[Cartland, Barbara] Un rossignol chantait
Page 1 sur 1
Votre avis sur "Un rossignol chantait" de Barbara Cartland
[Cartland, Barbara] Un rossignol chantait
Editions J'ai lu
158 pages
Quatrième de couverture:
Berkeley Square... un jardin aux parfums de lilas et de seringas, avec, blotti sous les cyprès, un petit temple de marbre blanc. C'est là, loin de la musique assourdissante de la salle de bal, qu'Aleta savoure la magie de cette nuit d'été au ciel piqueté d'étoiles, tandis que résonne le chant d'un rossignol...
C'est là que la rejoint un étranger qui dépose sur ses lèvres un baiser tendre et passionné. La pénombre dissimule son visage, mais Aleta n'oubliera jamais cette première étreinte.
Même quand, pour faire face à la ruine de sa famille, elle devra servir d'intendante à un milliardaire américain, accompagné de sa fille et de son futur gendre, le séduisant duc de Stadhampton.
Mon avis:
Je ne peux pas dire que j'ai aimé, je ne peux pas dire non plus que je n'ai pas aimé.
On m'a donné ce livre et je l'ai lu ce livre pour voir ce qu'étaient exactement ces romans à l'eau de rose. Maintenant je sais! Je ne m'attendais pas à un style d'écriture époustouflant, je ne m'attendais pas un suspens insoutenable, donc... pas de déception!
Après quelques pages, on a déjà deviné la fin. J'ai continué pour savoir si j'avais vu juste. Le scénario est gros comme une maison, je dirais que c'est impossible de se tromper. Mais bon, je pense que c'est le propre de ce genre d'écrits.
On a affaire à une belle histoire où tout est beau, où tout le monde est gentil. Mais je reproche tout de même à l'auteur certaines répliques que j'ai trouvées stupides et inutiles.
En résumé, je dirais que tout cela est distrayant mais que le livre n'apporte rien que ce soit au niveau du contenu ou du style de l'auteur.
158 pages
Quatrième de couverture:
Berkeley Square... un jardin aux parfums de lilas et de seringas, avec, blotti sous les cyprès, un petit temple de marbre blanc. C'est là, loin de la musique assourdissante de la salle de bal, qu'Aleta savoure la magie de cette nuit d'été au ciel piqueté d'étoiles, tandis que résonne le chant d'un rossignol...
C'est là que la rejoint un étranger qui dépose sur ses lèvres un baiser tendre et passionné. La pénombre dissimule son visage, mais Aleta n'oubliera jamais cette première étreinte.
Même quand, pour faire face à la ruine de sa famille, elle devra servir d'intendante à un milliardaire américain, accompagné de sa fille et de son futur gendre, le séduisant duc de Stadhampton.
Mon avis:
Je ne peux pas dire que j'ai aimé, je ne peux pas dire non plus que je n'ai pas aimé.
On m'a donné ce livre et je l'ai lu ce livre pour voir ce qu'étaient exactement ces romans à l'eau de rose. Maintenant je sais! Je ne m'attendais pas à un style d'écriture époustouflant, je ne m'attendais pas un suspens insoutenable, donc... pas de déception!
Après quelques pages, on a déjà deviné la fin. J'ai continué pour savoir si j'avais vu juste. Le scénario est gros comme une maison, je dirais que c'est impossible de se tromper. Mais bon, je pense que c'est le propre de ce genre d'écrits.
On a affaire à une belle histoire où tout est beau, où tout le monde est gentil. Mais je reproche tout de même à l'auteur certaines répliques que j'ai trouvées stupides et inutiles.
En résumé, je dirais que tout cela est distrayant mais que le livre n'apporte rien que ce soit au niveau du contenu ou du style de l'auteur.
Invité- Invité
Sujets similaires
» [Cartland, Barbara] Passions orientales
» [Arden, Katherine] L'ours et le rossignol
» [Huon, Anne Gaëlle] Le rossignol
» [Rendell, Ruth] Un rossignol sans jardin
» [Triolet, Elsa] Le rossignol se tait à l'aube
» [Arden, Katherine] L'ours et le rossignol
» [Huon, Anne Gaëlle] Le rossignol
» [Rendell, Ruth] Un rossignol sans jardin
» [Triolet, Elsa] Le rossignol se tait à l'aube
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum