[Rochat, Anne-Frédérique] A l'abri des regards
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[Rochat, Anne-Frédérique] A l'abri des regards
[Rochat, Anne-Frédérique] A l'abri des regards
[Rochat, Anne-Frédérique]
A l’abri des regards
Editions Luce Wilquin 22 août 2014
ISBN 978 2 88253 491 0
319 pages
Quatrième de couverture
Mardi 5 janvier. Les fêtes de fin d’année sont passées. Anaïs, mère de deux petites filles, est épuisée, elle ne parvient plus à faire semblant, à s’arranger pour faire croire aux autres, ainsi qu’à elle-même, que tout va bien, que sa vie lui convient. Elle décide de quitter son foyer pour quelque temps, afin de prendre un peu de recul, et se ressourcer. Quand on se perd, on devient égoïste, on ne pense plus qu’à soi, à sa survie : se retrouver, se retrouver en vie. Elle loue une chambre aux murs rouges chez Basile, un sexagénaire passionné par la taxidermie ; au fil des jours, des liens très forts vont se nouer entre eux.
Neuf mois dans l’intimité d’êtres bousculés par la vie
Quatre voix pour raconter une existence blessée
![[Rochat, Anne-Frédérique] A l'abri des regards 491blo10](https://i.servimg.com/u/f39/13/71/38/61/491blo10.jpg)
Mon avis
Anais écrit des livres pour les petits enfants, elle a tout pour être heureuse, deux petites filles adorables et son mari qu’elle aime. Elle est mal dans tête, elle réalise qu’elle n’a plus envie d’écrire, qu’elle fait semblant d’être heureuse, elle pense qu’elle vit dans un mensonge qui la poursuit dans ses rêves. Quel est donc ce mensonge ? Elle décide alors de quitter sa famille pour se retrouver seule, mettre de l’ordre dans sa tête qui va mal, n’aime t’elle plus les siens ? On peut penser que c’est parce qu’elle les aime trop….Peut-être a-t-elle un sentiment de culpabilité envers sa mère Gilda qui, lui a-t-on dit, est morte en la mettant au monde, dès qu’elle aborde le sujet avec son père, celui-ci se fâche….Elle loue une chambre chez un taxidermiste frisant la soixantaine nommé Basile, cet homme fera tout pour la sortir du trou ou elle sombre. Cette histoire à quatre voix aborde des thèmes intéressants, l’hérédité, la maternité, la dépression et les bouleversements de la mise au monde d’un enfant, que la vie n’est pas simple mais que la souffrance permet d’avancer. Je fus émue par la narration de Maëlis , la fille aînée ayant des difficultés à comprendre le comportement des adultes, avec naïveté elle nous livre ses pensées et ses réactions. Dans la dernière partie du roman, c’est la quatrième voix qui nous apprend le secret de famille. Vraiment ce roman est une belle découverte avec son histoire touchante et émouvante qui nous emporte. 5/5
A l’abri des regards
Editions Luce Wilquin 22 août 2014
ISBN 978 2 88253 491 0
319 pages
Quatrième de couverture
Mardi 5 janvier. Les fêtes de fin d’année sont passées. Anaïs, mère de deux petites filles, est épuisée, elle ne parvient plus à faire semblant, à s’arranger pour faire croire aux autres, ainsi qu’à elle-même, que tout va bien, que sa vie lui convient. Elle décide de quitter son foyer pour quelque temps, afin de prendre un peu de recul, et se ressourcer. Quand on se perd, on devient égoïste, on ne pense plus qu’à soi, à sa survie : se retrouver, se retrouver en vie. Elle loue une chambre aux murs rouges chez Basile, un sexagénaire passionné par la taxidermie ; au fil des jours, des liens très forts vont se nouer entre eux.
Neuf mois dans l’intimité d’êtres bousculés par la vie
Quatre voix pour raconter une existence blessée
![[Rochat, Anne-Frédérique] A l'abri des regards 491blo10](https://i.servimg.com/u/f39/13/71/38/61/491blo10.jpg)
Mon avis
Anais écrit des livres pour les petits enfants, elle a tout pour être heureuse, deux petites filles adorables et son mari qu’elle aime. Elle est mal dans tête, elle réalise qu’elle n’a plus envie d’écrire, qu’elle fait semblant d’être heureuse, elle pense qu’elle vit dans un mensonge qui la poursuit dans ses rêves. Quel est donc ce mensonge ? Elle décide alors de quitter sa famille pour se retrouver seule, mettre de l’ordre dans sa tête qui va mal, n’aime t’elle plus les siens ? On peut penser que c’est parce qu’elle les aime trop….Peut-être a-t-elle un sentiment de culpabilité envers sa mère Gilda qui, lui a-t-on dit, est morte en la mettant au monde, dès qu’elle aborde le sujet avec son père, celui-ci se fâche….Elle loue une chambre chez un taxidermiste frisant la soixantaine nommé Basile, cet homme fera tout pour la sortir du trou ou elle sombre. Cette histoire à quatre voix aborde des thèmes intéressants, l’hérédité, la maternité, la dépression et les bouleversements de la mise au monde d’un enfant, que la vie n’est pas simple mais que la souffrance permet d’avancer. Je fus émue par la narration de Maëlis , la fille aînée ayant des difficultés à comprendre le comportement des adultes, avec naïveté elle nous livre ses pensées et ses réactions. Dans la dernière partie du roman, c’est la quatrième voix qui nous apprend le secret de famille. Vraiment ce roman est une belle découverte avec son histoire touchante et émouvante qui nous emporte. 5/5
lalyre- Grand sage du forum
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Date d'inscription : 07/04/2010

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