[Dicker, Joël] L'énigme de la chambre 622

[Dicker,joël]

L’énigme de la chambre 622
Editions de Fallois 27 mai 2020
569 pages
Quatrième de couverture
Une nuit de décembre, un meurtre a lieu au Palace de Verbier, dans les Alpes suisses. L’enquête de police n’aboutira jamais.
Des années plus tard, au début de l’été 2018, lorsqu’un écrivain se rend dans ce même hôtel pour y passer des vacances, il est loin d’imaginer qu’il va se retrouver plongé dans cette affaire.
Que s’est-il passé dans la chambre 622 du Palace de Verbier?

Mon avis
Dès les premières pages, Joël Dicker nous emmène en Suisse au coeur de sa ville natale, de suite je fus prise dans cette énigme de la chambre 622, captivée par l’auteur (L’ECRIVAIN) qui se met en scène pour enquêter sur ce meurtre qui a eu lieu 15 ans auparavant, il faut dire qu’après le décès de Bernard de Fallois, l’éditeur qui était son ami, il part en vacances à Verbier, il fait la connaissance de Agathe, sa voisine de chambre, ensemble ils vont tenter de percer le mystère de la chambre 622. L’énigme à résoudre concerne l’étrange couple Macaire et Anastasia ainsi que Lev l’ami de Macaire, il y a aussi le directeur de l’hôtel, Monsieur Rose et bien d’autres….Dans le monde des banquiers et de la finance, et sur fond de triangle amoureux, on se trouve plongé dans un roman époustouflant et diabolique ou jeux de pouvoir, trahisons, espionnage et jalousie, cela se passe principalement dans une banque suisse. Une enquête palpitante qui nous tient en suspense de la première à la dernière page ou une fin surprenante nous attend et je constate que j’ai été bluffée avec cette histoire ou l’amour se mêle à l’argent. Alors vous lecteurs, saurez-vous trouver la clef de l’énigme? Car vous pourriez être surpris…...4,5/5

Pour le coup, c'est bien une avant-première.

Et bien tentant aussi !!!

Merci pour cette présentation bien alléchante, Lalyre.

Un beau battage médiatique pour ce livre, je me faisais une joie de le lire…

L’auteur se met en scène pour nous raconter sa peine d’avoir perdu son éditeur de toujours B de Fallois , de plus une déception amoureuse le pousse à prendre quelques vacances et comme il est suisse il va dans un palace à Verbier prendre le bon air…

Sitôt arrivé il fait la connaissance de Scarlett sa voisine de chambre, elle est, elle aussi, très intéressée par un mystère, il n’y a pas de chambre 622, mais une 621bis puis une chambre 623.
Elle va pousser l’ECRIVAIN, comme elle l’appelle à écrire un roman sur cette énigme!

Ils commencent alors une véritable enquête qui n’en finit plus car il faut dire que le livre est un pavé.
Les allers et retours sur 15 ans, puisque le meurtre a eu lieu il y a 15 ans m’a donné le tournis,
Et les retournements constants de situation , jusqu’à devenir ridicule....

Tout est très beau, très chic, très riche, la Suisse est un pays magnifique mais le monde des banquiers est surprenant, comment des hommes qui ont a charge de gérer tant d’argent peuvent être aussi puérils, enfantins….

Je n’ai pas reconnu l’auteur de « Harry Quebert » ou « le livre des Baltimore » mais je suis allée tout de même jusqu’à la fin en me promettant d’être plus prudente la prochaine fois avec cet auteur.
Je vote pas apprécié

Hier soir, j’ai achevé la lecture du MYSTERE DE LA CHAMBRE 622 …

Ce livre m’a agacée , en vrac par :
la prétention de l’Ecrivain  majuscule(non,je n’y ai pas vu du second degré)
les noms des personnages par trop farfelus,
l’histoire qui semble sortir du catalogue des éditions Harlequin,
trop de caviar et de luxe étalé
l’invraisemblance du fonctionnement bancaire
les innombrables retours en arrière
Les évocations de son ami et éditeur  m’ont parues dépassées.
Mais surtout le langage attribué à la gouvernante fort malmenée (Médéme, Moussieu) m’ont beaucoup choquée, trop Tintin au Congo et pas politiquement correct du tout.

Après Msso et Bussi, un roman sur l’écriture d’un roman façon Vache-Qui-Rit et même en dernière page «… la vie est un roman … » Sic.
Ils ont fait un pari ??
Pourquoi je l’ai fini ? pour savoir Qui, Comment, Pourquoi ….  Bon, je sais mais sans le petit soupir de la fin  
Dommage, car l'intrigue est superbe et un montagne plus traditionnel m'aurait sans doute emballée.

Ah zut,je l'ai pris à la mediathèque pour le lire pendant les vacances.

Mon ressenti

C’est un livre que j’attendais avec impatience et quand j’ai pu l’avoir (enfin) en main, c’est avec bonheur que je me suis plongée dedans. Mais comme un soufflé au fromage, mon enthousiasme est vite retombé.

Comme à son habitude, Joël sait planter un décor, faire vivre des personnages mais j’attends encore une histoire qui tarde à venir, un peu comme la femme de barbe bleue qui demande à sa sœur « Anne, Anne ne vois-tu rien venir ? »….

Bref, de flash-back en flash-back, je me suis perdue dans les couloirs du temps de cet hôtel où je n’ai pas trouvé de clé pour sortir de ce bourbier….

Aussi, j’ai pris mon envol en lecture diagonale pour avoir l’espoir de connaître le fin mot de cette disparition. Quelle déception, ou bien fallait-il entendre le terme de disparition comme un hommage symbolique rendu à son éditeur (disparu peu de temps avant la sortie de ce livre) ?

En tout cas, je n’ai pas apprécié ce livre. A vous de voir ce que vous en tirerez si vous tentez cette étrange lecture.

Je constate beaucoup de déception pour ce livre, que ca soit sur le forum où ailleurs, je le lirai peut être si je le trouve à la médiathèque  

angele13127 a écrit:Ah zut,je l'ai pris à la mediathèque pour le lire pendant les vacances.

J'arrive un peu tard, mais du coup tu l'as aimé ?

Plus un écrivain a ébloui plus la déception est grande... Mais il va nous surprendre prochainement, j'espère