[Audric, Morgan] Personne ne meurt à Longyearbyen
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[Audic, Morgan] Personne ne meurt à Longyearbyen
[Audric, Morgan] Personne ne meurt à Longyearbyen
[Audric, Morgan]
Personne ne meurt à Longyearbyen
Albin Michel septembre 2013
375 pages
Quatrième de couverture
Archipel du Svalbard, Longyearbyen, la ville la plus au nord du monde. On découvre le corps d'une femme vraisemblablement déchiquetée par un ours.
Norvège continentale, les îles Lofoten. Le cadavre d'une ex-journaliste est retrouvé sur une plage isolée.
A priori rien ne lie ces victimes si ce n'est qu'elles s'intéressaient de près aux mammifères marins. L'une était doctorante en biologie arctique, l'autre, à la tête d'une agence d'excursion en mer.
Dans ces régions glacées, faites d'anciennes cités minières désolées, d'enclaves russes et de conflits politiques qui ne demandent qu'à rejaillir, une flic pugnace et un reporter de guerre en déroute remontent une piste sanglante, se confrontant à la réalité d'une terre où la nature est une marchandise et ses défenseurs des cibles de choix.
Mon avis
Personne ne meurt à Longyearbyen parce que personne ne sort sans son fusil, cela c’est à cause des ours qui ont parfois l’estomac creux, car il y en a beaucoup, à peu près 1000 ours polaires pour 3000 habitants sur l’archipel de Svalbard, cet archipel est administré par la Norvège, très proche de la Russie. J’ai beaucoup aimé les reconstitutions sur ces terres arctiques reculées, j’ai eu l’impression de rêver les lieux décrits, saisissant les ambiances très particulières de la nuit hivernal polaire, mais aussi le talent de l’auteure pour intégrer et manier des thématiques passionnantes, celles reliées au réchauffement climatique, la pêche à la baleine décriée et l’échouages de cétacés. Parlons maintenant des enquêteurs aux fortes convictions sur la mort, dite accidentelle des deux jeunes femmes, deux enquêtes qui vont se croiser, deux enquêteurs avec leurs convictions qui ne croient pas à des morts si faciles, le reporter de guerre ne croit pas au suicide de sa fiancée, les enquêteurs ne croit pas non plus à la mort de l’étudiante tuée par un ours. L’intrigue est particulièrement bien construite, avec de nouvelles pistes crédibles qui nous font avancer dans ce polar mais nous laisse deviner la vérité…Une très belle lecture que je recommande…
Personne ne meurt à Longyearbyen
Albin Michel septembre 2013
375 pages
Quatrième de couverture
Archipel du Svalbard, Longyearbyen, la ville la plus au nord du monde. On découvre le corps d'une femme vraisemblablement déchiquetée par un ours.
Norvège continentale, les îles Lofoten. Le cadavre d'une ex-journaliste est retrouvé sur une plage isolée.
A priori rien ne lie ces victimes si ce n'est qu'elles s'intéressaient de près aux mammifères marins. L'une était doctorante en biologie arctique, l'autre, à la tête d'une agence d'excursion en mer.
Dans ces régions glacées, faites d'anciennes cités minières désolées, d'enclaves russes et de conflits politiques qui ne demandent qu'à rejaillir, une flic pugnace et un reporter de guerre en déroute remontent une piste sanglante, se confrontant à la réalité d'une terre où la nature est une marchandise et ses défenseurs des cibles de choix.
Mon avis
Personne ne meurt à Longyearbyen parce que personne ne sort sans son fusil, cela c’est à cause des ours qui ont parfois l’estomac creux, car il y en a beaucoup, à peu près 1000 ours polaires pour 3000 habitants sur l’archipel de Svalbard, cet archipel est administré par la Norvège, très proche de la Russie. J’ai beaucoup aimé les reconstitutions sur ces terres arctiques reculées, j’ai eu l’impression de rêver les lieux décrits, saisissant les ambiances très particulières de la nuit hivernal polaire, mais aussi le talent de l’auteure pour intégrer et manier des thématiques passionnantes, celles reliées au réchauffement climatique, la pêche à la baleine décriée et l’échouages de cétacés. Parlons maintenant des enquêteurs aux fortes convictions sur la mort, dite accidentelle des deux jeunes femmes, deux enquêtes qui vont se croiser, deux enquêteurs avec leurs convictions qui ne croient pas à des morts si faciles, le reporter de guerre ne croit pas au suicide de sa fiancée, les enquêteurs ne croit pas non plus à la mort de l’étudiante tuée par un ours. L’intrigue est particulièrement bien construite, avec de nouvelles pistes crédibles qui nous font avancer dans ce polar mais nous laisse deviner la vérité…Une très belle lecture que je recommande…
lalyre- Grand sage du forum
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Nombre de messages : 9633
Age : 92
Localisation : Liège (Belgique )
Emploi/loisirs : jardinage,lecture
Genre littéraire préféré : un peu de tout,sauf fantasy et fantastique
Date d'inscription : 07/04/2010
Re: [Audric, Morgan] Personne ne meurt à Longyearbyen
Deux décès à 2 endroits différents en Norvège. A priori, l'un est un décès dû à l'attaque d'un ours et l'autre est un suicide. Pourtant une enquête est menée par une policière pour le premier et par un journaliste pour le second. Les deux parviennent à démontrer qu'il s'agit de meurtres. Mais il reste à découvrir pourquoi.
Cela se passe dans le monde marin où les pêcheurs, les scientifiques et les défenseurs de l'environnement marin se battent à leur façon pour protéger l'environnement...ou pas.
Une intrigue bien menée où le suspense est bien présent.
Cela se passe dans le monde marin où les pêcheurs, les scientifiques et les défenseurs de l'environnement marin se battent à leur façon pour protéger l'environnement...ou pas.
Une intrigue bien menée où le suspense est bien présent.
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Lecture en cours : "Sorcières" Mona Chollet
En attente d'avis :
Challenge Lire en vacances (1er juillet au 31 août 2024) Challenge terminé
Challenge partage lecture 2024-2025
plume44- Grand expert du forum
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Nombre de messages : 1005
Age : 45
Localisation : nantes
Genre littéraire préféré : à peu près tout!!
Date d'inscription : 22/06/2014
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