon avis :
Livre contenant deux nouvelles !
Première nouvelle : "Le mauvais œil"
C'est cette nouvelle qui est résumée dans le quatrième de couverture. C'est tout ce que vous en saurez car je n'en dirai pas plus vu que je n'ai pas du tout aimé et j'ai abandonné (abandonné avec plaisir et soulagement )
Habituellement, j'apprécie les livres de "Boileau-Narcejac" mais là, cette histoire de m'a pas intéressé du tout. Des personnages antipathiques et une intrigue qui ne m'a pas emballé.
Mon vote : "Pas terminé"
- 3/10 - (pour ce que j'en ai lu... environ, la moitié de la nouvelle)
Deuxième nouvelle : "Au bois dormant"
Excellent ! J'ai adoré !
L'histoire se déroule en Bretagne au début du 19ème siècle. Le Comte Pierre Aurélien de Muzillac du Quilly, nous raconte que enfant, pendant la révolution, il a quitté la France pour l’Angleterre avec sa mère. Ils ont été les seuls à se sauver car tous les autres sont passés par la guillotine et les biens de la famille ont été confisqué par les révolutionnaires. Sur son lit de mort, sa mère lui a fait promettre de récupérer le château familial en rentrant au pays.
Le problème, c'est que durant toutes ces longues années, le château de Muzillac a été acheté et vendu plusieurs fois et tous les propriétaires qui se sont succédé sont morts de manières étranges.
Avec l'aide du notaire, Monsieur le Comte propose aux actuels habitants de leurs racheter le château à un bon prix. Le père et la mère sont heureux de cette offre car ils ne se sentent pas à l'aise dans ce château mais leur fille au tempérament très mélancolique en est très peinée. Pendant les transactions, le Comte de Musillac a l'occasion de rencontrer Claire, la fille de l'actuel propriétaire et il en tombe amoureux.
Résidant à l'auberge du village, une nuit où il ne peut pas dormir, notre jeune Comte va roder autour du château de son enfance en espérant y apercevoir sa belle ou du moins aller soupirer sous sa fenêtre tel un Roméo. Quelle n'est pas sa terreur d'apercevoir dans une pièce éclairée, Claire, ainsi que son père et sa mère, morts tous les trois (déjà avec des mouches). Pour être sur qu'ils sont bien morts, il pique même la main du père avec l'aiguille de l'ouvrage que la mère a encore tout près d'elle. Ivre de terreur et de désespoir, il s'enfuit et se réfugie dans le bois où quelle n'est pas sa stupéfaction de voir un peu plus tard, le landau passer avec à son bord, Claire et ses parents "bien vivants"!
Le lendemain, est le jour où la transaction doit avoir lieu au château et il doit s'y rendre avec le notaire. Ne sachant que faire, il est désespéré.
Que doit-il faire ? Les actuels habitants du château, sont-ils vivants ou morts ? A-t-il rêvé tous les évènements de la nuit passée ? Est-il en train de devenir fou ?
Ayant peur qu'on l'accuse de meurtre, il préfère ne rien dire et faire comme si de rien n'était.
Arrivé sur place, quelle n'est pas sa stupéfaction de trouver Claire et ses parents en excellente forme.
Seul fait troublant, le père porte un pansement à la main, exactement à l'endroit où pendant la nuit, le Comte de Muzillac l'a piqué avec une aiguille afin de s'assurer qu'il était bien mort.
Je ne dévoilerai rien de plus de l'intrigue. Je vous laisse volontairement en plein suspense, c'est le but !
Contrairement à ce que l'on pourrait croire, ce n'est pas du fantastique mais un très bon suspense avec un complot diabolique mené de main de maître.
Mon vote : "Beaucoup apprécié"
- 9/10 -
(Dans ces cas là, le problème, c'est pour voter sur la fiche du livre sur le forum ?! Comment faire quand les nouvelles sont très inégales et qu'en plus, il y en a que deux ? ... l'une très aimée et l'autre détestée. On dirait même pas que ce sont les deux mêmes personnes qui en sont les auteurs)
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