[Haycox, Ernest] Les pionniers

[Haycox, Ernest]
Les pionniers
ISBN 9782330171612
583 pages



Présentation de l’éditeur
Ils viennent du Missouri et ont tout abandonné dans l'espoir de trouver une terre à des milliers de kilomètres de leurs foyers. Ils ont entassé leurs maigres possessions dans des chariots et traversent les grandes plaines, puis les montagnes Rocheuses où ils affrontent les rapides du fleuve Columbia.
Leur trajet ouvre la célèbre Piste de l'Oregon, qui sera plus tard empruntée par de nombreux migrants en route vers l'Ouest et la terre promise. C'est un voyage qui a tout d'une grandiose épopée, peuplé d'hommes et de femmes qui souffrent de la faim et du froid, qui connaissent la solidarité autant que les rivalités, qui cherchent l'amour aussi.
Lorsqu'ils parviennent enfin à destination, ils construisent des cabanes, labourent un sol jusque-là inexploré, et installent peu à peu les bases de ce qui deviendra plus tard une société civilisée, avec ses lois, ses règles et ses usages.


Mon avis
Je pense que j'ai assez vite été déçu!
C'est surement de ma faute de m'être trop projeté mais de la part d'un roman historique, j'attendais certainement plus de détails et d'avancement sur la création de cette Amérique dont la 4ème nous parlait.
Mais si je mets cela de côté, j'ai beaucoup apprécié ma lecture où l'on suit une caravane d'habitants durant leur migration dans le but de s'établir dans des terres nouvelles où ils deviendront alors des colons, voisins des indiens déjà présents.
Des noms reviendront tout au long de l'histoire afin de bien mettre en avant l'importance des liens qui lient ces familles, de la construction de leurs nouveaux habitats. Un endroit où ils devront labourer à nouveau la terre, construire et survivre.
Les notions politiques sont présentes mais très peu relevées.

Nous verrons le quotidien de cette population, des enfants, adultes et anciens. Leur vie qui les accompagne jusqu'à la mort de certains. Pour enfin décider de s'installer pour de bon et ne plus bouger de cette terre nouvelle.

Merci Loïc pour ta critique