[Banerji, Bibhouti Bhoushan] De la forêt
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[Banerji, Bibhouti Bhoushan] De la forêt
[Banerji, Bibhouti Bhoushan] De la forêt
[banerji Bibhouti Bhoushan]
De la forêt
Editions Zulma 30 mars 2020
304 pages
Calcutta, années 1920 : jeune diplômé sans le sou, Satyacharan est contraint d’accepter le poste d’administrateur d’un vaste domaine forestier aux confins du Bihar – au nord-est de l’Inde. D’abord dérouté par l’extrême pauvreté de l’endroit, ce Bengali raffiné et mondain est bientôt fasciné par la diversité des modes de vie, l’exubérance de la faune et de la flore – tout un peuple, dans la forêt. Son rapport au monde en est bouleversé.
Mon avis
L’écrivain nous raconte son vécu pendant six ans dans un monde disparu maintenant, son récit est truffé d’anecdotes, de rencontres avec des gens extraordinaires ne connaissant rien de la modernité, la plupart d’entre eux sont très pauvres, cependant ces gens vivent en harmonie avec la nature et sont satisfaits de leur sort. Des événements tels qu’inondations ou incendie provoqué par la sécheresse peuvent faire mourir ces gens de faim. Et pourtant on ressent une atmosphère paisible car ces gens évoluent dans leurs champs et au rythme des saisons, bien que l’on ressente de la nostalgie car on devine que forêts, flore et faune sont appelés à disparaître. Mais avec le narrateur, on pénètre dans les castes et la relation entre les hommes et les femmes, comment vivre avec la nature sans la détruire et grâce ce récit, l’auteur nous rappelle la fragilité de la forêt et des communautés humaines qui la côtoie. J’ai beaucoup aimé ce récit captivant truffé de poésie tout en faisant une plongée dans une humanité lointaine une forêt luxuriante et l’Inde de cette époque. Un énorme coup de coeur. 5/5
De la forêt
Editions Zulma 30 mars 2020
304 pages
Calcutta, années 1920 : jeune diplômé sans le sou, Satyacharan est contraint d’accepter le poste d’administrateur d’un vaste domaine forestier aux confins du Bihar – au nord-est de l’Inde. D’abord dérouté par l’extrême pauvreté de l’endroit, ce Bengali raffiné et mondain est bientôt fasciné par la diversité des modes de vie, l’exubérance de la faune et de la flore – tout un peuple, dans la forêt. Son rapport au monde en est bouleversé.
Mon avis
L’écrivain nous raconte son vécu pendant six ans dans un monde disparu maintenant, son récit est truffé d’anecdotes, de rencontres avec des gens extraordinaires ne connaissant rien de la modernité, la plupart d’entre eux sont très pauvres, cependant ces gens vivent en harmonie avec la nature et sont satisfaits de leur sort. Des événements tels qu’inondations ou incendie provoqué par la sécheresse peuvent faire mourir ces gens de faim. Et pourtant on ressent une atmosphère paisible car ces gens évoluent dans leurs champs et au rythme des saisons, bien que l’on ressente de la nostalgie car on devine que forêts, flore et faune sont appelés à disparaître. Mais avec le narrateur, on pénètre dans les castes et la relation entre les hommes et les femmes, comment vivre avec la nature sans la détruire et grâce ce récit, l’auteur nous rappelle la fragilité de la forêt et des communautés humaines qui la côtoie. J’ai beaucoup aimé ce récit captivant truffé de poésie tout en faisant une plongée dans une humanité lointaine une forêt luxuriante et l’Inde de cette époque. Un énorme coup de coeur. 5/5
lalyre- Grand sage du forum
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Date d'inscription : 07/04/2010
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