[Gornick, Viviane] La femme à part
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[Gornick, Viviane] La femme à part
[Gornick, Viviane] La femme à part
[Gornick, Viviane]
La femme à part
Editions Rivages septembre 2018
155 pages
Quatrième de couverture
Vivian Gornick Marche dans les rues de New York. La ville lui sert de confidente, de point d’ancrage et d’inspiration. A ses côtés, on monte dans les bus de Manhattan, On arpente les rues bouillonnantes du West Side ou du Bronx. Saisissant parmi la faune urbaine des instants de vérité, elle s’interroge sur tout ce qui a fait d’elle une femme à part, souscieuse de refuser les figures imposées de la société et de défendre sa liberté. Mais ce voyage intime touche à l’universel car, en chemi, Gornick explore l’amitié, la solitude, le sexe, la vieillesse, la littérature, le couple…. Droleet lucide, elle capture l’essence de nos vies avec une justesse impressionnant.
![[Gornick, Viviane] La femme à part La-fem10](https://i.servimg.com/u/f39/13/71/38/61/la-fem10.jpg)
Mon avis
Et oui bien sûr que nous suivons Vivian pendant son parcours, elle arpente la ville et ses souvenirs. Beaucoup d’anecdotes, de rencontres, de confidences, j’aime beaucoup lorsqu’elle déclare ; Je suis devenue la fille de ma mère. Très jeune déjà j’étais incapable de me trouver intéressante si je n’avais pas une réaction intelligente. Il me fallait fréquenter des esprits à ma hauteur, or, dans mon entourage, personne ne prononçait les mots que j’avais besoin d’entendre. Elle nous parle de Constance Fenimore Woolson et de Henry James, ils se sont connus à Florence en 1888, c’était une femme de goût, mais aussi d’Hevelyn Scott, en haillons et plus qu’un peu folle. Nous faisant part de ses observations, nous cite une église ou l’on sert la soupe populaire, une file d’hommes s’étire (jamais aucune femme) jusqu’au bout de la rue. Nous fait part d’une pensée sur l’amour. La fin du sentiment amoureux est un drame que connaissent la plupart d’entre nous, sur l’amitié…;En amitié comme en amour, la clef, c’est que notre moi, à défaut de ce que nous avons de meilleur, s’épanouisse en présence de l’autre, tout repose sur cet épanouissement. Elle continue en arpentant la ville de New York qui lui sert de confidente, ce très beau livre est en fait un récit sur la misère, la solitude, l’identité et la vieillesse. 4,5/5
La femme à part
Editions Rivages septembre 2018
155 pages
Quatrième de couverture
Vivian Gornick Marche dans les rues de New York. La ville lui sert de confidente, de point d’ancrage et d’inspiration. A ses côtés, on monte dans les bus de Manhattan, On arpente les rues bouillonnantes du West Side ou du Bronx. Saisissant parmi la faune urbaine des instants de vérité, elle s’interroge sur tout ce qui a fait d’elle une femme à part, souscieuse de refuser les figures imposées de la société et de défendre sa liberté. Mais ce voyage intime touche à l’universel car, en chemi, Gornick explore l’amitié, la solitude, le sexe, la vieillesse, la littérature, le couple…. Droleet lucide, elle capture l’essence de nos vies avec une justesse impressionnant.
![[Gornick, Viviane] La femme à part La-fem10](https://i.servimg.com/u/f39/13/71/38/61/la-fem10.jpg)
Mon avis
Et oui bien sûr que nous suivons Vivian pendant son parcours, elle arpente la ville et ses souvenirs. Beaucoup d’anecdotes, de rencontres, de confidences, j’aime beaucoup lorsqu’elle déclare ; Je suis devenue la fille de ma mère. Très jeune déjà j’étais incapable de me trouver intéressante si je n’avais pas une réaction intelligente. Il me fallait fréquenter des esprits à ma hauteur, or, dans mon entourage, personne ne prononçait les mots que j’avais besoin d’entendre. Elle nous parle de Constance Fenimore Woolson et de Henry James, ils se sont connus à Florence en 1888, c’était une femme de goût, mais aussi d’Hevelyn Scott, en haillons et plus qu’un peu folle. Nous faisant part de ses observations, nous cite une église ou l’on sert la soupe populaire, une file d’hommes s’étire (jamais aucune femme) jusqu’au bout de la rue. Nous fait part d’une pensée sur l’amour. La fin du sentiment amoureux est un drame que connaissent la plupart d’entre nous, sur l’amitié…;En amitié comme en amour, la clef, c’est que notre moi, à défaut de ce que nous avons de meilleur, s’épanouisse en présence de l’autre, tout repose sur cet épanouissement. Elle continue en arpentant la ville de New York qui lui sert de confidente, ce très beau livre est en fait un récit sur la misère, la solitude, l’identité et la vieillesse. 4,5/5
lalyre- Grand sage du forum
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Date d'inscription : 07/04/2010

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