[Nelson, Jandy] Le ciel est partout
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[Nelson, Jandy] Le ciel est partout
![[Nelson, Jandy] Le ciel est partout 9782070629725](https://2img.net/h/www.mollat.com/cache/Couvertures/9782070629725.jpg)
Un amour brûlant,
une perte dévastatrice,
Lennie lutte pour trouver sa propre mélodie.
Alors que Bailey, sa sœur, sa meilleure amie,
vient de mourir, comment continuer ?
A-t-elle le droit de plaire, elle aussi ? De désirer Toby ?
D'être heureuse sans Bailey ?
Et comment ose-t-elle rire encore ?
Parfois, il faut tout perdre pour se trouver...
une perte dévastatrice,
Lennie lutte pour trouver sa propre mélodie.
Alors que Bailey, sa sœur, sa meilleure amie,
vient de mourir, comment continuer ?
A-t-elle le droit de plaire, elle aussi ? De désirer Toby ?
D'être heureuse sans Bailey ?
Et comment ose-t-elle rire encore ?
Parfois, il faut tout perdre pour se trouver...
Un hymne à l'amour, à la vie, à la musique, à la nature et à l'écriture !
:<4^: Ce livre est vraiment, vraiment l'un des meilleurs que j'ai lu (pourtant j'en ai lu...

Ce qui est vraiment bien dans ce livre ce sont les mots éparpillés de Lennon que nous retrouvons au fur et à mesure des chapitres...
A 16H48 un vendredi d'avril,
Ma soeur répétait le rôle de Juliette
Et une minute plus tard,
elle était morte.
A ma stupéfaction, le temps ne s'est pas
arrêté
Les gens sont allés en cours, au travail, au
restaurant ;
ils ont avalé leur soupe de palourdes,
flippé pour leurs examens,
chanté dans leur voiture toutes vitres
fermées.
Pendant des jours et des jours, la pluie
s'est acharnée
sur le toit de notre maison - preuve de la
terrible erreur
commise par le ciel.
Chaque matin au réveil,
J'écoutais ce martèlement interminable,
Je regardais le déluge à travers la fenêtre
et j'étais soulagée qu'au moins le soleil ait
la décence
de nous laisser tranquilles.
(Trouvé sur un bout de partition piqué sur une branche basse près du torrent de l'Homme volant)
Invité- Invité
Re: [Nelson, Jandy] Le ciel est partout
Message déplacé et sondage ajouté, tu peux voter Skaylie 

Invité- Invité
Re: [Nelson, Jandy] Le ciel est partout
il est déplacé où? je comprends pas Snoopinette :p
C'est le début du roman que tu as mis en italique Skaylie? Ca me tente bien
C'est le début du roman que tu as mis en italique Skaylie? Ca me tente bien

Invité- Invité
Re: [Nelson, Jandy] Le ciel est partout
nymou a écrit:il est déplacé où? je comprends pas Snoopinette :p
C'est le début du roman que tu as mis en italique Skaylie? Ca me tente bien
Ce n'est pas le début du roman mais c'est un morceau que j'aimais bien. Dans le livre, il y a des pages où le personnage principale écrit ce qu'il ressent. C'est ça qui est bien. Je trouve que ça fait un peu "journal intime". Mais franchement je te le conseille. Je l'ai pris par hasard mais je l'ai adoré !!!
Invité- Invité
Re: [Nelson, Jandy] Le ciel est partout
Skaylie a écrit:
Je trouve que ça fait un peu "journal intime". Mais franchement je te le conseille. Je l'ai pris par hasard mais je l'ai adoré !!!
Merci

Invité- Invité
Re: [Nelson, Jandy] Le ciel est partout
Nymou : Normalement, ils aimeront. Les garçons, peut-être moins mais bon ..
Invité- Invité
Re: [Nelson, Jandy] Le ciel est partout
Je suis assez déçue par ce titre. J’ai apprécié le sujet abordé et la manière de le faire mais le côté romance ne m’a pas plu du tout. J’ai trouvé que l’histoire trainait en longueur et qu’elle manquait d’un petit quelque chose. Bref, je me suis bien ennuyée.
C’est vrai que l’héroïne est touchante, tout comme les proche de sa sœur, affectés par son décès. La façon d’aborder le deuil sort de l’ordinaire. On passe forcément par beaucoup de sentiments : la colère (d’avoir perdu sa moitié, de se retrouver seule, de découvrir ses secrets non partagés), la culpabilité (de vivre, d’être heureuse), et puis bien évidement le chagrin. Mais Lennie, 17 ans, a beaucoup de mal à en parler alors elle écrit des poèmes, des souvenirs d’instants partagés avec Bailey, des pensées sur les pages de ses livres, sur des gobelets, des petits bouts de papier qu’elle dissémine partout et que l’auteure entremêle au récit. C’est beau et émouvant. On comprend que le lien qui l’unissait à sa sœur Bailey n’était pas que fraternel. Et puis il n’est pas uniquement question de deuils au sens de mort, car Lennie a une situation familiale complexe : élevées par Manou leur grand-mère maternelle et Big leur oncle (marié et divorcé 5 fois), elles ne connaissaient pas leur père et leur mère a les abandonnées il y a seize ans. Durant ces 16 années les filles se racontaient un tas d’histoires romanesque justifiant l’absence de leur maman avec « le gène familial de la bougeotte » et son côté aventurier. Mais la réalité est moins passionnante et Lennie va enfin en prendre conscience. On la voit évoluer, se reconstruire et reprendre sa vie d’adolescence grâce à sa famille (originale) et à Toby, le petit ami de Bailey, avec qui elle noue une relation particulière, associés dans la douleur de l’absence. Et puis à côté il y a l’arrivée de Joe, et avec lui la romance dans l’intrigue. Mais je ne m’étendrai pas sur le sujet car je n’ai pas accroché avec cet aspect du roman même si ce personnage a un potentiel sympathique très élevé.
C’est vrai que l’héroïne est touchante, tout comme les proche de sa sœur, affectés par son décès. La façon d’aborder le deuil sort de l’ordinaire. On passe forcément par beaucoup de sentiments : la colère (d’avoir perdu sa moitié, de se retrouver seule, de découvrir ses secrets non partagés), la culpabilité (de vivre, d’être heureuse), et puis bien évidement le chagrin. Mais Lennie, 17 ans, a beaucoup de mal à en parler alors elle écrit des poèmes, des souvenirs d’instants partagés avec Bailey, des pensées sur les pages de ses livres, sur des gobelets, des petits bouts de papier qu’elle dissémine partout et que l’auteure entremêle au récit. C’est beau et émouvant. On comprend que le lien qui l’unissait à sa sœur Bailey n’était pas que fraternel. Et puis il n’est pas uniquement question de deuils au sens de mort, car Lennie a une situation familiale complexe : élevées par Manou leur grand-mère maternelle et Big leur oncle (marié et divorcé 5 fois), elles ne connaissaient pas leur père et leur mère a les abandonnées il y a seize ans. Durant ces 16 années les filles se racontaient un tas d’histoires romanesque justifiant l’absence de leur maman avec « le gène familial de la bougeotte » et son côté aventurier. Mais la réalité est moins passionnante et Lennie va enfin en prendre conscience. On la voit évoluer, se reconstruire et reprendre sa vie d’adolescence grâce à sa famille (originale) et à Toby, le petit ami de Bailey, avec qui elle noue une relation particulière, associés dans la douleur de l’absence. Et puis à côté il y a l’arrivée de Joe, et avec lui la romance dans l’intrigue. Mais je ne m’étendrai pas sur le sujet car je n’ai pas accroché avec cet aspect du roman même si ce personnage a un potentiel sympathique très élevé.
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