[Bramly, Serge] Orchidée fixe
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[Bramly, Serge] Orchidée fixe
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[Bramly, Serge]
Orchidée fixe
JC Lattès 22 août 2012
ISBN 978-2-7096-3336-9
284 pages
4ème de couverture
Il avançait dans l’air brûlant de cet après-midi de mai, en bras de chemise, son échiquier sous le coude, selon une trajectoire dont la courbe allait infléchir son destin, modifier le nôtre, et le mien par ricochet, sans doute pour longtemps, je n’ose dire pour toujours.
Marcel Duchamp, son mouchoir sur la tête, descendant la route sablonneuse de la plage d’Aïn Sebaa, c’est à mes yeux la scène pivot, l’instant fondateur.
Il y était. Quelques marches encore. J’en arrive presque à me figurer son expression, sur le seuil, lorsqu’il a écarté le rideau de perles de l’Eden.
Mon avis
Casablanca….Un roman à quatre voix, celle de l’auteur se laisse deviner, entremêlée avec celle du peintre Marcel Duchamp1887/1968, dont la démarche artistique a exercé une influence majeure sur les différends courants de l’art contemporain. Accompagné par la voix de Tobie Vidal, un universitaire français que ses recherches ont lancés sur la trace de l’artiste et pour cela, de longues conversations ont lieues avec le baron de la Cale, un nonagénaire qui a hébergé Duchamp pendant la guerre, il y a aussi la petite-fille du baron qui mêle sa voix aux autres. Une histoire de milieux et d’époques qui se croisent et s’entrecroisent, une histoire de double passion et de double rencontre, une troublante histoire d’amour. C’est un roman bien écrit que j’ai apprécié mais j’ai dû m’accrocher, il n’empêche que je ne connaissais pas ce peintre qui est pourtant un peintre contemporain. 4/5
Orchidée fixe
JC Lattès 22 août 2012
ISBN 978-2-7096-3336-9
284 pages
4ème de couverture
Il avançait dans l’air brûlant de cet après-midi de mai, en bras de chemise, son échiquier sous le coude, selon une trajectoire dont la courbe allait infléchir son destin, modifier le nôtre, et le mien par ricochet, sans doute pour longtemps, je n’ose dire pour toujours.
Marcel Duchamp, son mouchoir sur la tête, descendant la route sablonneuse de la plage d’Aïn Sebaa, c’est à mes yeux la scène pivot, l’instant fondateur.
Il y était. Quelques marches encore. J’en arrive presque à me figurer son expression, sur le seuil, lorsqu’il a écarté le rideau de perles de l’Eden.
Mon avis
Casablanca….Un roman à quatre voix, celle de l’auteur se laisse deviner, entremêlée avec celle du peintre Marcel Duchamp1887/1968, dont la démarche artistique a exercé une influence majeure sur les différends courants de l’art contemporain. Accompagné par la voix de Tobie Vidal, un universitaire français que ses recherches ont lancés sur la trace de l’artiste et pour cela, de longues conversations ont lieues avec le baron de la Cale, un nonagénaire qui a hébergé Duchamp pendant la guerre, il y a aussi la petite-fille du baron qui mêle sa voix aux autres. Une histoire de milieux et d’époques qui se croisent et s’entrecroisent, une histoire de double passion et de double rencontre, une troublante histoire d’amour. C’est un roman bien écrit que j’ai apprécié mais j’ai dû m’accrocher, il n’empêche que je ne connaissais pas ce peintre qui est pourtant un peintre contemporain. 4/5
lalyre- Grand sage du forum
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