[Decoin, Didier] La dernière troïka
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[Decoin, Didier] La dernière troïka
Auteur : Didier DECOIN
Titre : La dernière Troïka
Editeur : Hachette
Date de parution : 1976
Présentation de l'éditeur :
"Sonia! Les porteurs de torches!... cria Volodia tout essoufflé. Ils vont au secours d'un homme perdu dans le marais!
- Dans la vase... la boue vivante qui avale..., murmura Sonia.
- II leur faut la troïka de ton père pour essayer de le tirer!"
Au village de Krassinograd, dès que le rescapé - Christopher, un jeune Anglais fortuné, qui voyage pour son plaisir - pénètre dans l'isba de Sonia, la petite paysanne russe, il y apporte le trouble et l'aventure.
Alentour, la Révolution d'Octobre se propage, s'embrase. Malgré eux, Christopher et Sonia affrontent ensemble la violence et les périls de la guerre civile. Un monde nouveau commence à naître : ils se découvrent en se découvrant eux-mêmes.
Un soir, en sautant dans le train de la dernière chance, bondé de fuyards et de blessés, Sonia retrouve Ivan son premier amour. Un ardent partisan.
Christopher... Ivan... Un autre drame commence.
Avis :
Pendant la révolution d'Octobre 1917 en Russie, alors que la guerre civile s'abat soudain sur la population des campagnes et des villes de province prises en tenaille par les combats, une jeune Russe est emportée dans la tourmente : tandis que son ami d'enfance se lance à la poursuite de son idéal révolutionnaire, la jeune fille assiste la fuite d'un riche Anglais égaré dans le secteur. Ecartelée entre l’amour des deux hommes, elle symbolise le dilemme d'un pays entier : l'héroïsme est-il de se battre pour des idées, ou de sauver ses proches ?
L'écriture et les images sont très belles, mais l'histoire, même si elle devient plus intéressante prise dans sa symbolique, m'a semblé laisser trop de place à la romance, trop sucrée à mon goût. Je suis ressortie mitigée de cette lecture. Ce n'est pas pour moi le meilleur ouvrage de Didier Decoin. (3/5)
Citations :
Les héros n'existent pas. Il y a seulement des gens qui croient très fort en certaines idées et qui sont incapables de vivre si on tente de les leur enlever.
Parfois, sur cette blancheur à l'infini, passait la ponctuation mouvante d'un oiseau, longue virgule noire dérapant sur la plaine, puis disparaissant comme effacée d'un coup de gomme.
Titre : La dernière Troïka
Editeur : Hachette
Date de parution : 1976
Présentation de l'éditeur :
"Sonia! Les porteurs de torches!... cria Volodia tout essoufflé. Ils vont au secours d'un homme perdu dans le marais!
- Dans la vase... la boue vivante qui avale..., murmura Sonia.
- II leur faut la troïka de ton père pour essayer de le tirer!"
Au village de Krassinograd, dès que le rescapé - Christopher, un jeune Anglais fortuné, qui voyage pour son plaisir - pénètre dans l'isba de Sonia, la petite paysanne russe, il y apporte le trouble et l'aventure.
Alentour, la Révolution d'Octobre se propage, s'embrase. Malgré eux, Christopher et Sonia affrontent ensemble la violence et les périls de la guerre civile. Un monde nouveau commence à naître : ils se découvrent en se découvrant eux-mêmes.
Un soir, en sautant dans le train de la dernière chance, bondé de fuyards et de blessés, Sonia retrouve Ivan son premier amour. Un ardent partisan.
Christopher... Ivan... Un autre drame commence.
Avis :
Pendant la révolution d'Octobre 1917 en Russie, alors que la guerre civile s'abat soudain sur la population des campagnes et des villes de province prises en tenaille par les combats, une jeune Russe est emportée dans la tourmente : tandis que son ami d'enfance se lance à la poursuite de son idéal révolutionnaire, la jeune fille assiste la fuite d'un riche Anglais égaré dans le secteur. Ecartelée entre l’amour des deux hommes, elle symbolise le dilemme d'un pays entier : l'héroïsme est-il de se battre pour des idées, ou de sauver ses proches ?
L'écriture et les images sont très belles, mais l'histoire, même si elle devient plus intéressante prise dans sa symbolique, m'a semblé laisser trop de place à la romance, trop sucrée à mon goût. Je suis ressortie mitigée de cette lecture. Ce n'est pas pour moi le meilleur ouvrage de Didier Decoin. (3/5)
Citations :
Les héros n'existent pas. Il y a seulement des gens qui croient très fort en certaines idées et qui sont incapables de vivre si on tente de les leur enlever.
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