[Arnaud, G.J.] La compagnie des glaces : Tome 1 & Tome 2

LA COMPAGNIE DES GLACES (T.1 et T.2)



SF, édité chez French Pulp éditions en novembre 2016

388 pages

Résumé

Enfin republiée, une saga indémodable qui a conquis plusieurs générations de lecteur
Une nouvelle ère glaciaire s'est abattue sur la terre. La planète toute entière est recouverte d'une épaisse couche de glace. Heureusement, les Compagnies ferroviaires ont développé un immense réseau de voies ferrées, sur lesquelles se presse ce qu'il reste d'une humanité frigorifiée... et soumise.
Pour ne pas perdre leur pouvoir, les Compagnies interdisent tout progrès qui permettrait à l'humanité de se passer du rail. Et malheur à ceux qui, comme Lien Rag, tentent de défier leur autorité !
Pourchassé par les Compagnies, encerclé par une nature hostile, il est pourtant bien décidé à libérer l'humanité de l'existence misérable dans laquelle elle est maintenue...

Mon ressenti

J’ai eu du mal à entrer dans cette histoire, une saga de 62 tomes ! Le monde des glaces décrit par l’auteur est plein d’imagination et fait froid dans le dos. Monde hostile par excellence, la chaleur est une denrée rare. Les habitants qui survivent tant bien que mal, vivent dans des wagons, seules habitations autorisées par les grandes compagnies qui imposent un état totalitaire. Les derniers humains qui existent encore et qui survivent dans ce monde de glace. Et parmi, cela il y a certaines personnes qui vivent nues dans ce monde de glace sans en souffrir, semble-t-il !

L’histoire s’enchaîne rapidement, les tomes sont courts donnant une impression d’action. De nombreux personnages viennent partagés leurs visions de ce monde en tentant de renversés certains complots ou de répondre à certaines questions.

Ce qui me laisse, moi sur ma faim, c’est la multitude des enchaînements et des caricatures des personnages. Du sexe, de la violence, des tueurs, des mutants, des guerres…. Parsèment cette aventure glaciaire.

Pas de quoi révolutionner la SF mais un bon moment à passer sur une planète pas si éloignée de la nôtre.