[Desplechin, Marie] Sans moi

par Invité Lun 16 Juil 2012 - 16:03

Titre : Sans moi
Auteur : Marie Desplechin
Edition : Points
Nombre de pages : 252

4ème de couverture :

Que faire d'une jeune femme qui s'installe chez vous, sous prétexte qu'elle n'a pas de domicile et qu'elle s'entend bien avec vos enfants? Son portrait, peut-être. Enfant de la DDASS, fille des rues, fourmi pour un dealer et prostituée occasionnelle, Olivia porte en elle un passé chargé et un présent hasardeux. Avec elle, c'est un peu de la violence et de la corruption du monde qui frappe à votre porte. Ingénue professionnelle, libertine à son insu, cette accidentée de la vie est pleine d'une énergie vitale qui fait craquer toutes les digues. Dans ce livre cruel à force de justesse, Marie Desplechin effleure, sans crainte de faire mal, nos zones sensibles: les faux-semblants, trahisons infimes, petits accommodements sans importance où se joue chaque jour notre survie morale.

Mon avis :

J'en suis à la page 166 et je n'en peux plus.
Ce livre est long, les personnages absolument pas attachant. Je n'ai aucune envie de savoir ce qu'il .... ne va pas leur arriver... Parce que c'est bien là le problème! il ne se passe rien qui en vaille la peine...
Je m'ennuie trop. Je préfère le laisser, ne pas le finir, j'ai trop de livres qui en vaillent la peine pour m'attarder sur celui-ci qui ne me plait pas du tout.

Je lui met un 1/5.

par Invité Lun 16 Juil 2012 - 16:23

merci pour ton avis Krackinette

par lili78 Sam 31 Jan 2015 - 12:00

Sans moi est l’histoire de deux femmes, de leur heureuse, parce que salvatrice, rencontre.
La narratrice, divorcée, recrute Olivia pour s’occuper de ses enfants. Au fil du temps, Olivia dévoile son passé, laissant la narratrice comme le lecteur, stupéfaits.
Alors qu’au début du roman, la narratrice est la bouée de sauvetage d’Olivia, peu à peu les rôles s’inversent, parce qu’au final, malgré les apparences, il n’y a pas forcément qu’Olivia qui est en perdition.

J’ai trouvé étonnante, cette Olivia qui, malgré sa vie singulière, a une si grande force de caractère.

Malheureusement je désapprouve la fin si rapide, presque bâclée, c’est dommage.

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