[Leroux, Gaston] Le fantôme de l'opéra
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[Leroux, Gaston] Le fantôme de l'opéra
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Le fantôme de l'opéra
Auteur : Gaston Leroux
Editeur : Le livre de poche
Nombre de pages : 498
Quatrième de couverture :
"Le fantôme de l'Opéra a existé. J'avais été frappé dès l'abord que je commençai à compulser les archives de l'Académie nationale de musique par la coïncidence surprenante des phénomènes attribués au fantôme et du plus mystérieux, du plus fantastique des drames, et je devais bientôt être conduit à cette idée que l'on pourrait peut-être rationnellement expliquer celui-ci par celui-là."
Avec l'art de l'intrigue parfaitement nouée et l'inspiration diabolique qui ont fait le succès de Gaston Leroux, le père de Rouletabille, Le Fantôme de l'Opéra nous entraîne dans une extraordinaire aventure qui nous tient en haleine de la première à la dernière ligne.
Mon appréciation :
J'ai découvert cet auteur par le biais du Mooc "Fantasy". D'ailleurs, ce roman est classé "policier" par l'éditeur alors qu'il m'a été suggéré dans la rubrique littérature de l'imaginaire.
Je serai moins éloquente que le résumé. J'ai trouvé beaucoup trop de passages longs et ennuyeux, dû au multiples descriptions qui alourdissent le récit.
J'ai eu du mal aussi avec le personnage de Christine : j'ai eu du mal à la cerner (je ne veux pas trop dévoiler l'histoire), un peu trop versatile à mon goût.
L'histoire en elle-même est intéressante, inquiétante et effectivement, on est tenu en haleine. Heureusement, sinon j'aurai abandonné en cours de route ma lecture.
Malgré tout cela, c'est un classique à lire.
Re: [Leroux, Gaston] Le fantôme de l'opéra
Merci Mevlana pour ta critique 

louloute- Grand sage du forum
-
Nombre de messages : 30085
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Date d'inscription : 11/12/2009
Re: [Leroux, Gaston] Le fantôme de l'opéra
Eh bien j'ai honte
je m'en veux
mais je n'ai pas terminé ce roman policier qui est un classique du genre.
Très bien écrit, le mystère plane, le décors est parfait pour cette intrigue, j'ai aimé l'atmosphère... mais il n'y a rien eu a faire !
Il y a peu de temps que j'ai lu ce livre classé souvent dans les classiques de la jeunesse (je suis donc en retard de quelques décennies) mais je suis certaine que là, n'en n'est pas la cause.
J'étais impatiente de connaitre ce classique du roman policier, je l'ai donc commencé sous de bonnes augures mais ce n'est pas allé plus loin...
Mon édition comporte 498 pages, ce qui en fait un livre de poche épais.
J'ai tenu bon une cinquantaine de p. pleine d'espoir... puis j'ai tenu le coup encore une cinquantaine et j'ai fini par déclarer forfait. Voilà le triste constat.
A mon avis, l'histoire est trop longue, trop de détails inutiles mais qui pourtant font l'ambiance du roman. Que dire de plus, si ce n'est que je suis navrée car ce livre avait tout pour me plaire et je ne l'ai pas fini.
De nombreux films ont été tiré de cette œuvre qui ont eu tous du succès. C'est du policier teinté de mystère avec une atmosphère genre fantastique.
Peut-être faudrait-il que je lui donne une seconde chance
mais il y a tellement de choses à lire et la vie est si courte...
- Un petit extrait pour montrer à quel point Gaston Leroux écrit bien :
Voilà qu'à l'émotion très douce avait succédé une sensation atroce. Sensation ? Sentiment ? Il y avait là-dedans du physique et du moral. Sa poitrine lui faisait mal, comme si on la lui avait ouverte pour lui prendre le cœur. Il sentait là un creux affreux, un vide réel qui ne pourrait jamais plus être rempli que par le cœur de l'autre ! Ce sont là des évènements d'une psychologie particulière qui, paraît-il, ne peuvent être compris que de ceux qui ont été frappés, par l'amour, de ce coup étrange appelé, dans le langage courant, ''coup de fondre''.


Très bien écrit, le mystère plane, le décors est parfait pour cette intrigue, j'ai aimé l'atmosphère... mais il n'y a rien eu a faire !
Il y a peu de temps que j'ai lu ce livre classé souvent dans les classiques de la jeunesse (je suis donc en retard de quelques décennies) mais je suis certaine que là, n'en n'est pas la cause.
J'étais impatiente de connaitre ce classique du roman policier, je l'ai donc commencé sous de bonnes augures mais ce n'est pas allé plus loin...
Mon édition comporte 498 pages, ce qui en fait un livre de poche épais.
J'ai tenu bon une cinquantaine de p. pleine d'espoir... puis j'ai tenu le coup encore une cinquantaine et j'ai fini par déclarer forfait. Voilà le triste constat.
A mon avis, l'histoire est trop longue, trop de détails inutiles mais qui pourtant font l'ambiance du roman. Que dire de plus, si ce n'est que je suis navrée car ce livre avait tout pour me plaire et je ne l'ai pas fini.
De nombreux films ont été tiré de cette œuvre qui ont eu tous du succès. C'est du policier teinté de mystère avec une atmosphère genre fantastique.
Peut-être faudrait-il que je lui donne une seconde chance

- Un petit extrait pour montrer à quel point Gaston Leroux écrit bien :
Voilà qu'à l'émotion très douce avait succédé une sensation atroce. Sensation ? Sentiment ? Il y avait là-dedans du physique et du moral. Sa poitrine lui faisait mal, comme si on la lui avait ouverte pour lui prendre le cœur. Il sentait là un creux affreux, un vide réel qui ne pourrait jamais plus être rempli que par le cœur de l'autre ! Ce sont là des évènements d'une psychologie particulière qui, paraît-il, ne peuvent être compris que de ceux qui ont été frappés, par l'amour, de ce coup étrange appelé, dans le langage courant, ''coup de fondre''.
DameLecture- Membre connaisseur
-
Nombre de messages : 337
Localisation : france
Date d'inscription : 12/06/2021
Re: [Leroux, Gaston] Le fantôme de l'opéra
@Dame Lecture, j'étais prof de français, et pourtant je n'ai rien lu de lui.
Tu as essayé, même si les auteurs sont classiques, ils sont appréciés différemment selon les goûts. Ton avis ne me découragerait pas d'essayer, j'aime bien.

Tu as essayé, même si les auteurs sont classiques, ils sont appréciés différemment selon les goûts. Ton avis ne me découragerait pas d'essayer, j'aime bien.

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"Ainsi vécut Raphaël pendant plusieurs jours, sans soins, sans désirs, éprouvant un mieux sensible, un bien-être extraordinaire, qui calma ses inquiétudes, apaisa ses souffrances. Il gravissait les rochers, et allait s'assoir sur un pic d'où ses yeux embrassaient quelque paysage d'immense étendue. Là, il restait des journées entières comme une plante au soleil, comme un lièvre au gîte." Honoré de Balzac, La Peau de chagrin.
Les Racines du ciel, de Romain Gary / La Solidarité, de Léon Bourgeois / Petite bibliothèque de poésie contemporaine : Tout sera longuement fatal, André Frénaud.
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elea2020- Grand sage du forum
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