[Rifka Brunt, Carol] Dites aux loups que je suis chez moi
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[Rifka Brunt, Carol] Dites aux loups que je suis chez moi
[Rifka Brunt, Carol] Dites aux loups que je suis chez moi
[Rifka Brunt, Carol]
Dites aux loups que je suis chez moi
Editions 10/18 novembre 2017
ISBN 978-2264067463
504 pages
Quatrième de couverture
Nous sommes au milieu des années 1980, aux États-Unis. June est une adolescente taciturne, écrasée par une sour aînée histrionique et des parents aussi absents qu'ennuyeux. Depuis sa banlieue triste du New Jersey, elle rêve d'art et de son oncle Finn, un peintre new-yorkais reconnu. Mais Finn est très affaibli et meurt bientôt de cette maladie qu'on n'évoque qu'à demi-mot, le sida. Inconsolable, la jeune fille se lie d'amitié avec un homme étrange, Toby, qui se présente comme l'ami de Finn. Confrontée à l'incompréhension de son entourage, et à la réalité d'une maladie encore honteuse, June va brusquement basculer dans le monde des adultes et son hypocrisie. Carol Rifka Brunt est née aux États-Unis et vit aujourd'hui en Grande-Bretagne. Dites aux loups que je suis chez moi est son premier roman.
Mon avis
J’ai trouvé ce roman lent à démarrer et cela durant les 100 premières pages, mais c’est alors qu’il est question d’un tableau peint par Finn, l’oncle de June et Greta, Toby est un ami caché dont June ignorait l’existence, car il faut aussi dire que le sida tient une grande place dans cette belle histoire et que dans les années 1980, le sida est encore méconnu et que les parents des adolescentes méprisaient Toby. Parce qu’ils l’estiment coupable d’avoir transmis le sida à Finn et qu’ils le jugent comme un assassin. C‘est lors de la mort de Finn que June férue du Moyen-^^Age, va apprendre à se découvrir et que le chagrin qu’elle éprouve va peu à peu lui faire connaître ce que fut la vie de son oncle et découvrir l’existence de Toby. Et voila, les personnages sont mis en place,je termine en parlant des personnages, mis à part les parents des deux filles, faisant passer leur travail avant l’éducation de leurs enfants, j’ai trouvé les autres personnages attachants bien que Greta la sœur aînée m’a parue impitoyable envers June, mais avançant dans ma lecture, je lui trouvé de bonnes raisons. C’est une très bon roman écrit tout en pudeur et simplicité, un roman touchant et émouvant, un roman sur la perte de l’innocence le passage à l’adolescence, l’amitié et l’amour, la peur de ce qu’on ne connaît pas, le sida et ses conséquences sans qu’il n’y ait aucune tristesse. Bref un roman intéressant….4,5/5
Dites aux loups que je suis chez moi
Editions 10/18 novembre 2017
ISBN 978-2264067463
504 pages
Quatrième de couverture
Nous sommes au milieu des années 1980, aux États-Unis. June est une adolescente taciturne, écrasée par une sour aînée histrionique et des parents aussi absents qu'ennuyeux. Depuis sa banlieue triste du New Jersey, elle rêve d'art et de son oncle Finn, un peintre new-yorkais reconnu. Mais Finn est très affaibli et meurt bientôt de cette maladie qu'on n'évoque qu'à demi-mot, le sida. Inconsolable, la jeune fille se lie d'amitié avec un homme étrange, Toby, qui se présente comme l'ami de Finn. Confrontée à l'incompréhension de son entourage, et à la réalité d'une maladie encore honteuse, June va brusquement basculer dans le monde des adultes et son hypocrisie. Carol Rifka Brunt est née aux États-Unis et vit aujourd'hui en Grande-Bretagne. Dites aux loups que je suis chez moi est son premier roman.
Mon avis
J’ai trouvé ce roman lent à démarrer et cela durant les 100 premières pages, mais c’est alors qu’il est question d’un tableau peint par Finn, l’oncle de June et Greta, Toby est un ami caché dont June ignorait l’existence, car il faut aussi dire que le sida tient une grande place dans cette belle histoire et que dans les années 1980, le sida est encore méconnu et que les parents des adolescentes méprisaient Toby. Parce qu’ils l’estiment coupable d’avoir transmis le sida à Finn et qu’ils le jugent comme un assassin. C‘est lors de la mort de Finn que June férue du Moyen-^^Age, va apprendre à se découvrir et que le chagrin qu’elle éprouve va peu à peu lui faire connaître ce que fut la vie de son oncle et découvrir l’existence de Toby. Et voila, les personnages sont mis en place,je termine en parlant des personnages, mis à part les parents des deux filles, faisant passer leur travail avant l’éducation de leurs enfants, j’ai trouvé les autres personnages attachants bien que Greta la sœur aînée m’a parue impitoyable envers June, mais avançant dans ma lecture, je lui trouvé de bonnes raisons. C’est une très bon roman écrit tout en pudeur et simplicité, un roman touchant et émouvant, un roman sur la perte de l’innocence le passage à l’adolescence, l’amitié et l’amour, la peur de ce qu’on ne connaît pas, le sida et ses conséquences sans qu’il n’y ait aucune tristesse. Bref un roman intéressant….4,5/5
lalyre- Grand sage du forum
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