[Bjornsdottoir, Sigidur Hagalin] L'île
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[Bjornsdottir, Sigidur Hagalin] L'île
[Bjornsdottoir, Sigidur Hagalin] L'île
[Bjornsdottir, Sigidur Hagalin]
L’île
Editions Gaîa 7 février 2018
ISBN 978 2 84720 815 3
270 pages
Quatrième de couverture
Il arrive que se produisent des choses qui rassemblent l’humanité tout entière, et chacun se rappelle l’endroit où il se trouvait quand il a appris la nouvelle. Le monde peut devenir si petit qu’il se résume à un seul être humain. À un homme minuscule dans un fjord abandonné d’Islande.
Un homme qui se souvient : comment toute communication avec le monde extérieur fut soudain coupée, comment réagirent le gouvernement, les médias, la population. Comment il réagit lui-même, journaliste politique flirtant avec les sphères du pouvoir, en couple avec María, musicienne d’origine étrangère.
Le pays, obsédé par son passé, croit pouvoir vivre en autarcie, rejette dangereusement tout ce qui n’est pas islandais, et réactive des peurs ancestrales. Faire face à la faim, dans un pays de volcans cerné par les eaux.
Comme un piège qui se referme.
Mon avis
C’est le portrait des habitants de l’île lorsqu’elle fut privée de tous contacts avec l’étranger, sans qu’ils sachent pourquoi. Il n’y plus de communication entrante ou sortante entre l’Islande et le reste du monde, que ce soit par téléphone, par ordinateur, par satellite ou par le biais d’ondes radio. Plus aucune pendule ne gouverne leur vie, certains s’affolent, il faut retirer de l’argent, faire le plein d’essence, il faut acheter du riz, des conserves, du lait en poudre pour les enfants. D’autres restent à leur travail, sont consternés face à l’hystérie de leurs compatriotes, ne leurs a t-on pas dit que c’était de simples perturbations électriques. Ceci pour conclure la quatrième de couverture, ou certains personnages sont décrits, je dois dire qu’il faut s’accrocher lors de ce genre de roman, il n’empêche que j’ai apprécié ces îliens car ils sont optimistes, chaque chapîtres est repris par certains des principaux acteurs et comme dit le premier ministre Elin Olafsdöttir, ce sont là des problèmes passagers que les scientifiques et les experts les plus brillants s’emploient à résoudre, reste à savoir comment cette histoire va se terminer. Cependant c’est un très un très bon livre de fiction pour qui s’intéresse à l’Islande 4,5/5
L’île
Editions Gaîa 7 février 2018
ISBN 978 2 84720 815 3
270 pages
Quatrième de couverture
Il arrive que se produisent des choses qui rassemblent l’humanité tout entière, et chacun se rappelle l’endroit où il se trouvait quand il a appris la nouvelle. Le monde peut devenir si petit qu’il se résume à un seul être humain. À un homme minuscule dans un fjord abandonné d’Islande.
Un homme qui se souvient : comment toute communication avec le monde extérieur fut soudain coupée, comment réagirent le gouvernement, les médias, la population. Comment il réagit lui-même, journaliste politique flirtant avec les sphères du pouvoir, en couple avec María, musicienne d’origine étrangère.
Le pays, obsédé par son passé, croit pouvoir vivre en autarcie, rejette dangereusement tout ce qui n’est pas islandais, et réactive des peurs ancestrales. Faire face à la faim, dans un pays de volcans cerné par les eaux.
Comme un piège qui se referme.
Mon avis
C’est le portrait des habitants de l’île lorsqu’elle fut privée de tous contacts avec l’étranger, sans qu’ils sachent pourquoi. Il n’y plus de communication entrante ou sortante entre l’Islande et le reste du monde, que ce soit par téléphone, par ordinateur, par satellite ou par le biais d’ondes radio. Plus aucune pendule ne gouverne leur vie, certains s’affolent, il faut retirer de l’argent, faire le plein d’essence, il faut acheter du riz, des conserves, du lait en poudre pour les enfants. D’autres restent à leur travail, sont consternés face à l’hystérie de leurs compatriotes, ne leurs a t-on pas dit que c’était de simples perturbations électriques. Ceci pour conclure la quatrième de couverture, ou certains personnages sont décrits, je dois dire qu’il faut s’accrocher lors de ce genre de roman, il n’empêche que j’ai apprécié ces îliens car ils sont optimistes, chaque chapîtres est repris par certains des principaux acteurs et comme dit le premier ministre Elin Olafsdöttir, ce sont là des problèmes passagers que les scientifiques et les experts les plus brillants s’emploient à résoudre, reste à savoir comment cette histoire va se terminer. Cependant c’est un très un très bon livre de fiction pour qui s’intéresse à l’Islande 4,5/5
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lalyre- Grand sage du forum
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