[Vasconcelos, José Mauro (de)] Allons réveiller le soleil
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[Vasconcelos, José Mauro (de)] Allons réveiller le soleil
Allons réveiller le soleil
Jose Mauro de Vasconcelos
Stock
326 pages
1974, traduit du portugais par Alice Raillard
ISBN : 2-234-00361-X
Résumé de l'éditeur :
"Si vous aimez l'enfance et son univers, si vous voulez connaître la sensibilité d'un cœur d'enfant, si vous ne craignez pas de pénétrer le monde de la pauvreté..., lisez Mon Bel oranger". (La Vie Catholique) "Découvrir à six ans la souffrance du cœur est un apprentissage terrible. C'est une expérience qui grandit et bonifie. Zézé, précieusement doué, deviendra, n'en doutons pas, un garçon de qualité." (Sélection des libraires).
Zézé a maintenant des millions d'amis au Brésil et dans le monde, des dizaines de milliers d'amis en France qui vont être heureux de le retrouver avec Allons réveiller le soleil. Le voici, plus grand, toujours aussi rayonnant, aussi pur, aussi plein d'imagination et de vie. Il a été adopté par une famille riche et, trop susceptible, Zézé ne répond pas à la bienveillance de son nouveau père. Sa seule alliée, dans la maison, est Dadada, la cuisinière. Mais aussi ses alliés de rêve, ces compagnons irremplaçables que sont le crapaud-cururu, qui est descendu dans son cœur, et Maurice Chevalier en personne, qu'il a vu dans un film et dont il a fait son véritable père. Elève brillant, toujours charmant, Zézé joue souvent des tours pendables - et parfois dangereux - jusqu'au jour où, à quinze ans, il tombera merveilleusement amoureux... Fin de l'enfance, début de l'adolescence, épreuve de la solitude... Zézé ne peut décevoir ses amis, et nous savons qu'il en a beaucoup et de tous âges.
Mon avis :
Eh bien, j'y suis donc arrivée, à relire ce livre qui a tant marqué mon adolescence, et qui m'a précipitée dans un maelström d'émotions contradictoires, car je n'en faisais plus la lecture au premier degré comme autrefois, mais avec un recul de quarante ans.
J'ai du mal même à évoquer de manière détachée mes impressions de lecture, tant j'ai pris conscience au fur et à mesure que des images fortes du roman m'avaient marquée jusqu'à s'immiscer dans mes propres souvenirs, comme si j'avais réellement vu les mêmes scènes. J'avais tout oublié, mais des épisodes étaient restés échoués là, dans des recoins obscurs de ma mémoire, comme une barque retournée sur la plage.
Nous retrouvons Zézé sur une période assez longue, de ses 11 ans à 15 ans, durant le temps où il vit chez l'oncle qui l'a adopté et lui paie ses études, dans un collège de frères maristes, à Natal, ville du Nordeste du Brésil. Zézé - je dis Zézé, mais il a quantité de surnoms selon les personnes : Zé, Zéca, Chuch, Monptit... - n'a rien perdu de sa sensibilité ni de sa précocité. Mais il est adolescent, et la révolte devant les injustices vient s'ajouter à ses moments de désespoir et lui rend la vie compliquée. On ne compte plus les "guerres" qu'il mène au collège, il a toujours l'art d'écouter "la voix du diable" comme autrefois. du reste, je trouve qu'il a beaucoup de voix cet enfant, de dissociations en personnalités différentes, qui lui apparaissent tel son coeur sous l'aspect d'un crapaud-cururu, Adam, ou encore la figure du père idéal sous les traits de Maurice Chevalier. Je me suis demandé si ces personnalités ou amis imaginaires étaient le résultat d'une schizophrénie ou plus simplement d'un mécanisme de défense dû aux traumatismes vécus.
Zézé se sent mal dans sa famille, qu'il ne comprend pas et qui ne le comprend pas. Les reproches tombent, il est souvent privé d'événements dont il se faisait une joie, il se sent méprisé. Lui-même reconnaît avoir un caractère difficile, sauvage, ombrageux ; ainsi passe-t-il un bon mois sans adresser la parole à son père adoptif qui a été injuste envers lui. Heureusement, en plus de ses amis imaginaires, il peut compter sur plusieurs frères bienveillants au collège, qui l'aident à grandir droit et lui apprennent tout en même temps l'indulgence, la patience envers les bêtises de l'enfant, parce qu'il grandira et apprendra. On le couvre même pour satisfaire sa plus grande passion : nager. Ah ! l'épisode du requin... Je ne l'ai jamais oubliée de ma vie, cette "odeur de pastèque" !
C'est tout de même une des sources de ma gêne que l'attitude de Zézé envers les personnes qui le comprennent et l'aident : il est prompt à manipuler son entourage, à présenter les choses sous un jour avantageux (même s'il brille aussi par sa sincérité), voire à exercer une forme de chantage au suicide assez fréquente. L'auteur (ou narrateur) n'a pas pris assez de distance, il sombre parfois dans l'auto-complaisance, cela peut être agaçant ou désagréable. Je m'en suis presque voulu d'avoir autant aimé ce livre, de m'être tant identifiée à Zézé, comme si cela faisait de moi une personne qui avait été également complaisante envers sa jeunesse, et ses souffrances d'enfant. Vu de l'extérieur, si l'enfant précoce est touchant, l'adolescent suscite moins la compassion ou la compréhension, c'est peut-être le drame de nombre de jeunes, à qui l'on ne pardonne pas grand-chose, et à qui l'on demande d'entrer durement dans un monde dont ils ne veulent pas.
Il reste néanmoins ces évocations magnifiques qui ont marqué mes souvenirs, que j'ai retrouvées avec émotion (et tâché de communiquer dans les citations choisies) : grâce à Zézé, ou plutôt José Mauro de Vasconcelos, j'ai un peu grandi au Brésil, sentiment que j'ai retrouvé en marchant sur les plages de Rio il y a vingt ans. C'est toute ma jeunesse qui remue entre ces lignes, et ce n'est pas une mince affaire que de clore ces chapitres.
Citations :
Il suffisait que je sache qu'il y avait quelqu'un pour que je disparaisse. Si je me trouvais dehors, je me débrouillais pour rentrer par la fenêtre de ma chambre sans qu'on me remarque. J'avais horreur de tendre la main, de faire un sourire ou de murmurer une parole aimable à quiconque ne m'était pas sympathique.
- Je veux parler d'un autre encore plus grand. Le soleil qui naît dans notre cœur. Le soleil de nos espérances. Le soleil que nous réveillons dans notre poitrine pour réveiller aussi nos rêves.
J'étais émerveillé :
- Adam, tu es aussi poète, non ?
- Non. Seulement j'ai senti avant toi l'importance de mon soleil.
- Et le mien ?
- Le tien, Zézé, est un soleil triste. Un soleil environné de larmes au lieu de pluie. Un soleil qui n'a pas encore découvert tout son pouvoir et sa force. Qui n'a pas encore embelli tous tes moments. Un petit soleil, un peu grincheux.
Dans la journée, c'était une autre histoire. Je ne sais pas ce qui m'arrivait. Mais je ne pouvais pas vivre sur terre comme les autres élèves. Je passais mon temps à grimper à tout ce qui s'offrait. Je m'accrochais aux poutres, je sautais d'un madrier à un autre. Je connaissais toutes les charpentes et tous les toits.
Nous traversâmes la voie du tramway et nous nous mîmes à marcher sans nous presser, car l'après-midi déclinait, très doux, apportant tous les vents de la mer. Et le vent frappait mon visage, ébouriffait mes cheveux clairs.
On pouvait voir sur la plage du milieu l'arrivée des jangadas*. Les voiles que l'on roulait et que l'on jetait sur le sable blanc. Les gens qui s'approchaient pour acheter du poisson frais.
Le bois de Manuel Machado m'attirait comme un aimant. Je traversai la dune et passai près de quelques cahutes. Beaucoup de femmes qui vivaient là étaient laveuses, et elles laissaient sécher le linge toute la nuit. Un soir, déjà, j'avais vu le linge se balancer sur leurs fils comme une bande de fantômes qui auraient joué à la procession. (...)
Le parfum de la nuit se répandait, il venait du cœur des arbres.
Pourquoi tout devait-il partir dans la vie ? Simplement, Zézé, parce que naître, c'est partir. Partir dès la première heure. Dès le moment où l'on respire. Et tu ne peux pas lutter contre la dure réalité de la vie.
Jose Mauro de Vasconcelos
Stock
326 pages
1974, traduit du portugais par Alice Raillard
ISBN : 2-234-00361-X
Résumé de l'éditeur :
"Si vous aimez l'enfance et son univers, si vous voulez connaître la sensibilité d'un cœur d'enfant, si vous ne craignez pas de pénétrer le monde de la pauvreté..., lisez Mon Bel oranger". (La Vie Catholique) "Découvrir à six ans la souffrance du cœur est un apprentissage terrible. C'est une expérience qui grandit et bonifie. Zézé, précieusement doué, deviendra, n'en doutons pas, un garçon de qualité." (Sélection des libraires).
Zézé a maintenant des millions d'amis au Brésil et dans le monde, des dizaines de milliers d'amis en France qui vont être heureux de le retrouver avec Allons réveiller le soleil. Le voici, plus grand, toujours aussi rayonnant, aussi pur, aussi plein d'imagination et de vie. Il a été adopté par une famille riche et, trop susceptible, Zézé ne répond pas à la bienveillance de son nouveau père. Sa seule alliée, dans la maison, est Dadada, la cuisinière. Mais aussi ses alliés de rêve, ces compagnons irremplaçables que sont le crapaud-cururu, qui est descendu dans son cœur, et Maurice Chevalier en personne, qu'il a vu dans un film et dont il a fait son véritable père. Elève brillant, toujours charmant, Zézé joue souvent des tours pendables - et parfois dangereux - jusqu'au jour où, à quinze ans, il tombera merveilleusement amoureux... Fin de l'enfance, début de l'adolescence, épreuve de la solitude... Zézé ne peut décevoir ses amis, et nous savons qu'il en a beaucoup et de tous âges.
Mon avis :
Eh bien, j'y suis donc arrivée, à relire ce livre qui a tant marqué mon adolescence, et qui m'a précipitée dans un maelström d'émotions contradictoires, car je n'en faisais plus la lecture au premier degré comme autrefois, mais avec un recul de quarante ans.
J'ai du mal même à évoquer de manière détachée mes impressions de lecture, tant j'ai pris conscience au fur et à mesure que des images fortes du roman m'avaient marquée jusqu'à s'immiscer dans mes propres souvenirs, comme si j'avais réellement vu les mêmes scènes. J'avais tout oublié, mais des épisodes étaient restés échoués là, dans des recoins obscurs de ma mémoire, comme une barque retournée sur la plage.
Nous retrouvons Zézé sur une période assez longue, de ses 11 ans à 15 ans, durant le temps où il vit chez l'oncle qui l'a adopté et lui paie ses études, dans un collège de frères maristes, à Natal, ville du Nordeste du Brésil. Zézé - je dis Zézé, mais il a quantité de surnoms selon les personnes : Zé, Zéca, Chuch, Monptit... - n'a rien perdu de sa sensibilité ni de sa précocité. Mais il est adolescent, et la révolte devant les injustices vient s'ajouter à ses moments de désespoir et lui rend la vie compliquée. On ne compte plus les "guerres" qu'il mène au collège, il a toujours l'art d'écouter "la voix du diable" comme autrefois. du reste, je trouve qu'il a beaucoup de voix cet enfant, de dissociations en personnalités différentes, qui lui apparaissent tel son coeur sous l'aspect d'un crapaud-cururu, Adam, ou encore la figure du père idéal sous les traits de Maurice Chevalier. Je me suis demandé si ces personnalités ou amis imaginaires étaient le résultat d'une schizophrénie ou plus simplement d'un mécanisme de défense dû aux traumatismes vécus.
Zézé se sent mal dans sa famille, qu'il ne comprend pas et qui ne le comprend pas. Les reproches tombent, il est souvent privé d'événements dont il se faisait une joie, il se sent méprisé. Lui-même reconnaît avoir un caractère difficile, sauvage, ombrageux ; ainsi passe-t-il un bon mois sans adresser la parole à son père adoptif qui a été injuste envers lui. Heureusement, en plus de ses amis imaginaires, il peut compter sur plusieurs frères bienveillants au collège, qui l'aident à grandir droit et lui apprennent tout en même temps l'indulgence, la patience envers les bêtises de l'enfant, parce qu'il grandira et apprendra. On le couvre même pour satisfaire sa plus grande passion : nager. Ah ! l'épisode du requin... Je ne l'ai jamais oubliée de ma vie, cette "odeur de pastèque" !
C'est tout de même une des sources de ma gêne que l'attitude de Zézé envers les personnes qui le comprennent et l'aident : il est prompt à manipuler son entourage, à présenter les choses sous un jour avantageux (même s'il brille aussi par sa sincérité), voire à exercer une forme de chantage au suicide assez fréquente. L'auteur (ou narrateur) n'a pas pris assez de distance, il sombre parfois dans l'auto-complaisance, cela peut être agaçant ou désagréable. Je m'en suis presque voulu d'avoir autant aimé ce livre, de m'être tant identifiée à Zézé, comme si cela faisait de moi une personne qui avait été également complaisante envers sa jeunesse, et ses souffrances d'enfant. Vu de l'extérieur, si l'enfant précoce est touchant, l'adolescent suscite moins la compassion ou la compréhension, c'est peut-être le drame de nombre de jeunes, à qui l'on ne pardonne pas grand-chose, et à qui l'on demande d'entrer durement dans un monde dont ils ne veulent pas.
Il reste néanmoins ces évocations magnifiques qui ont marqué mes souvenirs, que j'ai retrouvées avec émotion (et tâché de communiquer dans les citations choisies) : grâce à Zézé, ou plutôt José Mauro de Vasconcelos, j'ai un peu grandi au Brésil, sentiment que j'ai retrouvé en marchant sur les plages de Rio il y a vingt ans. C'est toute ma jeunesse qui remue entre ces lignes, et ce n'est pas une mince affaire que de clore ces chapitres.
Citations :
Il suffisait que je sache qu'il y avait quelqu'un pour que je disparaisse. Si je me trouvais dehors, je me débrouillais pour rentrer par la fenêtre de ma chambre sans qu'on me remarque. J'avais horreur de tendre la main, de faire un sourire ou de murmurer une parole aimable à quiconque ne m'était pas sympathique.
- Je veux parler d'un autre encore plus grand. Le soleil qui naît dans notre cœur. Le soleil de nos espérances. Le soleil que nous réveillons dans notre poitrine pour réveiller aussi nos rêves.
J'étais émerveillé :
- Adam, tu es aussi poète, non ?
- Non. Seulement j'ai senti avant toi l'importance de mon soleil.
- Et le mien ?
- Le tien, Zézé, est un soleil triste. Un soleil environné de larmes au lieu de pluie. Un soleil qui n'a pas encore découvert tout son pouvoir et sa force. Qui n'a pas encore embelli tous tes moments. Un petit soleil, un peu grincheux.
Dans la journée, c'était une autre histoire. Je ne sais pas ce qui m'arrivait. Mais je ne pouvais pas vivre sur terre comme les autres élèves. Je passais mon temps à grimper à tout ce qui s'offrait. Je m'accrochais aux poutres, je sautais d'un madrier à un autre. Je connaissais toutes les charpentes et tous les toits.
Nous traversâmes la voie du tramway et nous nous mîmes à marcher sans nous presser, car l'après-midi déclinait, très doux, apportant tous les vents de la mer. Et le vent frappait mon visage, ébouriffait mes cheveux clairs.
On pouvait voir sur la plage du milieu l'arrivée des jangadas*. Les voiles que l'on roulait et que l'on jetait sur le sable blanc. Les gens qui s'approchaient pour acheter du poisson frais.
Le bois de Manuel Machado m'attirait comme un aimant. Je traversai la dune et passai près de quelques cahutes. Beaucoup de femmes qui vivaient là étaient laveuses, et elles laissaient sécher le linge toute la nuit. Un soir, déjà, j'avais vu le linge se balancer sur leurs fils comme une bande de fantômes qui auraient joué à la procession. (...)
Le parfum de la nuit se répandait, il venait du cœur des arbres.
Pourquoi tout devait-il partir dans la vie ? Simplement, Zézé, parce que naître, c'est partir. Partir dès la première heure. Dès le moment où l'on respire. Et tu ne peux pas lutter contre la dure réalité de la vie.
Dernière édition par joëlle le Sam 26 Juin 2021 - 14:16, édité 1 fois (Raison : Mises aux normes du nom d'auteur.)
elea2020- Grand sage du forum
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Re: [Vasconcelos, José Mauro (de)] Allons réveiller le soleil
Je vois ce que tu veux dire avec ce qui te dérange parfois chez Zézé... peut-être aussi qu'il faisait comme il pouvait, pas facile de toujours bien faire et avoir un attitude noble quand il faut s'en sortir.
N'est pas héros qui veut et vouloir n'est pas toujours pouvoir.
N'est pas héros qui veut et vouloir n'est pas toujours pouvoir.
DameLecture- Membre connaisseur
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Re: [Vasconcelos, José Mauro (de)] Allons réveiller le soleil
DameLecture a écrit:Je vois ce que tu veux dire avec ce qui te dérange parfois chez Zézé... peut-être aussi qu'il faisait comme il pouvait, pas facile de toujours bien faire et avoir un attitude noble quand il faut s'en sortir.
N'est pas héros qui veut et vouloir n'est pas toujours pouvoir.
C'est vrai, et puis si son autobiographie est totalement vraie est pas trop romancée, il n'a pas été vraiment éduqué : je dirais qu'il n'avait pas les codes pour bien se conduire, faire ce qu'on attendait de lui, mais que sa sensibilité lui rendait insupportable le fait de décevoir les autres. Or, comme tu le dis, il fallait qu'il s'en sorte...
PS : @Joëlle, j'ai vu l'édition, je n'aurais pas su qu'il fallait mettre le (de) entre parenthèses. Merci !
elea2020- Grand sage du forum
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Re: [Vasconcelos, José Mauro (de)] Allons réveiller le soleil
Merci pour ta critique, vous m'avez donné envie de les lire (avec mon bel oranger).
lilalys- Grand expert du forum
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Re: [Vasconcelos, José Mauro (de)] Allons réveiller le soleil
C'est intéressant de voir quel avis aura quelqu'un qui ne les a pas déjà lus dans sa propre jeunesse. Je suivrai ton avis (quand il se présentera, bien sûr).
elea2020- Grand sage du forum
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Re: [Vasconcelos, José Mauro (de)] Allons réveiller le soleil
J'en ai déjà pas mal à lire avant mais oui, je viendrai vous dire mon ressenti quand je l'aurai lu. C'est marrant car il a l'air de faire partie des classiques à vous lire et j'ai pourtant fait lettres sans jamais l'avoir entre les mains.
lilalys- Grand expert du forum
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Re: [Vasconcelos, José Mauro (de)] Allons réveiller le soleil
Je dirais que c'est plus un classique de la littérature enfantine (on le fait lire en lecture cursive en 6e ou 5e) qu'un classique tout court... Mais un ouvrage autobiographique reste un livre écrit par un adulte sur son enfance vue à distance, donc cela implique une certaine réflexion.
elea2020- Grand sage du forum
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Re: [Vasconcelos, José Mauro (de)] Allons réveiller le soleil
Merci Elea pour ta critique, je ne savais pas qu'il y avait une suite
louloute- Grand sage du forum
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